MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR
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MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR

HISTOIRE DES JUIFS DU MAROC-CASABLANCA-RABAT-MAZAGAN-MOGADOR-AGADIR-FES-MEKNES-MARRAKECH-LARACHE-ALCAZARQUIVIR-KENITRA-TETOUAN-TANGER-ARCILA-IFRANE-OUARZAZAT-BENI MELLAL-OUEZANE
 
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 JUIFS MAROCAINS AU VENEZUELA

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Soly Anidjar
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Soly Anidjar


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MessageSujet: JUIFS MAROCAINS AU VENEZUELA   JUIFS MAROCAINS AU VENEZUELA Icon_minitimeMer 17 Jan 2007 - 10:00

Les Juifs marocains au Vénézuela

Dès la fin du XIXe siècle, des petits commerçants originaires de la zone espagnole du Maroc, viennent s’installer au Venezuela. Ils se retrouvent dispersés un peu partout dans le pays et connaissent une assimilation rapide, sauf à Caracas.

Dans les années 1950, puis entre 1960 et 1970, de nouveaux arrivants chercheront aussi à bénéficier des conditions de vie offertes par ce pays en pleine croissance économique. Ils y trouvent une communauté très structurée, bien intégrée et dynamique.

Aujourd'hui, ils sont au nombre d'environ 5 000 à 6 000 personnes, en grande partie originaires de Tétouan, dont le noyau le plus dense se retrouve à Caracas, la capitale.

La première vague migratoire pratique essentiellement le commerce, le négoce du café et du cacao, des tissus et des autres ressources naturelles du pays à partir desquelles ils montent des réseaux d’import-export.

Par la suite, le boom pétrolier vénézuélien contribuera à leur prospérité. La participation des Juifs marocains à la vie économique du pays ne se limite pas pour autant au commerce et à l’industrie (industrie textile, du froid, du meuble, etc.).

Ces secteurs ont progressivement perdu leur prédominance au profit des professions libérales et des services et l'on compte aujourd'hui un grand nombre d'universitaires, d’avocats, d’ingénieurs, de banquiers et de spécialistes des nouveaux métiers de la communication.

Les Juifs marocains installés à Caracas créent, en 1907, la Sociédad Benéfica Israélita qui cherche à renforcer les réseaux de solidarité entre nouveaux arrivants et entre immigrants dispersés dans le pays. En 1919, elle se regroupe avec la Sociédad Israélita de Venezuela dans L’Asociación Israélita de Venezuela :
L’Asociación Israélita de Venezuela

Extrêmement dynamique, cette association chapeaute une synagogue, une bibliothèque, une grande salle de conférence, ainsi qu’un vaste centre social, sportif et culturel. Ce dernier, le Club Hebraïca, est au cœur d’activités très variées dans lesquelles se retrouve toute la communauté juive marocaine de Caracas. L’Association est aussi à l’origine d’un espace éducatif proposant un enseignement religieux et profane qui va de la maternelle au secondaire.

qui prendra le relais à partir de 1930.


Toutefois, ses soixante dix membres continueront à se réunir dans des maisons privées pour la célébration des fêtes religieuses jusqu’à la fondation de la Synagogue del Conde, quelques années plus tard.

Cette dernière, dont le nom rappelle son quartier d’origine, sera détruite au milieu des années cinquante lors de grands travaux de rénovation et d’urbanisation de Caracas. La Gran Sinagoga Tiferet Israel lui succédera. Léon Taurel est un de ses mécènes, avec les fils du philanthrope tangérois Aaron Cohen qui ont fondé la Sinagoga Bet Aarón.

En 1980, le Centro de Estudios Sefardíes de Caracas ouvre ses portes
Il existe une importante vie communautaire au Venezuela qui se manifeste de multiples façons. Ainsi, dès 1922, la première revue juive de Caracas, Macabeo, est créée grâce aux docteurs Aaron Benchetrit et Jacobo Bendahán Chocrón.

La revue Israël prend le relais en 1933, suivie de la plus importante revue, Maguen-Escudo, publiée irrégulièrement depuis les années 1970 par l’Association Israélite du Venezuela et le Centro de Estudios Sefardíes de Caracas. Ces institutions sont aussi à l’origine d’une collection de livres portant sur les communautés du Venezuela et du Maroc, la Biblioteca popular Sefardi.


Sous l’égide de la CAIV (Confederación de Asociaciones Israelitas de Venezuela) créée en 1966, de nombreuses activités culturelles, dont les semaines sépharades, depuis 1982, sont organisées.

