MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR
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MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR

HISTOIRE DES JUIFS DU MAROC-CASABLANCA-RABAT-MAZAGAN-MOGADOR-AGADIR-FES-MEKNES-MARRAKECH-LARACHE-ALCAZARQUIVIR-KENITRA-TETOUAN-TANGER-ARCILA-IFRANE-OUARZAZAT-BENI MELLAL-OUEZANE
 
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 MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM

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Soly Anidjar
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MessageSujet: MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeMar 30 Jan 2007 - 16:47

Une ville juive : Amsterdam

Nous continuons notre tour du monde des communautés et cette fois-ci, c’est en Hollande que nous nous arrêtons pour nous intéresser à l’histoire de la communauté de la ville d’Amsterdam, l’une des communautés les plus marquantes de l’histoire juive en Europe occidentale.

Il semble que les premiers Juifs à s’être établis dans la région d’Amsterdam l’ont fait dès l’époque de la conquête romaine au début de l’ère commune, mais en petit nombre. Ils ont suivi en cela un mode d’établissement classique de communautés juives, qui suivaient l’implantation romaine et ses avantages commerciaux et économiques. Jusqu’au XIIe siècle, il n’existe pas de preuves documentaires d’une présence juive dans la région et il est probable qu’elle n’a pas dépassé les quelques familles ou les toutes petites communautés. Entre les XIIe et XIVe siècles, il y eut de petites communautés dans la région, dont l’histoire ne dépasse pas celle des persécutions et des expulsions fréquentes, culminant en 1349-50. Les Juifs furent accusés, comme ailleurs en Europe, d’avoir propagé la grande épidémie de peste noire, ce qui entraîna le massacre de la majorité des Juifs de la région et l’expulsion des survivants. La présence juive en Hollande pris alors fin pour plus de deux siècles, jusqu’à l’indépendance des provinces hollandaises du joug de la couronne d’Espagne en 1571, formant les Provinces-Unies des Pays-Bas, l’ancêtre de la Hollande actuelle.

L’indépendance hollandaise apporta avec elle un nouvel esprit bien plus tolérant que par le passé, même si Amsterdam restait une ville protestante qui ne reconnaissait pas d’autres religions. Amsterdam était déjà devenue un centre d’importance mondiale dans le domaine du commerce en général et du commerce maritime en particulier. Cette double conjoncture favorable poussa dès 1590 de nombreux marranes (Juifs ayant été contraints par la force d’embrasser la foi chrétienne, mais qui ont continué à pratiquer le judaïsme dans leur vie privée) à venir s’établir à Amsterdam, dans l’espoir de pouvoir plus tard revenir au judaïsme de manière ouverte et libre, tout en trouvant un climat économique favorable. Ils se constituèrent en communauté, d’abord secrète, mais avec l’arrivée en 1602 des premiers Juifs séfarades, cette fois-ci ouvertement déclarés comme tels, les marranes commencèrent à se déclarer au grand jour en tant que Juifs pratiquants. En 1607, les prières se déroulaient ouvertement dans la maison d'un Juif qui organisa une communauté du nom de « Beth Ya’aqov ». Cette communauté fut autorisée en 1614 à ériger une synagogue, la première à Amsterdam, avec la permission des autorités. Une deuxième communauté, « Nevé Chalom », fut créée en 1608 par un groupe de riches marranes, avec pour rabbin, Yits’haq Ouziel. Il faut toutefois préciser que le développement de cette vie communautaire juive ne s’est pas fait sans opposition, alors que l’Eglise protestante était, en effet, furieuse du manque de répression exercé à l’encontre de la communauté juive, mais les autorités civiles passèrent outre, comprenant l’importance de la place des Juifs dans le développement de l’activité économique d’Amsterdam. Pour assainir la situation.


Dernière édition par le Mar 30 Jan 2007 - 16:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeMar 30 Jan 2007 - 16:47

, de nouveaux statuts régularisant la tolérance religieuse furent édictés en 1619 dans toutes les Provinces-Unies, laissant à chaque ville le choix de sa politique dans ce domaine. Amsterdam se déclara ouverte aux Juifs, mais sans toutefois leur octroyer la citoyenneté absolue en limitant quelque peu leurs droits politiques et commerciaux. Dans l’ensemble, ce statut restait néanmoins avancé pour l’époque.

Les deux communautés coopérèrent pour la création d’une école juive en 1615, cependant des tensions internes existaient entre les membres des communautés. En effet, les marranes, bien qu’ayant réintégrés le peuple juif et le système régi par la Halakha, avaient absorbé des influences étrangères durant plusieurs générations et étaient marqués par un esprit libertaire et intellectualiste. Cette tendance se développa et dirigea jusqu’à la scission au sein de la communauté du Beth Ya’aqov, quand la frange la plus orthodoxe, sous la direction du rav Yossef Pardo se sépara en 1619 pour créer une nouvelle communauté du nom de « Beth Israël ». Il faut toutefois faire attention de ne pas tomber dans l’erreur : le début du XVIIe siècle n’est pas le XVIIIe et les « lumières » ne sont pas encore là. Après vingt ans, en 1639, les communautés parviennent à surmonter les conflits et se réunifient au sein du « Kahal Kadoch Talmud Tora », avec une seule synagogue pour tous. C’est cette communauté qui bâtit en 1675 la magnifique synagogue portugaise qui deviendra un modèle pour tant de synagogues séfarades de par le monde.

