| | LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD | |
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Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| Sujet: LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD Lun 28 Déc 2009 - 8:48 | |
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LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD
Dans le cadre du Centre communautaire Safra, nous sommes très heureux de vous présenter un programme spécial en ce début d'année 2010 "LE MOIS de JANVIER MAROCAIN"
Pendant tout le mois sera présentée au Centre Communautaire Safra une Exposition Marocaine sous le thème "La Alyah des juifs du Maroc " le temps des ruptures 1948-1956 et la diversité culturelle du Maroc.
Samedi soir 23/01/10 à 20 heures aura lieu l'Ouverture de l'exposition et la Grande Première du Film Marocain "Adieu Mères "qui suivra.
Cet événement se tiendra en présence de Mr Le maire Dr yehiel Lasry, Mr Arieh Azoulay ,Mr Shaoul Bensimhon et autres Personnalités. Participation: 30 shequels
Mardi 19/01/10 a 19h30 - Conférence de Mr Michel knafo Participation: 10 shequels
Samedi soir 30/01/10 20h - Soirée Exceptionnelle de Musique et Chants et le Grand Plus - SEDER TOU BICHVAT avec le Dvar Torah donné par le Rav Amar
Participation: 25 shequels
Nous souhaitons que cette nouvelle année soit propice a un avenir meilleur, serein et rempli de paix, de solidarité et de fraternité. Votre présence parmi nous est indispensable et nécessaire afin de mettre à l'œuvre ce si beau projet qui nous tient tant à cœur et bien d'autres qui suivront.
Nous vous prions de bien vouloir réserver vos places. Un règlement est souhaité avant le 10 janvier étant donné le nombre limité de places.
Matnass safra Rue av 4- rovah Youd beth
programme janvier 2010 PninaBendavid- Coordinatrice pour la francophonie
0544666768- 0544867023
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| | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| Sujet: Re: LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD Dim 24 Jan 2010 - 12:56 | |
| Samedi soir 23/01/10 à 20 heures aura lieu l'Ouverture de l'exposition et la Grande Première du celebre Film Marocain "Adieu Mères "qui suivra.
Jeune acteur Marocain âgé de 32 ans aux grandes aspirations, Tarik Mounim (qui est ni plus ni moins que le neveu de notre chere Aicha - Tagdite mon amie ma soeur de Casablanca) vient d’achever son premier tournage marocain. Pour lui, foi et passion riment aisément avec ambition, une soif de réussite qu’il assume aussi bien que ses rêves.
Les premiers pas Tout commence en France où Tarik voit le jour, à Dole, ville natale de Louis Pasteur. Cela ne suffira pas à éviter à Tarik d’avoir la rage. Celle de réussir, rassurons-nous. D’abord dans la musique où il trouve du réconfort pour mieux faire face à son enfance mouvementée. Activité professionnelle du père oblige, les déménagements seront fréquents. Malgré une agréable expérience théâtrale au collège (interpréter le dieu Pan entouré de bacchantes, ça ne se refuse pas), il n’a pas encore de véritable coup de cœur pour le métier de comédien.
La musique dans un premier temps, donc. Il compose, écrit, prépare une maquette et délaisse cette petite abréviation de trois lettres, si chère au parents : bac. Par chance, la maquette travaillée par ses soins est repérée par un producteur. Direction : un studio d’enregistrement parisien. Tarik découvre alors le charme vénéneux de Paname, avec ses joies mais aussi ses désillusions. Le milieu du show-business n’est pas tout rose, mais néanmoins plein d’enseignements : la drogue qui y circule, les artistes qui se laissent aller et sombrent, croyant déjà avoir atteint les sommets, les magouilles… Tarik observe et apprend.
Débrouillard comme pas deux, il enchaîne les petits boulots : de chauffeur-livreur pour restaurants à vendeur dans les plus prestigieuses boutiques de luxe de l’avenue Montaigne, il n’y a qu’un pas. Parallèlement, il sympathise avec la directrice d’un théâtre qui lui propose de s’essayer aux planches. Fonceur, il accepte et fait bien puisqu’il se découvre une passion dévorante pour le jeu. Une amie lui conseille de tenter sa chance dans le cinéma. Il s’intéresse, s’implique, se documente et n’hésite pas à investir ses deniers, gagnés grâce à son petit boulot dans le luxe, dans des cours et ateliers pour parfaire son jeu.