Les autres institutions qui se consacrent à l’étude et la diffusion de ce patrimoine sont l’Instituto Cultural Venezolano-Israelí et l’Instituto Superior de Estudios Judaiscos (ISEJ).

Plusieurs Juifs marocains se sont illustrés dans le domaine médical

Le docteur Aarón Benchétrit s'est engagé dans la lutte contre la lèpre et la grippe espagnole; le docteur Jacobo Bendahán Chocrón, contre la tuberculose; le docteur Elías Benarroch Pariente, pionnier dans la lutte contre le paludisme, s'est penché sur les maladies tropicales.

Il faut aussi mentionner les noms du docteur Henrique Benaím Pinto, important chercheur, dont le nom est immortalisé par une grande avenue de Caracas et celui du docteur Baruch Benacerraf, premier prix Nobel de médecine vénézuélien en 1980.



politique
Citons ici les noms des sénateurs Rafael Serfaty et Elias Benarroch; des ministres, Gustavo Pinto Cohen, ministre de l’Agriculture et de l’Élevage, Paulina Almozny, vice-ministre de l’Information et Alfonso Benzecri, ministre de la Santé et de l’assistance sociale.

artistique et littéraire
Au plan cinématographique, Margot Benacerraf s'est fait connaître par son documentaire, Araya. Citons aussi les noms de Isaac Chocron, romancier et dramaturge, Moises Garzon Serfaty, en poésie; et ceux des écrivains Abraham Essayag, Jacob Carciente, Jacob Bentata, Leon J. Benoliel, Daniel Bendahan, de la chanteuse Esther Roffé, et du toréro Sananès.


La communauté juive marocaine du Venezuela entretient des liens étroits avec Israël depuis la fin des années 1940, facilités par les contacts entre ces deux pays.

Elle participe aux activités du Comité Venelozano pro Palestina fondé en 1946. Il faut aussi mentionner le Comité Venezolano del Fesela, situé à Caracas, qui est la section vénézuélienne de la Fédération sépharade d’Amérique latine.
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MessageSujet: La actual comunidad judia venezolana parte 1   JUIFS MAROCAINS AU VENEZUELA Icon_minitimeJeu 18 Jan 2007 - 0:04

LA ACTUAL COMUNIDAD JUDIA VENEZOLANA

En la segunda mitad del siglo XIX, hubo marcado interés de los gobiernos de Antonio Guzmán Blanco y Joaquín Crespo por atraer inmigrantes al país. Se hacía mediante contratos que el gobierno otorgaba y con la designación de agentes consulares idóneos. Los judíos Abraham J. Lasry, Enrique B. Levy y Alejandro Mondolfi, este último de origen italiano, cumplieron esas tareas.
En las dos últimas décadas de ese siglo, comenzó a llegar al país una inmigración judía proveniente del norte de Marruecos, especialmente de Tetuán. Enrique B. Levy será uno de los fundadores, en 1907, de la Sociedad Benéfica Israelita que apenas tiene una duración de dos años. En 1930, Alejandro Mondolfi preside la Asamblea que acordará la constitución de la Asociación Israelita de Venezuela, institución que hasta hoy agrupa a la comunidad sefardí del país.

Los apellidos de esos nuevos inmigrantes son, entre otros: Levy,Cohén,Taurel,Obadía,Benacerraf, Sabal, Ettedgui, Pariente, Coriat, Benshimol,
Bendayán, Sananes, Benzecri, Benmergui, Benaim, Pilo, Carciente, Benarroch.
Se encuentran con una comunidad judía, la de origen curazoleño holandés, en vías de extinción por el proceso asimilatorio, pero el choque cultural impide los nexos entre ellos. Los recién llegados se establecen mayoritariamente en Caracas, pero también en La Guaira, Puerto Cabello,Carúpano, San Fernando de Apure, Río Chico, Valle de la Pascua, Maracaibo, Barcelona, Villa de Cura, Barquisimeto, Los Teques, La Victoria y Maracay.

A finales de los años veinte y mediados de los treinta, la crisis económica que se vive en el mundo, adquiere dimensiones de miseria en el Medio Oriente comienzan a llegar judíos provenientes de Palestina, Siria, Líbano y también de Turquía, Grecia y Bulgaria. Se les engloba bajo el mote de turcos" ya que provenían de los antiguos dominios del Imperio Otomano. Se produce de nuevo un desencuentro cultural con la comunidad ya establecida, en su mayoría próspera, de judíos de origen marroquí. Estos últimos van a ser los mayoristas que proveen de mercancías a los "turcos" para que realicen su trabajo de vendedores por cuotas, de puerta en puerta y de pueblo en pueblo. Los unía la fe religiosa pero los separaban el idioma y las costumbres.

