MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR
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MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR

HISTOIRE DES JUIFS DU MAROC-CASABLANCA-RABAT-MAZAGAN-MOGADOR-AGADIR-FES-MEKNES-MARRAKECH-LARACHE-ALCAZARQUIVIR-KENITRA-TETOUAN-TANGER-ARCILA-IFRANE-OUARZAZAT-BENI MELLAL-OUEZANE
 
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 ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM

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Soly Anidjar
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MessageSujet: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 4:45

Tarik Mounim createur et realisateur.

Bonsoir ,
je m'appelle Tarik et je voudrais vous inviter a l'avant premiere de mon film le 4 fevrier à Rabat et le 6 fevrier à Casa .


Pour Paris j'attends les dates.


Mais le 13 Fevrier "Adieu meres" sera projeté à New -York au Sephardic festival film .


Voici le site du film www.adieumeres.com et mon mail tarik75011@hotmail.com


Au plaisir de vous rencontrer.
Tarik Mounim

0660971341

www.savecinemasinmarocco.com
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MessageSujet: Re: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 4:52

Jeune acteur aux grandes aspirations, Tarik Mounim vient d’achever son premier tournage marocain. Pour lui, foi et passion riment aisément avec ambition, une soif de réussite qu’il assume aussi bien que ses rêves.

Les premiers pas
Tout commence en France où Tarik voit le jour, à Dole, ville natale de Louis Pasteur. Cela ne suffira pas à éviter à Tarik d’avoir la rage. Celle de réussir, rassurons-nous. D’abord dans la musique où il trouve du réconfort pour mieux faire face à son enfance mouvementée. Activité professionnelle du père oblige, les déménagements seront fréquents. Malgré une agréable expérience théâtrale au collège (interpréter le dieu Pan entouré de bacchantes, ça ne se refuse pas), il n’a pas encore de véritable coup de cœur pour le métier de comédien.

La musique dans un premier temps, donc. Il compose, écrit, prépare une maquette et délaisse cette petite abréviation de trois lettres, si chère au parents : bac. Par chance, la maquette travaillée par ses soins est repérée par un producteur. Direction : un studio d’enregistrement parisien. Tarik découvre alors le charme vénéneux de Paname, avec ses joies mais aussi ses désillusions. Le milieu du show-business n’est pas tout rose, mais néanmoins plein d’enseignements : la drogue qui y circule, les artistes qui se laissent aller et sombrent, croyant déjà avoir atteint les sommets, les magouilles… Tarik observe et apprend.

Débrouillard comme pas deux, il enchaîne les petits boulots : de chauffeur-livreur pour restaurants à vendeur dans les plus prestigieuses boutiques de luxe de l’avenue Montaigne, il n’y a qu’un pas. Parallèlement, il sympathise avec la directrice d’un théâtre qui lui propose de s’essayer aux planches. Fonceur, il accepte et fait bien puisqu’il se découvre une passion dévorante pour le jeu. Une amie lui conseille de tenter sa chance dans le cinéma. Il s’intéresse, s’implique, se documente et n’hésite pas à investir ses deniers, gagnés grâce à son petit boulot dans le luxe, dans des cours et ateliers pour parfaire son jeu.

Rêves de cinéma
Il alterne alors rôles au théâtre, télévision et cinéma en engrangeant une grande insatisfaction professionnelle. Les réalisateurs et directeurs de castings sont, certes, physionomistes, mais pas toujours départis de préjugés. Pour interpréter un terroriste dans “Djihad”, Tarik passera son tour. “Trop beau” lui dira-t-on. On apprend donc qu’un terroriste, c’est forcément moche et qu’un acteur doit avant tout avoir la gueule de l’emploi. Les préjugés ont aussi bon dos quand, au vu de ses origines marocaines, on lui propose régulièrement des rôles de voyous ou de travestis. Il cite volontiers Sami Bouajila ou Roschdy Zem dont il salue le talent et la ténacité qui leur ont permis d’éviter de se laisser enfermer dans des rôles trop souvent caricaturaux.