Le XVIIe siècle fut à bien des égards l’âge d’or de la communauté. Sa réussite socio-économique fut très importante et significative dans la vie d’Amsterdam. Les Juifs séfarades étaient bien intégrés et prédominants dans le commerce international et, en particulier, dans la Compagnie des Indes orientales, le tabac, la raffinerie du sucre et l’imprimerie. L’industrie du diamant, dont le centre était à Amsterdam, devint à cette époque presque exclusivement juive. En lien avec cette situation économique, le statut des Juifs d’Amsterdam était particulier dans le monde de l’époque. Alors que la quasi-totalité des autres communautés juives vivaient plus ou moins recluses sur elles-mêmes et dans des ghettos, les Juifs d’Amsterdam étaient libres de s’installer où ils le souhaitaient. Ils vivaient pour la plupart dans le quartier juif pour des raisons de convenance, mais ils pouvaient le quitter librement. Les chrétiens eux-mêmes pouvaient s’installer dans le quartier juif et le peintre Rembrandt, par exemple, y travailla pendant longtemps. La violence antisémite était presque complètement absente et on peut vraiment dire que les Juifs « réussirent » très bien dans les domaines culturels et artistiques. Il faut néanmoins nuancer le tableau : nous avons parlé jusqu’à présent essentiellement de la communauté séfarade. Or, à partir des années 1620, des Juifs ashkénazes commencèrent à arriver à Amsterdam. En 1636, ils se constituèrent en minyan et nommèrent leur propre rabbin, avant d’acquérir une synagogue en 1640. Rapidement, les pogroms et les persécutions en Europe de l’Est amenèrent une large population ashkénaze, qui surpassa en nombre les Séfarades. A la différence de ces derniers, les Ashkénazes, eux-mêmes divisés jusqu’en 1673 en deux communautés, une polonaise et une allemande, n’atteignirent pas un niveau socio-culturel élevé et restèrent cantonnés dans des activités économiques de faible niveau. Dans les domaines toranique et intellectuel, les deux communautés ne produisirent pas de rabbins de grande renommée, mais Amsterdam fut néanmoins un lieu d’importance avec une influence certaine sur le monde juif. Elle devint l’un des centres les plus importants de l’impression de livres juifs, et ce jusqu’au XXe siècle. La plupart des livres en portugais et en espagnol destinés aux communautés séfarades y furent imprimés. La vie intellectuelle y était également très intense, avec ce que cela pouvait comporter comme danger : à la croisée de divers courants de pensée et d’influences, ce fut à Amsterdam que des penseurs renégats, comme Ouriel da Costa et Baroukh Spinoza, l’un des grands précurseurs de la laïcité moderne, développèrent leurs philosophies. D’un autre côté, le Talmud Tora local était reconnu pour sa qualité et de nombreux rabbins en sortirent pour devenir plus tard des rabbins dans de nombreuses communautés séfarades du bassin méditerranéen. Des rabbins de renom passèrent tout de même à Amsterdam, en provenance d’autres communautés. Les plus célèbres d’entre eux sont certainement le rav Menaché ben Israël au XVIIe siècle, qui dirigea la fameuse délégation qui rencontra Cromwell et qui fut à l’origine du retour des Juifs en Angleterre, puis au début du XVIIIe siècle le rav Tsvi Ashkénazi, le ‘Hakham Tsvi. Celui-ci ne resta à la tête du rabbinat d’Amsterdam que quelque trois années, entre 1710 et 1713, date à laquelle il dut démissionner à la suite de conflits entre les Juifs en faveur du faux messie « Shabbataï Tsvi » (près de quarante ans après sa mort !) et ceux qui le dénonçaient comme un imposteur.
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MessageSujet: Re: MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeMar 30 Jan 2007 - 16:49

Cet événement nous donne l’occasion d'ouvrir une parenthèse sur ce dramatique épisode de l’histoire du peuple juif et ses répercussions sur la communauté d’Amsterdam. En effet, le mouvement shabbatéen y trouva de très nombreux adeptes, y compris d’ailleurs parmi les rabbins de renom locaux. Amsterdam fut même l’un des centres les plus importants du mouvement, mais à son honneur il faut relever que la résistance au shabbatianisme y eut aussi son origine dans les cruciales années 1660 et 1670 à travers la figure, quelque peu oubliée mais néanmoins remarquable, du rav Ya’aqov Sasportas, dont la lutte sans merci contre le faux messie contribua largement au sauvetage final de beaucoup de communautés, qui évitèrent de tomber dans l’erreur ou purent en sortir grâce à la caution morale et religieuse de rav Sasportas et de son livre sur le sujet, Tzitzath novel tsvi.