En esos mismos años llegaron algunas familias ashkenazíes, es decir judíos originarios de Europa que en su mayoría se expresaban en idish, una lengua derivada del alemán ó bien en este idioma. Las relaciones intercomunitarias eran difíciles, por razones idiomáticas, culturales y hasta por el acento y entonación de sus oraciones.

A finales de la década de los 30, logran arribar al país algunos judíos que han podido escapar de lo que ya se vislumbraba como el propósito del régimen nazi de exterminarlos. En 1939 el gobierno del general Eleazar López Contreras, en un gesto que lo enalteció, permitió el ingreso al país de un
grupo de judíos que había salido de Alemania en los barcos Caribbea y
Koeningstad y que fueron rechazados en distintos puertos de América, incluido Curazao. Iban a ser devueltos a la muerte segura cuando Venezuela les abrió sus puertas.
Los esposos Rottenberg, Juan Plaut, la familia Kern, las profesoras María Tengler y su hermana Federica Ritter, la entonces muy
niña Susy Kobler, que es hoy nuestra reconocida artista plástica Susy
Iglicki, el profesor de canto Alfredo Hollander, serían algunos de los pasajeros de esos buques. Pronto se integraron a la vida venezolana con espíritu emprendedor. Gracias a Miguel Rottenberg, los caraqueños conocimos las delicias y el refinamiento de la pastelería europea cuando fundó la Pastelería Vienesa, al principio en un pequeño local en El Conde. Los Kern,introdujeron la comida rápida gourmet desde su inolvidable Fuente de Soda del Centro Médico de San Bernardino. Su hijo Heinz sería un notable químico, promotor de importantes empresas. Las profesoras Tengler y Ritter fueron memorables para varias generaciones, como pedagogas de latín, griego, alemán, inglés y francés. Profesionales, técnicos, artistas, maestros, gente con una vasta cultura y una formación para el trabajo emprendedor que pronto
encontrarían en Venezuela, donde tantas cosas estaban por hacerse, el campo propicio para desarrollar todos sus talentos.

No fueron muchos los judíos europeos que tuvieron la suerte de los pasajeros del Caribbea y del Koeningstadt. Una circular girada por la Cancillería venezolana a todos sus consulados en el Exterior, prohibía expresamente otorgar visas a judíos. Al concluir la Guerra en 1945, llegó un número
importante de sobrevivientes originarios de Rumania, Polonia, Hungría, Checoslovaquia, Yugoslavia, Grecia, Austria y Alemania. Muchos cambiaron sus apellidos para poder ingresar al país ya que se mantenía vigente la antes mencionada circular.

En 1946, la comunidad ashkenazí funda el Colegio Moral y Luces Herzl Bialik.
En sus comienzos el alumnado fue mayoritariamente perteneciente a ese sector
Pero al pasar de algunos años, los sefarditas comparten la tarea educativa y se transforma en el colegio de toda la comunidad y en el factor determinante de la unidad entre los judíos venezolanos, sin distingo de origen.

A partir de 1948, con la creación del Estado de Israel, se produce una emigración masiva de judíos desde países musulmanes, en donde la presencia de estas comunidades había sido milenaria. Llegan a Venezuela desde Egipto,Siria y Líbano. Y al proclamarse la independencia de Marruecos, en 1956, se
produce una importante inmigración de judíos que venían de Tetuán, Tánger,Melilla, Ceuta y otras ciudades del Norte de África donde el español era el idioma predominante. Se encontraron con instituciones ya consolidadas, con sinagogas y con un colegio comunitario. De inmediato se incorporaron a la vida judía y a las actividades comerciales e industriales.

La comunidad judía de hoy está constituida por judíos venezolanos hasta de cuarta generación y por otros cuyos padres, ó ellos mismos, nacieron en otras tierras.
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MessageSujet: JUDÍOS DE TODOS LOS TIEMPOS EN EL DESARROLLO DE VENEZUELA   JUIFS MAROCAINS AU VENEZUELA Icon_minitimeJeu 18 Jan 2007 - 0:06

JUDÍOS DE TODOS LOS TIEMPOS EN EL DESARROLLO DE VENEZUELA

Los integrantes de las distintas inmigraciones judías que llegaron a
Venezuela, se dedicaron en su gran mayoría, al comercio. Pronto, muchos incursionaron en actividades industriales y financieras. El primer banco del país, llamado Banco de Venezuela y creado por decreto del Presidente José Antonio Páez, fue fundado por Isaac José Pardo Abendana, judío sefardí
proveniente de Altona, ciudad alemana cercana a Hamburgo. Llegó a Venezuela,
con solo 17 años de edad, en 1841. Además de banquero, fue un prominente jurista con participación protagónica en la redacción del Código de Comercio; lo que le valió una condecoración del presidente Guzmán Blanco. Administró y dirigió el primer telégrafo de Venezuela. Fue co-fundador del primer periódico de La Guaira y del Teatro Caracas. Tradujo del alemán la biografía
de George Washington escrita por su hermano Michael, quien había emigrado a
Venezuela pocos años antes que él.