Re-conseil d’amie : tenter sa chance au Maroc. Il commence par faire un tour du côté du Festival du film de Marrakech, en décembre dernier, et prend des contacts. Il en a la certitude, le réseau est la pierre angulaire de toute carrière qui se respecte. C’est d’autant plus vrai qu’il vient déjà d’achever son premier tournage au Maroc, sous la direction de Mohammed Ismaïl, dans le film “Adieu, mère”. Sous fond d’immigration de la communauté juive marocaine début des années 60, Tarik y joue un jeune musulman rebelle, amoureux d’une juive. Pour mieux se plonger dans le rôle, il lit, découvre l’histoire du Maroc, tapisse les murs de sa chambre d’hôtel de photos de Marlon Brando et de James Dean et ne se sépare jamais d’un livre détaillant la méthode Lee Strasberg, célèbre enseignant de l’Actors Studio.

Tarik Mounim rêve d’une carrière exemplaire, faite de choix pertinents (exit les projets commerciaux sans intérêt artistique) et voit grand : porter le cinéma marocain au plus haut, internationalement, avec - pourquoi pas ? - un oscar ou un autre grand prix. Pas pour un prestige personnel, explique-t-il, mais pour encourager et inspirer une jeunesse marocaine en manque de modèles. Le cinéma est une histoire d’amour qui se partage, avant tout, avec le public. Son ambition, il l’affiche et l’assume car «il faut rêver pour être grand». Et pourquoi pas ?

Aïda Semlali
Source: Le Journal Hebdomadaire
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MessageSujet: Re: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 4:58

ADIEU MÈRES : Le film de tous les espoirs
Gazette du Maroc
15 Décembre 2007





C’est à coup sûr l’un des films les plus forts de l’histoire du cinéma national. Un sujet puissant sur le départ des juifs marocains dans les années 60 vers Israël, une histoire d’amitié entre les arabes et les juifs, dans un Maroc communautaire où les différences religieuses n’ont jamais présidé aux relations humaines.
Demandé à être visionné par Milos Forman, le président du Jury du FIFM,
ce film marocain pourra faire l’événement dans de nombreux festivals de par le monde, les bruits courent que le film fera le tour de grandes places cinématographiques grâce à une vision de l’histoire tout en nuance, orchestrée par un beau message d’amour et de fraternité entre les peuples.
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MessageSujet: Re: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 5:02

C'est l'histoire de deux familles, une musulmane et une juive, à travers laquelle nous voulons mettre en valeur la cohabitation paisible entre communautes au Maroc, mais c'est aussi l'histoire de 300.000 juifs qui ont quitte, clandestinement pour la plupart d'entre eux, le territoire national a la poursuite de promesses sans lendemain... Pour moi, c'est un message de paix qui montre que la cohabitation entre communautes, est possible, independamment des tribulations politiques qui n'ont fait qu'envenimer les rapports humains... A mon avis, la paix peut regner avec des effort mutuels de comprehension de l'autre... »
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Lison
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MessageSujet: Re: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 15:32

J'ai ouvert le lien, j'ai regardé les moments forts du film, je suis en larmes ... il faut vraiment que le film soit realiste et bien joué pour que je sois aussi bouleversée. Ce film en Israel va faire pleurer plus d'un ou d'une.

Mais pourquoi je m'étonne ? les Marocains depuis toujours ont des acteurs de talents, le scenario superbement bien tourné, bien pensé, le départ des communautés juives a été une grande perte pour le Maroc, nous en avons la preuve tous les jours sur les forum d'amitiés Judéo -Marocains. Il me tarde de voir le film. Bravo et je suis heureuse de tous les succes que notre pays ou nous avons eus des amis de toute confessions est à l'honneur par le mérite et le talent de sa nouvelle génération.