Malgré un certain progrès économique au début du XVIIIe siècle de la communauté ashkénaze, la deuxième moitié du siècle vit un progressif déclin des communautés d’Amsterdam, y compris parmi les Séfarades, dans le contexte du déclin relatif général des Pays-Bas. L’Angleterre et la France les surpassaient désormais dans le domaine du commerce maritime, ce qui affaiblit la position économique d’Amsterdam. La communauté juive, comme le reste de la population, en ressentit durement les effets et la prospérité recula pour faire place à une pauvreté grandissante, voire même au paupérisme. A la fin du siècle, plus de la moitié des Juifs amstellodamois vivaient de la charité. C’est dans ce contexte que survient la Révolution française et ses conséquences pour toute l’Europe. La communauté se sépara en deux camps : ceux qui étaient en faveur de l’émancipation et ceux qui préféraient conserver la communauté en tant qu’entité séparée. Après la fin des guerres napoléoniennes et le retour à l’indépendance de la Hollande, le roi Guillaume Ier décida de donner à l’émancipation plus de force : les communautés furent reconnues et organisées, mais l’éducation laïque et en hollandais fut rendue obligatoire pour tous les enfants juifs ; le yiddish, encore largement utilisé chez les Ashkénazes, fut combattu et avec l’aide des maskilim hollandais, l’assimilation commença à voir le jour, comme dans le reste de l’Europe. La mobilité professionnelle et sociale aidant, les Juifs débutèrent une ascension sociale qui amena nombre d’entre eux à de hautes positions, même si la situation générale des Juifs restait assez précaire jusqu’à la fin du siècle, date à laquelle l’industrie du diamant retrouva son lustre passé et, avec elle, la position sociale des Juifs. Une importante immigration juive et des taux de natalité élevés, liés à l’immigration, doublèrent la population juive de la ville de 30 000 à 60 000 personnes entre 1870 et 1900, mais comme ailleurs, la laïcité finit par faire des coupes sombres dans la communauté : les mariages mixtes augmentèrent, le taux de natalité baissa, … En conséquence, la proportion des Juifs baissa, tout en constituant encore près de 10% de la population de la ville à la veille de la montée au pouvoir d’Hitler en Allemagne. La Seconde Guerre mondiale amena, dans un premier temps, un afflux de réfugiés qui porta le nombre de Juifs à près de 80 000, mais, malgré le comportement admirable de la population locale durant la guerre, la grande majorité des Juifs locaux furent déportés et gazés dans les camps de concentration.

Les survivants ont reconstruit une communauté qui est, selon les standards modernes de l’Europe occidentale, une relative réussite. Il y a trois écoles juives, tous les services religieux sont présents, de magnifiques synagogues qui ont été restaurées après la guerre et le taux d’affiliation à la communauté parmi les Juifs locaux est relativement élevé, puisque la pratique du judaïsme va en augmentant. N’oublions pas de rappeler la présence du Kollel, que dirige le rav Ya'aqov Schatz.
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MessageSujet: Re: MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeMar 17 Avr 2007 - 20:33




« L’existence de la petite communauté marrane de Belmonte, village de la province de Beira, au nord-est du Portugal, ne relève pas de la curiosité ethnographique ou de la survivance de quelque lointain souvenir. Ces quelques dizaines de familles pratiquent la religion juive en secret, sans synagogue, sans livres ni rabbin.
Depuis cinq siècles, depuis les persécutions catholiques et les baptêmes forcés des juifs, ceux qui allaient faire d’une insulte – le mot «marrane» signifie porc en castillan – leur titre de gloire et de victoire, maintiennent cette mémoire et la transmettent telle une flamme fragile et essentielle. ,


BELMONTE - MEMOIRE ET IDENTITE.