Fue casi una norma que estos inmigrantes, muchos de ellos con escasa instrucción, aspiraran para sus hijos aquí nacidos, el camino de las profesiones universitarias. El primer judío egresado de la Universidad
Central de Venezuela, fue Isaac Senior, graduado de Bachiller en Artes y Filosofía en 1844. Le sucedieron, a lo largo de varias generaciones correligionarios que eligieron, con preferencia, la carrera de medicina.
Luego la ingeniería, la farmacia, la odontología y la arquitectura. Pero también la abogacía, las ciencias, la economía y las carreras humanísticas.
En todas y cada una de esas disciplinas, ha sido notable el aporte de profesionales judíos en las diversas áreas del desarrollo y de la modernización del país. Entre los que se pueden mencionar son:
Los Médicos:
David Lobo nacido en 1864, en Puerto Cabello, fue no solo un eminente obstetra y fisiólogo, sino además miembro fundador y Presidente de la Academia Nacional de Medicina, Rector de la Universidad Central de Venezuela, Presidente del Senado de la República y Embajador en Washington. A este nombre se agregan los de Aarón Benchetrit, natural de Tetuán, revalidó en la
UCV, en 1916, su título de médico colonial obtenido en París. Especialista en el estudio y tratamiento de la lepra é inventor de una pócima que, en medio de gran polémica, fue la única cura aplicada con éxito contra la
epidemia de gripe española que hizo estragos en el país en 1918. Elías Benarroch, graduado en la Sorbona en 1923, revalidó en la UCV en 1928,descubrió al anopheles darlingi como transmisor del paludismo y fue uno de los pioneros en la lucha contra esta enfermedad que permitió su casi total
erradicación a principio de los años cuarenta. Elena Blumenfeld, investigadora de la lepra, hizo del leprocomio de Cabo Blanco su residencia para estar siempre cerca de sus enfermos. Henrique Benaim Pinto, laureado internista, académico de la medicina. Víctor Benaim Pinto, ginecólogo y
obstetra, iniciador de los estudios de fertilidad en el país. Siegbert Holz,médico rural al igual que su esposa, en Cariaco, Estado Sucre, donde ambos fueron declarados hijos ilustres. Fue un notable pedagogo y por muchos años, director del Instituto Nacional de Higiene. Gracias al rigor que aplicó siempre a la aprobación de nuevas medicinas, ningún niño venezolano sufrió las consecuencias nefastas de la talidomida.
Martín Mayer, fundador del Instituto de Medicina Tropical. Rudolph Jaffé, quien vino de su Alemania natal para iniciar en Venezuela la cátedra de anatomo-patología. Víctor Zamorani, destacado pediatra y profesor universitario quien llegó a Venezuela cuando las leyes raciales de
Mussolini le impidieron seguir ejerciendo la profesión en su Italia natal. La Academia
Nacional de Medicina le rindió homenaje póstumo al cumplirse el centenario de su nacimiento. Joel Valencia Parparcén, uno de los más destacados gastroenterólogos de Venezuela, Simón Béker, fundador de la hepatología. Moisés Feldman, psiquiatra que dedicó gran parte de su vida al estudio de la
sicología de los próceres de la Independencia: Simón Bolívar, José Antonio
Páez, José Antonio Sucre y de figuras como el sabio Rangel y Armando Reverón y fue un adelantado en el estudio del genoma humano. Rubén Merenfeld,oncólogo, fundador de la Sociedad Anticancerosa e incansable líder de la lucha contra el cáncer.
La primera mujer que ingresó a la Facultad de Medicina de la Universidad Central de Venezuela, fue Sara Bendahán. Por trastornos de salud no pudo graduarse cuando le correspondía. La primera egresada, en esta profesión, en 1936, fue la también judía Lía Imber de Coronil, pediatra de inolvidables aportes. Sara Bendahán se graduó de doctor en ciencias médicas en 1939. Y la primera mujer que obtuvo el título de médico por reválida fue, en 1928, Ida
Malec de Petkoff, Durante 12 años ejerció como médico del Central Azucarero de El Batey y fue durante largo tiempo, la única médico en todo el Municipio Bobures, del Estado Zulia.
A estos nombres eminentes, se unen los de médicos de generaciones más jóvenes que tienen actuación destacada en todas las especialidades. Como dato interesante, Baruj Benacerraf, Premio Nóbel de Medicina, nació en Caracas aunque se residenció en los Estados Unidos desde temprana edad.