Rêves de cinéma Il alterne alors rôles au théâtre, télévision et cinéma en engrangeant une grande insatisfaction professionnelle. Les réalisateurs et directeurs de castings sont, certes, physionomistes, mais pas toujours départis de préjugés. Pour interpréter un terroriste dans “Djihad”, Tarik passera son tour. “Trop beau” lui dira-t-on. On apprend donc qu’un terroriste, c’est forcément moche et qu’un acteur doit avant tout avoir la gueule de l’emploi. Les préjugés ont aussi bon dos quand, au vu de ses origines marocaines, on lui propose régulièrement des rôles de voyous ou de travestis. Il cite volontiers Sami Bouajila ou Roschdy Zem dont il salue le talent et la ténacité qui leur ont permis d’éviter de se laisser enfermer dans des rôles trop souvent caricaturaux.
Re-conseil d’amie : tenter sa chance au Maroc. Il commence par faire un tour du côté du Festival du film de Marrakech, en décembre dernier, et prend des contacts. Il en a la certitude, le réseau est la pierre angulaire de toute carrière qui se respecte. C’est d’autant plus vrai qu’il vient déjà d’achever son premier tournage au Maroc, sous la direction de Mohammed Ismaïl, dans le film “Adieu, mère”. Sous fond d’immigration de la communauté juive marocaine début des années 60, Tarik y joue un jeune musulman rebelle, amoureux d’une juive. Pour mieux se plonger dans le rôle, il lit, découvre l’histoire du Maroc, tapisse les murs de sa chambre d’hôtel de photos de Marlon Brando et de James Dean et ne se sépare jamais d’un livre détaillant la méthode Lee Strasberg, célèbre enseignant de l’Actors Studio."Adieu Mères " l’histoire relate les liens solides de deux familles, l’une juive, l’autre musulmane que le destin a cruellement séparées, laissant une noble mission à l’une d’entre elles. Les liens amoureux mouvementés de deux jeunes de confession différente se voient brisés par des parents trop traditionalistes, un homme prêt à liquider ses affaires pour rejoindre les siens, un rabbin qui refuse d’être déraciné, enfin une nostalgie déchirante et époustouflante de familles embarquées dans une aventure aléatoire. Le tout est empreint et dominé par l’incertitude du lendemain, seule la bravoure des cœurs généreux saura atténuer cette psychose. Avec la réalisation de Mohamed Ismaïl, Version : arabe - français Scénario : Mohamed Ismaïl et Reine Danan Lieu de tournage : Tétouan et Casablanca Production : Maya Films Directrice de Production : Maria Sqalli les acteurs: Henry : Marc Samuel Brahim : Rachid El Ouali Ruth : Souad Amidou Fatima : Hafida Kassoui Benchetrit : Christian Drillaud Eliane : Rachel Huet Chochana : Nouzha Regragui Ouaknine : Ahmed Alaoui Mme Attar : Amina Rachid Mama Hanna : Fatima Regragui Benchekroun : Salah Dizane Mehdi : Tarik Mounim Rebbi Braham : Omar Chenboud
Mohamed Ismaïl est un réalisateur et scénariste marocain né le 1er septembre 1951 à Tétouan.