À Belmonte, à l'extrême nord du district de Castelo Branco, un une de situé de village d'un de survécu le communauté pas des juifs de DES de comme d'identifiés de sont de membres de les.
Pendant siècles de DES, religieux de l'absence de chefs, sacrés de textes de DES de l'éloignement, La à pourraient d'abouti de poids du commerce d'intercommunautaires de culturelles de d'échanges de maille environnante par de société de La de de Belmonte de juifs de DES de l'assimilation. Mais le le résisté des qu'ils c'est Ontario de "miracle" et les rituels de DES de perpétué d'Ontario, une de crée d'Ontario spécifique de religion, clandestinité de La de dans de vécue.
Les le révélé du communauté Ontario de sur l'origine de cette de connues de versions qu'en le qui de la CE les les de concerne remet en cause des identitaires, manipulables de sont de évènements de les de même, dociles intérêts de DES de à. Sur l'entendu d'avait souvent et les juifs de ces de que d'aussi de lu étaient bourg d'Au de revenus, siècle de XVIIIème d'Au, lois de Pombal, premier ministre de les d'après ministre du roi D. José I, les d'entre de la fin de la distinction d'ordonné de qu'a vieux et les nouveaux chrétiens - La d'après d'apparu d'est de qui de nom d'un temps de D d'Au de forcée de conversion. Manuel – 1497 -. Et plus de le sur le que le de disait tous étaient de l'oú Ils Maroc du nom du de qu'ils s'appelaient demeuraient quartier de parce revenus de ce paye. Connue d'officielle de L'histoire, de écrite de DES juifs par non, d'Expulsion De de le Décret d'après de justement de territoire de leur retirait le partage du 1496. Espionnez le parti de était de le monde, l'ordres du roi aux., et le démarcheur le monde un décidé à Belmonte, d'années de revenir de centaines de quelques d'après. Sur de publiés de livres de Les pas n'enregistraient des gens du village, sauf de portugaise de l'Inquisition História da Inquisição de Évora, de António Borges Coelho, oú sur peut trouver le nom femme de Belmonte, mariée, qui de d'une un mari de fils d'avec d'emprisonnée de été.
Les origine racontaient de leur de sur de histoire d'autre d'une de juifs de la communauté ; Ils d'un parlaient initiateur de couples, Maria Caetana e Diogo Henriques, et le généalogique montraient d'arbre de leur, incomplète, bien le sur, et le rigueur de sans, le juif par du élaboré un, pas Ils oublié le nom avaient. Ce couples avait siècle de XIXème d'Au de Belmonte de à de vécu.
Les qu'on de recherches développées - Juifs de Belmonte, La de Les des chemins De de les mémoire ; Féminin d'Au de Judaïsme - documents De de les de que de montré d'Ontario différente témoignent de histoire d'une de de Lisboa de l'Inquisition. DES de présence de La documentée d'est de Belmonte de à d'inquisiteurs, et sur un gens étudier de DES de procès de DES d'unité centrale naturelles et qui dans le village, le XVIème, le XVIIème et le XVIIIéme demeuraient siècles.
La La luttent indifférente sous de été de pas de n'a de l'Inquisition : le démarcheur le de dans de comme paye, pratique de La cryptique, duplicité de La, comme de perpétuées de sont de Se de l'endogamie modus vivendi engendrant propres de culturelles de marques de DES.
Le long marranique de vécu singularités d'un DES de tissé et qui a de religieuse d'autonomie d'une éloigné la communauté de juifs et de De juifs non. Les protagonistes de ce les de été du processus Ontario hazzanot (les diseuses de prières, les parleuses de la Loi) . Cryptojudaique pendant sacerdotal de période de longue de La de prestige de Leur, socialisation de La, mosaïque de Loi de La de à de fidélité de La (la La envisageant luttent le comme mission, l'endogamie privilégiant, protectrices traçant du de stratégies de DES maintien le communautaire de de l'ordre), des dehors d'Au de le travail (une assurant économique et l'élargissement des espaces de sociabilité) Ontario d'indépendance engendré une chaîne de transmission, une zone protégée de croyances, de rituels et judaïques de de symboles.
Au siécle de du XXème de début, Samuel Schwarz, polonais d'ingénieur d'un, juif, est de qui les les de dans de travailler de venu extrait de Gaia, près de Belmonte, cette de découvre communauté. Livre du publiera un d'Il, Fin de support Portugal de novos d'OS Cristãos aucun século XX, l'il d'oú relient les juifs de ces d'avec de rencontré s'est d'il de commentaire. Sur la La de que de croit bourg d'Au de de Schwarz de présence, les facteurs de DES du révélé s'est un, DES plus des importants versez le communauté de La de le survécue de. La des chandelles De de les d'allumé du lui Ils Ontario d'Avec mémoire. Oubliées de déjà de religieuses de cérémonies de DES de célébré de Ils Ontario, et Ontario préceptes de DES d'appris. Rachat de se développait le mouvement du d'oú de période d'une de Dans marranes de DES, lidéré Barros par Basto, il un appui de l'avec un de compter d'unité centrale approprié région De Beira de La de dans d'ingénieur de de cet ; beaucoup de jeunes, de Belmonte, de Covilhã, de Fundão, La de fréquenté d'Ontario Yeshivá Rosh Pinah dirigée Barros par À Porto De Basto.
Après aileron de la Première République - 1910 -1926 de La - et lois de tolérance de de ses le religieuse, La luttent le devenue de des juifs de la région est plus difficile. La connaissance du nazisme, portugaise de politique de La, une de à de d'appartenir de peur de La partout de peu du poursuivi un de qu'était de minorité, un installé le secret, une La de fermé autres aux. de communauté. Se de Ils cachaient et les voudraient de rappeler de Se du quand Ils les femmes de DES de mémoire de La de était de recours de leur de religieux de préceptes et bien le livre de Schwarz : sur le l'appelle souvent Le Manuel du parfait cryptojuif. ( Il grands l'antisémitisme de pair de dite de Différence de La de que de faut et l'antimarranisme de pair environnante relèvent de société de La d'avec de de l'intermédiation de qui, un aussi La construction identitaire de la communauté de dans de participé).
Sur a DIX de soixante d'années de les de depuis de communauté de La de connu. Démarcheur le de À Belmonte juifs étaient de les de qui de savait de monde. Religion marquée par le syncrétisme de Leur feux de DES d'entre de plaçait de les : parce acceptaient de pas de les de Ne de catholiques de les juifs étaient de qu'ils ; judaïsme refusaient de fils de leur d'orthodoxes de juifs de les les baptisés s'étaient de qu'ils de parce, les mariés souvent, et les enterrés de toujours par l'Église. Et juifs sentaient pourtant de Se de Ils. Années 80 Ils Ontario de les de Vers membres grands de la communauté de Lisboa et De du éveillé un intérêt de quelques Au Portugal, Collette Avital de d'Israël de l'ambassadrice. Alors, régnait de le bonheur les juifs de Belmonte, acceptés étaient de les d'entre de Ils versent l'officiel de le judaïsme.
La orthodoxes de présence de rabbins, depuis 1990, complètement le de éteint de pas de n'a marranisme, malgré la construction de la synagogue - 1996 -, du cimetière judaïque - 2000 -, circoncisions de DES, fêtes de de la connaissance des, DES prières, lois De de DES cacheroute et familière de de pureté.
La frontières de DES de définition, judaïque de d'identification de critères de DES de rigidité de La résistances aux. du confronté s'est et dissidences d'un DES de produit. Modèles de les de Dans hors de vécue de religion de d'une de croyants de les de n'ont pas de place d'orthodoxe de du Judaïsme institutionnels de canons de DES.
Après années 90, questions de les de multiples de lisibles de sont d'oú de microcosme de l'est un de Belmonte judaïque concernent de le monde de qui. S'agit d'un temps de reconstruction, de doute d'Il, et versez le passé de quelques membres de nostalgie du ; le maintenue s'est de femme de La, souvent, privilégiée de l'éducatrice, l'artisane de l'identité, La de fait de qui patrimoine de d'un de transmission et été de pas de n'ont de qui de cosmovision de d'une substitués de complètement. Écrite de Loi de La de à de fidélité de La, La Parole du Père, est de à devoir d'un, le qui d'agent c'est des mais fut/ le rôle de socialisation une La de rendu femme gardienne du système. Volonté de La et La de à de la détermination de veiller non détérioration des cadres de référence, la transmission de croyances et de codes communautaire commun d'espace de d'un d'expert en logiciel à l'envie de construction assurant.
Héritières du marranisme, il y de Belmonte de à un leur de vécu du qui Ontario de déracinées de personnes de DES librement de religion ; rabbiniques aux. de pratiques de confrontées, il y un gens de DES les de qui acceptent, d'attachement et de connaissance de degrés de différents de DES d'avec, l'il y des d'autres versent la conversion de La de qui le poids de, de la ré-éducation un été insoutenable. Judaïque maintiennent d'autarcie de leur d'Elles, La s'éloignant de De officielle de religion ; La participent de à de néo--marranes qui de les de sont de la CE polymorphe du Judaïsme de construction de la richesse.