Ingenieros y Arquitectos:

Paúl Lustgarten, especialista en estructuras, individuo de número y Presidente de la Academia Nacional de Ciencias Físicas, Matemáticas y Naturales, miembro correspondiente de la Academia Europea de Ciencias, Artes y Humanidades. Este judío guayanés, ha recibido los más altos honores de las instituciones de su Estado natal y ha participado en la construcción de mas
de sesenta puentes en el país, entre ellos el Puente sobre el Lago de Maracaibo y el Puente de Angostura, sobre el río Orinoco. Fue asesor en la Construcción de la Avenida Cota Mil, del Metro de Caracas, de los puentes sobre el Río Limón y sobre el Caroní y de muchos otros desarrollos estructurales. Ricardo De Sola, doctor en Ingeniería de la UCV, profesor universitario, maestro fundador de las escuelas experimentales Venezuela y Artigas, Director Fundador de Petrolera Mito Juan C.A, coordinador del
pabellón de Venezuela en la exposición Universal de Canadá, con motivo del centenario de esta nación. Autor de varios ensayos de carácter histórico. Su hermano, el geólogo Oswaldo de Sola, fue rector de la UCV.
Mario Benmergui Attías, arquitecto con maestría suma cum laude en el Instituto Tecnológico de Massachussets. Responsable y director del diseño de ocho estaciones del Metro de Caracas, Premio de la Fundación Mendoza junto con los arquitectos Isaac Abadí Abbo y Mariano Goldberg, por el anteproyecto del Club Hebraica. Ganador del concurso para proyectar la nueva ciudad
Oued ed Dahab en Marruecos y Cónsul Honorario de Marruecos en Caracas hasta
1987.
Salomón Cohén Levy, ingeniero civil, fundador del grupo Sambil. Podría calificársele como constructor en tiempos de crisis, ya que ninguno de los avatares políticos y económicos por los que ha pasado nuestro país, lo han desanimado en su propósito de invertir siempre en Venezuela. Celina Bentata,varias veces laureada por su brillante carrera de arquitecta. El Museo de
Arte Contemporáneo ("Sofía Imber") de Caracas, realizó recientemente una
exposición de su obra.

Los Científicos:

Gabriel Chuchani y Estrella Laredo, investigadores con larga trayectoria en el Instituto Venezolano de Investigaciones Científicas (IVIC) han sido galardonados con el Premio Nacional de Ciencias. Gabriel Chuchani, fue además designado, en 1986, el ex alumno más destacado de la Universidad de Tulane y ese mismo año recibió mención honorífica del premio Mundial de Ciencias " INST. Albert Einstein".
Boris Drujan y Miguel Laufer fueron directores del IVIC.
Gonzalo Benaím Pinto, farmacéutico y químico, fue un investigador y docente
ejemplar y un permanente luchador por la calidad de la educación en Venezuela.

Los Judíos en las Letras, las Artes y el Espectáculo:

Resaltan, por el reconocimiento nacional a su obra y trayectoria, los nombres de Isaac Chocrón, Premio Nacional de Teatro, Sofía Imber, Premio Nacional de Artes Plásticas, Elisa Lerner, Premio Nacional de Literatura y
Alfredo Roffé, Premio Nacional de Cine.

En la música se encuentran los nombres de Reinaldo Hahn, el compositor del romanticismo del siglo XIX, que emigró a París desde su Caracas natal.
Flor Roffé de Estévez, creadora de un importante método de enseñanza musical
para niños.
Emil Friedman, fundador y director del Colegio que lleva su nombre y que combina la educación formal con la musical.
Harriet Serr, gran pianista y maestra de varias generaciones de pianistas.
Alfredo Hollander, maestro de la mayoría de nuestros cantantes líricos.
Jacques Braunstein, que ha contribuido como nadie, a la difusión y comprensión del jazz en nuestro país.
En el mecenazgo musical, la Fundación Carlos y Alegría Beracasa ha tenido una actuación de gran alcance.

El teatro venezolano no sería lo que es sin la contribución extraordinaria de Juana Sujo, judía nacida en Argentina como Juana Sujokovich. Al aporte que han hecho a la dramaturgia figuras como Isaac Chocrón y Elisa Lerner, se une el joven Moisés Kaufman, con éxito internacional, especialmente en laciudad de Nueva York.

