Mercedes Barcessat
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 | Sujet: La vie juive au Maroc D'un marché animé en ruine synagogue  Jeu 15 Oct 2009 - 15:59 | |
| La vie juive au Maroc[/size] D'un marché animé en ruine synagogue Michel Hoebink Michel Hoebink 28-04-2009
Dans le Musée historique juif d'Amsterdam peut être seulement vu des photos de la vie juive dans le sud du Maroc au cours de la décennie des années 50. . Synagogues en ruines et cimetières abandonnés chose dont il se souvient, c'est sa présence dans la région.
Les juifs marocains photographe Harrus Elias (1919-2008) a saisi la vie juive dans le sud du Maroc peu de temps avant que les habitants juifs à émigrer en masse en Israël.
Pays-Bas photographe, Pauline Prior, a voyagé l'année dernière à la même place pour recueillir des images de ce peu qui reste de celui-ci. Le contraste est dramatique. Les mêmes chansons "Ma grand-mère dit une fois des femmes berbères juives et ont travaillé ensemble dans le pays», déclare le président du conseil de district d'Amsterdam, Fatima Elatik, lors de l'inauguration de l'exposition..
"Ils parlaient la même langue, ont la même culture, a chanté les mêmes
chansons. J'ai toujours pensé que c'était une histoire remarquable." Les Juifs vivaient depuis 2000 ans au Maroc, généralement en harmonie avec la population berbère. Mais après la fondation d'Israël en 1948, la plupart des juifs marocains ont immigré dans ce pays. Il restait un petit groupe dans les grandes villes dans le nord du Maroc. Le processus de migration bat son plein, lorsque Elias a pris les photographies d'Aarhus. Harrus travaillé au cours de la décennie de l'Alliance israélo 50 pour Universal, une organisation internationale qui avait du mal à mettre en œuvre une éducation laïque et moderne dans les communautés juives des pays islamiques. Il a été au cours des voyages qu'il fit à son travail quand il a fait les photos. Le fait de faire partie de la communauté juive lui a permis de capturer des images intimes de la vie quotidienne des Juifs dans le sud du Maroc. Photos d'Elias Harrus constituer un document unique organisateur Sulimat, dit Cohen. "Elles sont le reflet d'une communauté qui disparaissent bientôt tout à fait. Bijoux en argent Les photos témoignent de la qualité des relations entre Juifs et Berbères.
Quotidienne et étaient liées économiquement dépendants les uns des autres. . Vous pouvez voir des Juifs dans les professions dans lesquelles ils étaient spécialisées, tels que sacs et bijoux. . Ils ont été les fabricants de bijoux en argent de la célèbre ville du sud Maroc filles berbères portait à son mariage.
Concessionnaires Il ya aussi les images sont des marchés du dimanche, où les juifs et les musulmans. Sulimat
Cohen: «Les Juifs étaient en général des marchands, traversant les montagnes, parcouraient les marchés. Pour les Berbères d'un risque, parce que les différentes tribus vivaient en conflit les uns avec les autres, mais les Juifs ont été protégés par toutes les parties, car son rôle économique important. " " Cohen a déclaré un devis que l'auteur anglais John Waterbury recueillies auprès d'un marchand de berbère du sud du Maroc: "Avant l'arrivée des Français étaient toujours impliqués dans les conflits, mais il y avait deux règles que tout le monde l'ACAT: pas tolérée eux toute forme de prostitution parmi nos femmes et nos querelles jamais aucun effet sur les Juifs. "  |
cimetière Abandonné
Ce qui reste aujourd'hui de la présence juive dans le sud du Maroc?.Pays-Bas photographe, Pauline Prior, alla en 2008 à l'Atlas et le Sahara pour le compte du Musée historique juif de rechercher des traces de la communauté juive là-bas. Ses photographies sont présentées aux côtés de ceux de Harrus. . Harrus images sont pleins de gens et Prior sont calmes et vide.s. Ils sont vétustes synagogues, un quartier juif et un cimetière abandonné.l. Les cimetières, et en particulier les tombeaux sacrés sont en fait les lieux les plus fréquentés photographié par Prior. Comme les Marocains musulmans, les juifs culte des saints juifs du Maroc a fait des miracles au cours de leur vie. Le Maroc est jonché de tombes de saints, parmi eux également beaucoup de haricots.
Selon le conseiller Elatik Fatima, les jeunes Marocains aux Pays-Bas sont à peine conscients de la fraternité qui régnait entre les juifs et les musulmans dans l'ancienne au Maroc Fatima Elatik confiant que les enfants marocains en visite de l'exposition. | |
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