Maria Antonieta Garcia

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MessageSujet: Re: MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeMar 17 Avr 2007 - 20:36

voila quelque resultats en francais

http://www.sefarad.org/publication/lm/041/9.html

http://www.ladifference.fr/fiches/livres/marranes.html

http://www.alapage.com/mx/?tp=F&type=1&l_isbn=2729108092&donnee_appel=REF00

http://www.sefarad.org/publication/lm/054/html/page5.html
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MessageSujet: pascua marrana   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeMar 19 Juin 2007 - 7:54

PASCUA MARRANA

Hoy es el día 16 de la luna nueva de marzo. El pastor del alba está alto todavía, los ruidos de la noche aún son susurros, que explotarán al amanecer. Yo, Don José Manuel de la Santa Trinidad Rojas y Mejía, contemplo la noche que está pariendo el día de la pascua hebrea. Mi nombre no es una casualidad, ya que arrastro los que fueron impuestos a los cristianos nuevos, más el Rojas, que es una inversión de las letras de SAJOR (negro, en hebreo) y Mejía que es una derivación de Mesías, pero esto es algo muy oculto y muy privado, caso contrario la desgracia caería sobre mi y sobre mi amada familia.
Pertenezco a los llamados "marranos" por la santa iglesia y debo hacer todo lo posible por demostrar mi devoción cristiana. De hecho mi hermano Fray Pedro apóstol Rojas y Mejía es sacristán y quien mas se ha sacrificado, ya que no solo debe vivir una vida de hipocresía y negación de su fe, sino que se ha condenado a ser un tronco sin gajos ni simiente para "honor" de su iglesia.

Hoy deberé concurrir a misa con los míos y veré a mi hermano cuando coloque la hostia en nuestras bocas, sabiendo que lo hacemos empujados por las circunstancias, ya que en ello se nos va la vida.

Luego Pedro vendrá a lomo de burro hasta la finca, y juntos en la ribera del río, golpearemos las aguas con varas de sauce, recordando a nuestro patriarca moisés en el desierto. No se bien porque hago esto pero hay algo muy profundo en mi que me lleva a hacerlo. Quizá fuera el respeto a mis mayores. Pero no. Es algo que surge por mi mas que por ellos, por amor mas que por compromiso.

Tengo una finca donde hago salado y curtido de cueros. Como es mucho el personal que requiero, soy habitual en los remates de esclavos. Allí mi servidor : el mulato Lucas, de quien nadie podría sospechar origen marrano (de hecho no lo tiene), se acerca a revisar a los pobres desdichados y cuando simula inspeccionar boca y oídos les dice en vos baja el "shemáh Israel",(oye Israel) a lo que muchos responden atónitos y embargados por la emoción. Estos son esclavos que compro para mi hacienda y en especial los traídos de Portugal y Brasil responden positivamente a la contraseña.

Hoy, noche de pascua, todos esos, "esclavos" que trabajan conmigo saben que serán liberados de compromiso alguno, pues después de relatar sobre nuestra esclavitud en Egipto, diremos: !ahora somos libres!, aunque sé que no lo somos aún, también "compro" grupos que los piratas venden sin pasar por mercado alguno, y estos son los sospechosos de judaizantes que eran llevados frente al Santo tribunal de España y los corsarios capturan en altamar. Para poder afrontar estas "compras" me ayudan miembros de la familia Sacerdote (Cohen) y Viel (inversión de letras de Levi), quienes están en igual condición que yo.

Durante la semana quemamos mucha harina en los hornos para que nadie sospeche que no comeremos pan, mi esposa "deslizó" entre tantas horneadas unas pocas tablas de "pan flaco" que retiró sin ser vista y guardó celosamente en el sótano de la casa, a fin de tener matzáh (pan ázimo) para la noche.