La danza tuvo una pedagoga excepcional en la persona de Stefi Stähl, judía vienesa, maestra en distintas escuelas públicas y en su propia academia.
Hoy
destaca en ese arte el joven bailarín y coreógrafo de origen israelí, Offer Zaks.

En letras se destacó Ángel Rosenblat, filólogo judío nacido en Polonia, español por adopción, argentino después de la Guerra Civil Española y luego venezolano hasta su muerte.

En la poesía y en la literatura destacan los nombres de Irma de Sola de Lovera, quien presidió por varios años la Asociación Nacional de Escritores, de Martha Kornblith, fallecida en plena juventud, de Jacqueline Goldberg, de Sonia Chocrón.
La brillante periodista, y ensayista trágicamente fallecida, Susana Rotker, fue un miembro de esta comunidad.

Es invalorable el aporte al desarrollo de la actividad intelectual que hicieran Violeta Roffé y su hermano Alfredo, con su legendaria Librería Cruz del Sur, lugar para el conocimiento y discusión de las más avanzadas corrientes literarias y del pensamiento filosófico entre los años 50 y 70.
Y la pasión de Alfredo Roffé por el cine, lo condujo a fundar y a publicar durante varios años, la revista "Cine al Día", que alcanzó prestigio internacional.

En el cine destaca, como creadora, Margot Benacerraf, pero además ha sido promotora del aprecio por el buen cine con la fundación de la Cinemateca Nacional.
A la generación de cineastas más jóvenes pertenece Elia Schneider, Jonathan Jacubowitz.
Otros judíos apasionados por el cine contribuyeron a que lo mejor de este arte estuviera al alcance de los venezolanos: George Korda, fue quien introdujo el cine europeo de vanguardia en el país e inauguró los festivales de cine y los cine foros.
Samuel Dembo, co-fundador con Luis Guillermo Villegas Blanco, de Bolívar Films.
La familia Radonsky, es propietaria de una importante cadena de salas de cine.

Las artes plásticas tienen entre sus creadores a la ceramista Reina Benzecri
de Herrera, Premio Nacional de Artes Aplicadas en 1966. A los artistas Harry
Abend, Méyer Vaisman, Sammy Cucher y Carlos Poveda con figuración internacional. También Ricardo Benaim, Susy Iglicki y Nadia Benatar. Y como promotores de estas artes: Sofía Imber, fundadora del Museo de Arte Contemporáneo de Caracas que llevaba su nombre y Clara Diament de Sujo, una de
las primeras galeristas del país. Hans Neumann, recientemente fallecido, fue además de empresario exitoso, un apasionado mecenas de artistas plásticos,
de muchos proyectos culturales y gran coleccionista de arte.

En el espectáculo merece capítulo especial la figura de Amador Bendayán,nuestro inolvidable artista cómico que llenó varias décadas con risas amables desde la radio, el cine y la televisión.
En las nuevas generaciones destaca el cantautor Ilan Chester(Czentochowsky), Rosalinda Serfatti, Gloria Miros, etc

La presencia de judíos en el periodismo de opinión tuvo como figura pionera a Netty Bargrasser y ha contado con los nombres de Sofía Imber, Carlos Guerón, Alicia Freilich, Gustavo Arnstein, Rabino Pynchas Brener, Senta Essenfeld de Breuer, Aglaya Kinzbrunner, Alberto Krygier y Paulina Gamus. Ben Ami Fihman es, desde hace años, el exitoso editor y director de la revista Exceso.

Judíos en funciones públicas:

El judaísmo venezolano contemporáneo ha tenido a varios de sus miembros como
servidores públicos: René de Sola fue Ministro de Justicia, Canciller y Presidente de la Corte Suprema de Justicia.
Alfonso Benzecri, Ministro de Sanidad.
Gustavo Pinto Cohén, Ministro de Agricultura y Cría.
Ruth Lerner de Almea, Ministra de Educación y Embajadora ante la UNESCO,
Moisés Naim, Ministro de Fomento y actualmente director en Washington de la
prestigiosa publicación Foreing Policy.
Ricardo Haussman, Ministro de Cordiplán,
Senta Essenfeld de Breuer, Ministra de la Familia,
Ruth de Krivoy, Presidenta del Banco Central de Venezuela, Esther de Margulis, Presidenta de Fogade, Lolita Aniyar de Castro, Senadora y Gobernadora del Estado Zulia,Paulina Gamus Gallegos, concejal, diputada, senadora y Ministra de Cultura, Miryam Kornblith, Vice Presidenta del Consejo Supremo Electoral.
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Alya
Invité




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MessageSujet: Re: JUIFS MAROCAINS AU VENEZUELA   JUIFS MAROCAINS AU VENEZUELA Icon_minitimeMer 6 Mai 2009 - 10:32

Faute de renseignements spécifiques sur les olim installés dans le Nord d'Israël, voici quelques renseignements sur l'ensemble des olim parlant espagnol -ou portugais- d'après leur journal "Piedra libre" n°25 de juillet aout 2007.