Tarik Mounim rêve d’une carrière exemplaire, faite de choix pertinents (exit les projets commerciaux sans intérêt artistique) et voit grand : porter le cinéma marocain au plus haut, internationalement, avec - pourquoi pas ? - un oscar ou un autre grand prix. Pas pour un prestige personnel, explique-t-il, mais pour encourager et inspirer une jeunesse marocaine en manque de modèles. Le cinéma est une histoire d’amour qui se partage, avant tout, avec le public. Son ambition, il l’affiche et l’assume car «il faut rêver pour être grand». Et pourquoi pas ? C’est à coup sûr l’un des films les plus forts de l’histoire du cinéma national. Un sujet puissant sur le départ des juifs marocains dans les années 60 vers Israël, une histoire d’amitié entre les arabes et les juifs, dans un Maroc communautaire où les différences religieuses n’ont jamais présidé aux relations humaines. Demandé à être visionné par Milos Forman, le président du Jury du FIFM, ce film marocain pourra faire l’événement dans de nombreux festivals de par le monde, les bruits courent que le film fera le tour de grandes places cinématographiques grâce à une vision de l’histoire tout en nuance, orchestrée par un beau message d’amour et de fraternité entre les peuples. C'est l'histoire de deux familles, une musulmane et une juive, à travers laquelle nous voulons mettre en valeur la cohabitation paisible entre communautes au Maroc, mais c'est aussi l'histoire de 300.000 juifs qui ont quitte, clandestinement pour la plupart d'entre eux, le territoire national a la poursuite de promesses sans lendemain... Pour moi, c'est un message de paix qui montre que la cohabitation entre communautes, est possible, independamment des tribulations politiques qui n'ont fait qu'envenimer les rapports humains... A mon avis, la paix peut regner avec des effort mutuels de comprehension de l'autre... »
Ce film en Israel va faire pleurer plus d'un ou d'une. Le départ des communautés juives a été une grande perte pour le Maroc, nous en avons la preuve tous les jours sur les forum d'amitiés Judéo -Marocains. felicitations a Tarik Mounim et a Mohammed Ismaïl. | |
| | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| Sujet: Re: LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD Dim 24 Jan 2010 - 12:57 | |
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| | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| Sujet: Re: LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD Dim 24 Jan 2010 - 13:00 | |
| Il a un visage angélique et un regard envoûtant. Tarik Mounim est acteur et président fondateur de l’Association «Sauvons les salles de cinéma au Maroc». il joue dans le film de Mohamed Ismaïl «Adieu Mères» où il interprète le rôle de Mehdi, un jeune musulman rebelle qui tombe amoureux d’une juive. Pour Tarik, être acteur, c’est aussi agir. A travers son association «Sauvons les salles de cinéma au Maroc», Tarik et les membres de l’association mènent un rude combat pour sauver les salles de l’oubli et de la destruction et d’en faire une nouvelle fois, des vecteurs régionaux de culture. hers amis Tarik Mounim reste l’un des rares acteurs qui se mobilisent corps et âme pour la protection des salles de cinéma au Maroc. Soutenons cette noble cause.
Samedi soir 23/01/10 à 20 heures soiree d'Ouverture de l'exposition et de la Grande Première du Film Marocain "Adieu Mères " a Ashdod au Matnas Edmond Safra. Cet événement s'est tenu en présence de dizaines de grands marocains et autres Personnalités importantes.
Sous-titrage : anglais Version : arabe - français
Matnass Edmond Safra Rue av 4 quartier Youd beth moyen de transport: autobus 11 et 11 alef taxi shirout 11 et 11 alef
Pnina Bendavid- Coordinatrice pour la francophonie
0544666768- 0544867023
Si vous voulez laisser un mot pour notre acteur ecrivez je ferais suivre | |
| | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| Sujet: Re: LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD Dim 24 Jan 2010 - 13:00 | |
| Chère Pnina,
Cette lettre de remerciement, est pour mettre l’accent sur la qualité de ton travail au coeur de la communauté des juifs francophones et le temps et les heures que tu y consacres, je voudrais souligner, non seulement ton travail est excellent mais ta disponibilité, ta persévérance, ta générosité, ta bonne volonté et ta gentillesse.
La soirée d'hier soir était très réussie Je suis très flattée et très fière d'avoir une amie avec tant de qualité.
Merci a l'artiste Shimon Ben-Horim, le fils a monsieur Michel Knafo Président de l'organisation de la Makhtéret et de la Hapala des juifs l'Afrique du nord, pour la galerie de photos présentées dans la salle du Matna Edmond de Safra au quartier youd beth.