Yo me ocupo personalmente de la "carneada" de corderos para lo cual elijo animales sin defecto alguno, tomo cuchillos sin mella y después de despostar, pongo la carne en agua y en sal sin olvidar "como al descuido" salpicar los cuchillos sangrantes sobre las jambas de las puertas como hacían mis antepasados. Quisiera acompañar esto con las bendiciones apropiadas, pero nunca las supe. Espero mis ruegos igual sean oídos.

Ya se acerca la hora de la cena. Pedro busca en el doble fondo de la capilla un libro muy antiguo que yo no se leer, pero mi hermano si, y a su vez enseño a mi hijo a hacerlo. Yo mando a Lucas al aljibe, y con el pretexto de echar cal, baja con la hamaca hasta la segunda calzadura donde hay oculta una copa labrada, un chal de oración y pequeños solideos con la estrella de David. También un pedazo de pergamino que halle en un viejo arcón familiar y como creo está escrito en hebreo lo oculte hasta tanto me lo tradujeran. Bajo al sótano. El olor fuerte de los cueros y el "charqui" me impregna la nariz, y la tabla de salar está cubierta por un mantel de lino blanco, la copa refulgente llena de vino y el pan de la pobreza frente a la silla de cabecera.

Todos tenemos miedos y angustias, mi hermano Pedro está transformado, le brillan los ojos que está llorando, mi hijo mayor con un solideo rojo me mira con amor y temor. .

¡Ay hijo! Si pudiera protegerte del riesgo al que te expongo. Pero se que no puedo, con lo cual me asalta la culpa. Esta se desvanece al oír palabras que no entiendo, pero con una melodía que despierta en mi recuerdos de experiencias que no viví.

Mi hijo se levanta y canta unas pocas frases en lengua extraña para mi y mis invitados. Sin embargo al oírlas todos rompemos a llorar. Mi hermano, hoy sin su crucifijo parece librado de un yugo opresor, se levanta, me cubre con el viejo chal a franjas que ignoro a quien perteneció . pero al envolverme en el siento una calidez extraña en todo mi ser.

D's todo poderoso, ¿porque no podemos sentir esto siempre? ¿Porque debemos mentir diariamente sobre nuestra fe? ¿Cuantos de nosotros seguiremos tus caminos y cuantos se alejarán para siempre de tu senda? Ojalá pudiera ver un futuro poblado de hermanos que se manifiestan libremente como hebreos. hijos de tu pueblo elegido.

Nos invade el silencio. Todos lloramos en esta fiesta, que debería ser de alegría por la libertad lograda. Pido a mi hermano el sacristán que me traduzca el viejo pergamino. Lo despliega y con dificultad lee las letras que el tiempo borra. Pero su contenido resalta, y lee en altavoz..

Avadim ahinu veatá bnei jorim, baruj atah adonay eloheinu, sheejeianu vekimanu vehiguianu lazman hazéh. Esclavos fuimos y ahora somos libres, bendito seas que nos permitiste vivir para llegar y acercarnos a este momento.

Quiera D's que en un futuro no lejano, mis hijos y los hijos de ellos puedan vivir una pascua en libertad, tan sentida como esta "nuestra pascua marrana"
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MessageSujet: Re: MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeMar 19 Juin 2007 - 14:48

Quelle histoire!!!!!!!!!!!!

Il y a quelques annees moi aussi, j'ai commence a chercher mes racines............j'ai pour tâches d’effectuer des recherches sur les juifs, sur les cultures et les sociétés humaines.
je fais des observations sur leur histoire, leurs modes de vie, leurs caractéristiques physiques, leurs valeurs, leurs eus, leurs arts, le fonctionnement de leur société, etc). Comment ont-ils vecus leur judaime, Mon travail servira à mieux connaître les comportements des peuples d’une région et à mieux comprendre et expliquer les différents aspects de leur évolution. je fais des recherches par internet, a la bibliotheque,et en parlant avec les nombreuses cultures que nous avons en israel, dans les archives de bet a tefoutsot, dans les revues et manuels spécialisés, par des fouilles archéologiques, par l’analyse des objets trouvés, par des enquêtes auprès de personnes issues de ces peuples et parfois même des observations sur le terrain. ashdod ma ville a ete envahie par les phylistins il y a 2000 ans et j'aime aller sur les ruines pour voir je trouve a chaque fois quelque chose d'interressant.
dans mes recherches j'ai trouve des arabes musulmans (a saint-jean d'acre, plus haut que haifa, et a yaffo,qui sont toutes les 2 ,des villes avec une population avec 50% d'arabe et 50% de juifs),j'ai trouvait des arabes marocains, a Yaffo (Jaffa) ils sont arrives il y a 400 ans pour faire fortune en Israel, le saviez-vous?

je voudrais savoir s'il y a parmis nous un marranne?
mes descendants sont les espagnols de l'exil, ils sont nes a Andujar pronvince de Jaen, ils sont arrives a Fes, et a Meknes ils sont restes 1 siecle environ et sont partis presque tous vers Arcila, et apres plusieurs annees a Arzila, il sont partis vers Tanger et larache.
en 1899,un parent a papa Samuel Anidjar est parti a l'age de 13 ans a Manaus en Amazonie au Bresil, chez un oncle ,il est tombe amoureux de la bonne qui avait 9 ans,Estrella Benarosh, une petite orpheline, qui est arrivee elle aussi de Arcila Maroc avec la famille Roffe( Roif)pour les aider dans les travaux domestiques, Samuel Anidjar a attendu 6 ans et lorsque Estrella avait 16 ans et Samuel 19, ils se sont maries .