Pour les olim d'Amérique du Sud, le pays d'origine est lointain, et le prix du voyage pour voir des membres de leur famille restés sur place, est onéreux. Ils restent donc des années sans retourner dans leur pays d'origine.

Les Argentins

Ce sont les plus nombreux et ils ont donné leur nom à tous les immigrants d'Amérique latine qu'on appelle un peu rapidement des "Arguentinaim".

Ils sont approximativement 70 000. On les trouve dans tout le pays, du nord au sud, ils ont fondé des kibboutzim et des moshavim. Parmi les Argentins les plus connus : Yair Dori, qui a implanté en Israël les télénovellas, séries télévisées à l'eau de rose, des médecins et chirurgiens comme Bernadino Vidne, José Cohen ,Félix Umansky, des professeurs et des artistes comme Mariano Idelman.

88% des 70 000 juifs argentins sont arrivés en Israël avant 2001, année de la plus grande immigration. Le sionisme est leur motivation majeure, renforcée par la scolarisation en école juive. Les gouvernements militaires au pouvoir dans les années 70, ont aussi motivé des départs. Des juifs argentins détenus ont eu leur vie sauve grâce à l'intervention de l'Etat d'Israël.

En 2002, avec l'approfondissement de la crise économique, 6300 juifs font leur alyah. Sur les 8100 olim arrivés en 2001 et 2002, près de 1000 ne s'intègrent pas et retournent en Argentine. Depuis, l'immigration se réduit à 1400 par an.



Les Brésiliens

Ils ont apporté en Israël leur joie de vivre, la culture carioca, leur musique, et le capoeira. L'organisation Medio Oriente recense 10 à 11000 personnes d'origine brésilienne dans le pays , dont 9000 en Israël et 2000 en Cisjordanie et Gaza. Le kibboutz Shaar Hanéguev compte une majorité de Brésiliens, depuis les années 50.

Au Brésil, les juifs vivent dans les grandes villes, 60 000 à Sao Paulo et 40 000 à Rio de Janeiro. On compte 200 000 juifs dans tout le Brésil. Les Brésiliens ont leur lieux de rencontre en Israël, des cafés à Yaffo comme Hany Beach et le Bar de Yossi, ou encore à la cinémathèque de Tel-Aviv, le soir.



Les Uruguayens

Les Uruguayens en Israël sont un groupe de bon niveau culturel et qui cherche peu à attirer l'attention.

L'Uruguay a une population de 3,4 millions d'habitants dont 25 000 juifs. En pourcentage par rapport a la population juive, qui l'eût cru, l'Uruguay a le plus fort nombre d'olim de toute l'Amérique du Sud !

Entre 11 000 et 12 000 personnes ont fait leur alyah depuis 1948.

L'Uruguay fut le premier pays d'Amérique du Sud à reconnaître officiellement l'Etat d'Israël. La première ambassade d'Israël sur le continent fut ouverte à Montevidéo à la fin de 1948. L'histoire de la première communauté juive en Uruguay remonte à la fin du XIXème siècle. En 1910 il y avait 150 juifs, qui habitaient à Montévidéo. La grande majorité des juifs uruguyens vit toujours à Montévidéo. Les relations bilatérales entre les deux pays se sont toujours maintenues à un bon niveau. L'alyah a commencé dans les années 50 et perdure. Au départ, le sionisme était la motivation principale, se sont ajoutées ensuite les motivations économiques. Le kibboutz Ein Hashlosha, dans le Néguev, - oui celui qui reçoit des Kassams actuellement- a été fondé par des Argentins et des Uruguyens. La présence uruguyenne est avérée dans des kibboutzim du Sud et de Galilée.

Un sociologue a reconnu 3 pics d'émigration : entre 1970 et 75 à cause du conflit politique, en 1982-83 en raison de la crise financière, et en 2002-03 pour la pire crise financière de l'histoire nationale. A cette époque sont partis 2000 juifs, dont 50% pour Israël.

La communauté uruguyenne est très active en Israël.