La soirée était très réussie, merci aux invites, merci au maire de la ville, monsieur Yhiel Lasry, merci a monsieurs Shaul Bensimhon qui nous réchauffe le coeur, chaque fois par sa présence, merci a tous nos chers présidents de communautés qui étaient présents dans la salle, merci de perpétuer les mémoires de notre peuple, le patrimoine et les traditions ancestrales des juifs du Maroc cette communauté prestigieuse qui brille a chaque réunion et a chaque rencontre. merci a notre virtuose Yoram Zerbib,guitariste plein de finesse et de musicalité avec une technique impeccable. (Il est le meilleur guitariste d'Israel et un des meilleur dans le monde, c'est le prof de guitare a mon fils David Médina, depuis 4 ans.)
Merci merci merci mille fois a toutes les actrices, tous les acteurs, les réalisateurs, les techniciens et les figurants marocains, du film Adieu Mères, vous nous avez fait beaucoup pleurer.
Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont œuvré pour la pleine réussite de ce mois spéciale Maroc au Matnas Edmond de Safra.
bonne continuation pour les jours, semaines et mois a venir
Amitiés Soly Anidjar | |
| | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| | | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| | | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| Sujet: Re: LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD Dim 24 Jan 2010 - 14:21 | |
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| | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| | | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| | | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| | | | Lison
Nombre de messages : 330 Age : 81 Date d'inscription : 19/07/2006
| Sujet: Adieu Mères Dim 24 Jan 2010 - 20:16 | |
| Je peux confirmer que la soirée du Samedi 23 Janvier à l'espace français d'Ashdod était un grand succès. Une salle comble, nous étions tres bien placés, il y avait des petits fours, des boissons, des amis, des connaissances et des gens de tout les milieux, politique, culturels et social. j'ai même acheté le livre de Michel Knafo, ''Mossad", j'ai eu droit à une belle dédicace.
J'attendais le film "Adieu Mères" avec grande impatience, et quand enfin il fut mis en route, j'ai revue certaines scènes de ma jeunesse, les expressions, la complicité qu'il y avait entre nous les juifs et les musulmans, le film devrait recevoir les plus grands honneurs, les acteurs m'ont epoustoufflé par leur talent, l'émotion m'a pris si fortement, je sanglotais, mes amis aussis, le sous-titrage en anglais-hebreu se chevauchaient un peu, mon mari a suivi le film sans mal, et l'a trouvé Excellent.
tout était vrai, c'était tout à fait ça. Je souhaite une belle carrière à Tarik Mounim, aussi à toute l'équipe du film. Bravo encore une fois aux Marocains.
Elisabeth Lison | |
| | | Soly Anidjar
Nombre de messages : 42588 Age : 72 Date d'inscription : 13/07/2006
| Sujet: Re: LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD Lun 25 Jan 2010 - 7:00 | |
| merci a tous mes amis qui sont venus de loin Micheline Waknine et Lison et son epoux Selvin. | |
| | | Samuel Bengio
Nombre de messages : 55 Age : 80 Date d'inscription : 08/08/2006
| Sujet: Re: LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD Mer 27 Jan 2010 - 15:42 | |
| Domage Soly que je n'etais pas la,je suis venus pour peu de temps et pour d'autres circonstances. J'aurais aime etre parmi vous pour ces evenements,surtout pour ce film qui trace la vie,les coutumes de tous les marocaines qu'on est fier de l'etre,mais j'espere qui il y aura d'autres. je salue tous les francophones et marocains d'Achdod.esperant vous revoir tres bintot. | |
| | | laura1501
Nombre de messages : 239 Age : 79 Date d'inscription : 19/11/2007
| Sujet: Re: LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD Mar 2 Fév 2010 - 21:58 | |
| plus de vacances pour toi samy,,,ca suffit pour cette annee t en a assez pris ,laissons un peu pour esther et moi et pouvoir s eclater hahahaah, avec elle je prendrais pleins de photos c est sur,,,,amicalement ,,laura la cristolienne | |
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| Sujet: Re: LE MOIS DE JANVIER MAROCAIN A ASHDOD | |
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