Au bresil il y a des milliers de marranes
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MessageSujet: Re: MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeMar 19 Juin 2007 - 14:55

Dans plusieurs régions du monde, les turbulences de l'histoire ont conduit des membres de la communauté juive à camoufler leur identité religieuse. Le cas des marranes d'espagne du portugal, et des iles espagnoles est l'un des plus connus.
les Majorquains d'origine juive , par exemple sont toujours soupçonnés par leurs voisins de l'être demeurés, ce qui explique qu'ils se marièrent entre eux jusqu'au début du 20e siècle. De fait, bien des familles conservaient certaines coutumes juives, liées au shabat et aux fetes juives avec chants et allumage de bougies par pure habitude de mere en fille ( mi dor va dor), mais beaucoup ne savaient pas que c'est parcequ'ils etaient juifs il y a 500 ans.
parmis les anoussimes les plus celebres il y a le general francoet christophe colomb
pour le general franco , ce n'etait pas un secret
pour christophe colomb , ils ecrivait en haut de ses lettres a droite ,en hebreux:be ezrat a chem en tout petit et ce sont ses lettres qu'on a retrouvees qui prouvent qu'il faisait parti d'une famille de anoussims, surtout que son voyage, a ete organise et paye par d'anciens anoussims. pour decouvrir les indes( il s'est trompe et arrive en amerique)
L'expansion à partir de l'espagne et du portugal, a fait que des descendants de marranos se trouvent aujourd'hui également en Amérique latine, au Brésil, et perou.
Le terme de marranes lui-même est considéré par certains comme vilain, , et ils lui préfèrent alors aujourd'hui le mot hébreu anousim convertis de force.
il y a tres peu de juifs au portugal,le rabbin Eliyahu Avichail aida à convertir les anoussimes aujourd'hui célèbres de Belmonte, au Portugal

Et des descendants de familles d'anoussimes redécouvrent leur identité et font parfois le pas de la conversion aux judaïsme.
tout ce que je vous raconte , je les su, par un film documentaire fait par l'ancien president de l'etat d'israel , ishak navon, qui cherchait ses racines en espagne et au portugal, celui qui a vu le film a pu constater que 500 ans, apres l'inquisition les anoussimes ont encore peur qu'on les photographie, et qu'on leur pose des questions, on a vu les rues en espagne et au portugal avec encore leur noms juifs comme calle de la juderia, calle maimonides, calle youda alevy et autres.

Bien différente apparaît la situation des juifs de Sanliurfa, ville biblique d'Ur, en Turquie, peuplée par 600.000 habitants, à quelques dizaines de kilomètres de la frontière syrienne.
Selon une enquête americaine, une dizaine de familles juives vivraient encore à Sanliurfa et célébreraient les fêtes juives dans le secret de leurs demeures - tout en se rendant par ailleurs dans les mosquées locales.

Ce que l'on sait sur eux est cependant très incertain, et il n'est pas facile de faire la part de la rumeur, les juifs de Sanliurfa - s'ils existent toujours - sont si soucieux de leur sécurité et donc de préserver leur anonymat qu'ils refusent tout contact avec les représentants d'organisations juives qui ont tenté d'entrer en contact avec eux au cours des dernières décennies.
Et des responsables municipaux démentent l'existence de toute communauté juive dans leur ville, affirmant que la population y est entièrement musulmane.

Quelque 150 familles juives seraient demeurées à Sanliurfa, en turquie, au moment de l'émigration massive vers Israël après 1945 . La plupart se seraient complètement assimilés, tandis que quelques-uns préserveraient clandestinement leur identité.
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MessageSujet: Re: MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeDim 10 Fév 2008 - 21:49

La communauté juive du Portugal est en train de vivre un véritable tournant: le petit village de Belmonte à inauguré sa nouvelle Synagogue il y a 4 ans, les synagogues se remplissent à nouveau pour Shabbat, les jeunes ont envie après des années d'anonymat d'assumer leur judéité, de s'investir, de créer une union d'étudiants, ...
Cela peut paraître banal pour nous, qui habitons,Ashdod ou Paris,ou Los Angeles,
qui avons aussi,dans notre pays un grand nombre d'organisations communautaires, des mouvements de jeunesses, une radio,...mais pour le Portugal c'est un pas essentiel et prometteur qui vient d'être fait.
il y a seulement quelques années que ces crypto-juifs ont décider de dévoiler leur judaïsme et de l'assumer pleinement,c'est arrive au portugal et au mexique.