Les Chiliens

Ils sont environ 12 000. La grande majorité dit être venue par sionisme. Ils vivaient commodément dans un des pays les plus prospères d'Amérique du Sud. Les Chiliens se réunissent à Jérusalem ou Tel-Aviv, en petit ou grands groupes, et célèbrent l'indépendance du Chili par un pique-nique organisé au mois de septembre. Ils viennent de milieux socio économiques élevés. Dans le domaine des lettres, Bambi Seleg est la directrice de la revue en hébreu 'Aretz akheret', sur la société et la culture israélienne.

Les Mexicains

Près de 5000 juifs mexicains ont fait leur alyah depuis 1948.

C'est le seul pays latino-américain qui a un représentant à la Knesset, Benny Temkin.

Le Mexique a une communauté juive de 42 000 personnes sur une population totale de 93 millions. La presence juive au Mexique remonte a 1519, a l'arrivee des Espagnols. La grande majorite de la communaute vit dans la capitale (38000). Le reste vit a Guadaljara, Monterrey et Tijuana principalement. Des associations mexicaines des amis des universites israeliennes ont aide a l'echange de chercheurs, ont fait des dons aux universites en Israel.



Les Colombiens

La communauté de ce pays andin est diverse. On estime qu'il y a en Israël environ 5000 Colombiens, que ce soit des immigrants juifs, des conjoints colombiens mariés à des Israéliens, des enfants de couples mixtes, des étudiants et d'autres situations non documentées.



Les Cubains

On estime qu'un groupe de 400 juifs ont quitté Cuba pour Israël. L'alyah cubaine a généré une controverse car certains ont discuté de l'existence d'un accord secret qui aurait permis la réalisation de cette alyah, ce que le gouvernement cubain a nié. Cuba et Israël n'ont pas de relations diplomatiques et les relations se font par l'entremise de l'Ambassade du Canada pour les juifs cubains.

La communauté juive à Cuba tourne autour de 1500 personnes, dont 80 pour cent résident à la Havane. Les mariages mixtes ont été très nombreux dans l'île.

Les Cubains résident à Ashkelon, Ber Sheva, Eilat, Raanana et Hédéra. Ils doivent apprendre à vivre sans salsa et musique caraïbe!



Les Péruviens

Il y a entre 1500 et 2500 Péruviens en Israel, dont des olim et des travailleurs étrangers. A noter un groupe de 500 indigènes convertis au judaisme et qui sont installés dans diverses implantations du Goush Etsion.



Les Vénézueliens

La communauté silencieuse.

La croissance du nombre d'immigrants de ce pays ces dernières années, est due principalement aux circonstances politiques créées par le président Hugo Chavez. La grande majorité des Vénézuéliens interrogés en Israël evitent de répondre, de même que l'ambassade.

Il y a trois ans a été créé par Sidney Horowitz l'organisation OLIVEN (olim du Venezuela) qui vise exclusivement à apporter une aide aux immigrants dès leur arrivée. L'association estime qu'il y a environ 700 Vénézueliens en Israël, la plupart arrivés ces dernières années, et qui résident surtout à Raanana et Kfar Saba, et aussi à Ashdod. Des rencontres sont organisées dans le parc de Raanana.



Les Equatoriens

Selon les chiffres du congrès latino américain, depuis 1948, seulement 138 juifs ont immigré d'Equateur. Beaucoup de ces personnes suivent ou ont suivi un processus de conversion. L'Equateur avait delivré 3000 visas à la fin de la Seconde guerre mondiale à des réfugiés juifs mais les valeurs du judaïsme se sont perdues avec le temps.

Les Equatoriens en Israël sont d'origine diverse, et sont surtout des travailleurs étrangers.



Les Paraguayens

Des difficultés pour connaître la situation, car il n'y a pas d'ambassade du Paraguay en Israël ni pour l'instant de consul. Selon l'Agende Juive, il y aurait 500 Paraguayens en Israël. Ils n'ont pas d'organisation spécifique et se joignent aux autres latinoamericains pour des activités communes.



Voila pour ce tour d'horizon d'Olim venus de loin. En tout 115000 'latinos' arrivés en 60 ans.

Comme les immigrants de France, les immigrants des divers pays d'Amérique Latine ne sont pas assez nombreux pour s'imposer dans le paysage israélien. On est loin des grandes vagues d'alyah de l'ex-URSS ou même d'Ethiopie. Par contre, à la différence des immigrants venus d'Europe, les voyages dans le pays d'origine sont rares en raison des distances et cela les pousse à s'intégrer dans la réalité israélienne.
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