Elisabeth

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JACKYE
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MessageSujet: Re: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 18:21

Je connais et j'ai lu l'histoire de ce film,
il me tarde aussi de le voir,
j'etais a sa recherche depuis pas mal de temps. je ne savais qu'il n'etait pas sorti aux grands ecrants.
j'avais meme demande a ma soeur de me l'envoyer en video , bon ce sera bientot je suppose !!!
je suis persuadee que les Marocains Juifs et Musulmans retrouverons certains liens de leur passe en vie commune au Maroc.

Merci Solita.
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tagditee
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MessageSujet: fiere de toi   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeMer 6 Fév 2008 - 22:27

tarik si tu me lis je suis ta tante racha (tagdite) tu te souviens je suis tres contente de te savoir ici et fiere de toi , je t adore que dieu t ouvre toute les portes , je suis au courant de ton film et je vais le voir sans faute des mon retour au maroc
tagdite
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religion
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MessageSujet: Re: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeJeu 7 Fév 2008 - 18:40

Grandir entre deux religions.........dans les annees 50-60 des filles juives se sont mariees avec des musulmans et beaucoup d'enfants sont nes, si vous etes dans ma situation expliquez-moi,


Bonjour, Si le père est musulman et que la mère est juive? alors quelle est notre religion nous les enfants, ici au Maroc?
Il y a des parents qui laissent leurs enfants grandir sans religion et le laisser choisir lorsqu'il sera mûr, mais pas chez nous au Maroc.
Y a t-il des gens qui se sont deja penchés sur cette question?
A quelle communaute appartiennent les enfants d'un pere musulman et d'une mere juive, qui nous represente, ne sommes nous pas tous fils d'Avraham?.

Pour les musulmans l'enfant est musulman parce que son père est musulman, pour les rabbins l'enfant est juif parce que né de mère juive(pas convertie a l'islam).
En Israel un enfant de 18 ans peut choisir sa religion juive a partir de sa majorite, a condition que sa mere soit rester juive, comme l'acteur de cinema Israelien, Juliano Mar,comment vivre pleinement mon judaisme sans choquer mon pere, sa famille, les voisins, mes amis, l'epicier, mon banquier????????????????

bisous du musulman juif
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Latifa
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MessageSujet: Re: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeJeu 7 Fév 2008 - 22:04

Bonsoir le musulman juif, vis ta vie on ne vit qu'une seule fois la foi on la porte dans le coeur, on est tous fils d'Avraham, si tu te sens juif vis comme un juif, si tu te sens musulman vis comme un musulman, on ne doit pas cacher une religion on n'est plus au temps des marranes, qui etaient obliger de vivre en cachette 500 ans leur judaisme, tu t'imagines? ton epicier et tes voisins ils vont parler une semaine ensuite ils vont oublier, c'est toi qui doit etre completement d'accord avec ton choix, si d'apres la loi de Moise tu es juif et d'apres la loi d'Ismael tu es musulman, c'est ton coeur qui doit decider,on est tous passer par ce que tu passes aujourd'hui, je ne te dirais pas quelle religion choisir car personne n'a le droit de te dicter,si tu es majeur tu es le seul a choisir.
Latifa qui te souhaite bonne chance.
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rachid m
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MessageSujet: remercieme,ts   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeJeu 7 Fév 2008 - 23:00

bonjour a tous

alors moi aussi j'ai vu le film hier : adieu mères et c'étais supeeeeeeeeeeeeeer
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Soly Anidjar
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MessageSujet: Re: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeJeu 31 Déc 2009 - 15:01

ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM FILM+ADIEU+MERES+6
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MessageSujet: Re: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeJeu 31 Déc 2009 - 15:07

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MessageSujet: Re: ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM   ADIEU MERES DE TARIK MOUNIM Icon_minitimeJeu 31 Déc 2009 - 15:41