L’émigration des Juifs vers le Nouveau Monde débuta dès l’établissement des premières colonies. De nombreux Juifs sépharades (d’origine espagnole ou portugaise) s’installèrent au Brésil ; cependant, seuls les marranes furent autorisés à y demeurer et la persécution à laquelle les soumit l’Inquisition entraîna leur fuite du Brésil. La première communauté d’Amérique du Nord fut fondée en 1654 par quelques-uns de ces marranes brésiliens dans la colonie néerlandaise de la Nouvelle-Amsterdam (aujourd’hui New York) où ils purent professer ouvertement le judaïsme. Au moment de l’indépendance américaine, vers 1780, la population juive des colonies comptait environ 2 000 membres. Au XIXe siècle, la plupart des immigrants juifs aux États-Unis venaient d’Allemagne, à la suite de la reprise de l’antisémitisme après 1815, puis à l’échec de la révolution allemande en 1848. À partir de 1880 environ, 3 millions de Juifs s’installèrent aux États-Unis, la plupart originaires d’Europe. Cette immigration à grande échelle prit fin en 1924, lorsque les quotas restrictifs d’immigration furent instaurés.
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MessageSujet: Re: MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeDim 10 Fév 2008 - 21:53

L’existence de la petite communauté marrane de Belmonte, village de la province de Beira, au nord-est du Portugal, ne relève pas de la curiosité ethnographique ou de la survivance de quelque lointain souvenir. Ces quelques dizaines de familles pratiquent la religion juive en secret, sans synagogue, sans livres ni rabbin.
Depuis cinq siècles, depuis les persécutions catholiques et les baptêmes forcés des juifs, ceux qui allaient faire d’une insulte – le mot «marrane» signifie porc en castillan – leur titre de gloire et de victoire, maintiennent cette mémoire et la transmettent telle une flamme fragile et essentielle. »
En Espagne puis au Portugal, les nuevos conversos appelés marranes
(d'étymologie discutée, mais porcs en espagnol est la plus fréquemment admise) sont, au sens propre, des Juifs séfarades contraints à se convertir au catholicisme par l'Inquisition lors de la Reconquista et plus tard encore. Beaucoup d'entre eux durent fuir dans le sud de la France, en Flandre ou en Italie mais aussi dans l'Empire Ottoman.

Au Portugal, beaucoup d'entre eux conservèrent leurs rites dans la clandestinité jusqu'à nos jours.
Privés de rabbinat, leur calendrier s'est christianisé. Sans contact depuis des siècles avec le reste de la communauté, certains jusqu'il y a peu ignoraient leurs origines juives.

Certains plats, tels le porco a alentejana au Portugal, furent, selon la légende, élaborés dans le but de débusquer ceux qui étaient suspects de conserver des coutumes casher.

En 1500, au moment même où Cabral découvrait le Brésil, 100 000 juifs portugais furent sommés de choisir entre la conversion au catholicisme et l'exil.
Ils se sont convertis en masse, mais la plupart d'entre eux continuèrent à judaïser en secret, au péril de leur vie.
Ceux-là, les chrétiens les appelaient les Marranos, c'est à dire les porcs.
Ayant accepté le baptême, les Tribunaux de l'Inquisition les considéraient comme hérétiques et les traquèrent sans relâche de 1536 à 1760.
Les Marranes ont tous disparu du Portugal. Tous, sauf ceux de Belmonte, une centaine de personnes, qui aujourd'hui, continuent à pratiquer en secret ce judaïsme clandestin, vieux de cinq siècles.
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MessageSujet: Re: MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM   MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Icon_minitimeMar 12 Fév 2008 - 14:50

Soly en lisant ton histoire sur les marrannes, je vais te raconter a toi et aux membres de ton beau site, que j'aime et que je lis tres souvent, une histoire vraie, une amie a moi qui habite en France est allee avec son mari au Portugal en voyage organise, elle m'a raconte qu'elle a rencontre des juifs, mais la chose qui l'a marque, est que sur la liste des
"Monumentos essenciais da cidade", qui veut dire "LES MONUMENTS ESSENTIELS DE LA VILLE"
il y a une chapelle qu'ils ont visites, construite avec des tetes de squelette,a Évora, Évora est une ville portugaise, capitale du District d'Évora, dans la région d'Alentejo avec une population d'environ 41.159 habitants.

Comme je n'ai jamais entendu parler de cette chapelle je suis entre dans j'ai ecrit :Capela dos Ossos qui veut dire en portugais "La Chapelle des Os", et le resultat est monstrueux, regardez................

Evora, ville musée classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, la très surprenante " chapelle des os " dont l'inscription à l'entrée " nos Os attendent les vôtres " peut laisser mal à l'aise. Les murs sont entièrement recouverts de crânes et d'os de membres humains.



La Chapelle des Os est un des monuments les plus connus d'Évora, au le Portugal. Elle est placée dans l'Église de San Francisco.

C'est une horreur, a qui sont ces cranes? comment peut-on prier, devant une telle monstruosite? depuis que mon amie m'a raconte je ne peut pas m'arreter de chercher, regardez vous meme:voici la fameuse chapelle du mistere:
MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Chapel10

voici l'entree:

MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Capela11


MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM -capel10

MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Capela10

MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM -capel11

MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Capela12

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MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Capela13

MARRANES ET VIE JUIVE A AMSTERDAM Capela14

peut importe a qui appartiennent ces cranes, pourquoi ces pauvres creatures n'ont pas ete enterrees, c'est pas le manque de cimetieres comme meme!!!!! comment le Portugal un pays doux et civilise permet une telle horreur? ca ressemble a la caverne d'Indiana Jones ou au chateau du monstre Frankenstein.Peut-on se servir des cranes de personne pour construire une chapelle et la terre peut continuer a tourner, sans que personne parle au 21 eme siecle?

de quelqu'un qui ne peut pas dormir depuis qu'il a vu les photos des crânes humains.
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