Samedi soir 23/01/10 à 20 heures aura lieu l'Ouverture de l'exposition et la Grande Première du celebre Film Marocain
"Adieu Mères "qui suivra.
Jeune acteur Marocain âgé de 32 ans aux grandes aspirations, Tarik Mounim (qui est ni plus ni moins que le neveu de notre chere Aicha- Tagdite mon amie ma soeur de Casablanca), vient d’achever son premier tournage marocain. Pour lui, foi et passion riment aisément avec ambition, une soif de réussite qu’il assume aussi bien que ses rêves.
Les premiers pas
Tout commence en France où Tarik voit le jour, à Dole, ville natale de Louis Pasteur. Cela ne suffira pas à éviter à Tarik d’avoir la rage. Celle de réussir, rassurons-nous. D’abord dans la musique où il trouve du réconfort pour mieux faire face à son enfance mouvementée. Activité professionnelle du père oblige, les déménagements seront fréquents. Malgré une agréable expérience théâtrale au collège (interpréter le dieu Pan entouré de bacchantes, ça ne se refuse pas), il n’a pas encore de véritable coup de cœur pour le métier de comédien.
La musique dans un premier temps, donc. Il compose, écrit, prépare une maquette et délaisse cette petite abréviation de trois lettres, si chère au parents : bac. Par chance, la maquette travaillée par ses soins est repérée par un producteur. Direction : un studio d’enregistrement parisien. Tarik découvre alors le charme vénéneux de Paname, avec ses joies mais aussi ses désillusions. Le milieu du show-business n’est pas tout rose, mais néanmoins plein d’enseignements : la drogue qui y circule, les artistes qui se laissent aller et sombrent, croyant déjà avoir atteint les sommets, les magouilles… Tarik observe et apprend.
Débrouillard comme pas deux, il enchaîne les petits boulots : de chauffeur-livreur pour restaurants à vendeur dans les plus prestigieuses boutiques de luxe de l’avenue Montaigne, il n’y a qu’un pas. Parallèlement, il sympathise avec la directrice d’un théâtre qui lui propose de s’essayer aux planches. Fonceur, il accepte et fait bien puisqu’il se découvre une passion dévorante pour le jeu. Une amie lui conseille de tenter sa chance dans le cinéma. Il s’intéresse, s’implique, se documente et n’hésite pas à investir ses deniers, gagnés grâce à son petit boulot dans le luxe, dans des cours et ateliers pour parfaire son jeu.
Rêves de cinéma
Il alterne alors rôles au théâtre, télévision et cinéma en engrangeant une grande insatisfaction professionnelle. Les réalisateurs et directeurs de castings sont, certes, physionomistes, mais pas toujours départis de préjugés. Pour interpréter un terroriste dans “Djihad”, Tarik passera son tour. “Trop beau” lui dira-t-on. On apprend donc qu’un terroriste, c’est forcément moche et qu’un acteur doit avant tout avoir la gueule de l’emploi. Les préjugés ont aussi bon dos quand, au vu de ses origines marocaines, on lui propose régulièrement des rôles de voyous ou de travestis. Il cite volontiers Sami Bouajila ou Roschdy Zem dont il salue le talent et la ténacité qui leur ont permis d’éviter de se laisser enfermer dans des rôles trop souvent caricaturaux.
Re-conseil d’amie : tenter sa chance au Maroc. Il commence par faire un tour du côté du Festival du film de Marrakech, en décembre dernier, et prend des contacts. Il en a la certitude, le réseau est la pierre angulaire de toute carrière qui se respecte. C’est d’autant plus vrai qu’il vient déjà d’achever son premier tournage au Maroc, sous la direction de Mohammed Ismaïl, dans le film “Adieu, mère”. Sous fond d’immigration de la communauté juive marocaine début des années 60, Tarik y joue un jeune musulman rebelle, amoureux d’une juive. Pour mieux se plonger dans le rôle, il lit, découvre l’histoire du Maroc, tapisse les murs de sa chambre d’hôtel de photos de Marlon Brando et de James Dean et ne se sépare jamais d’un livre détaillant la méthode Lee Strasberg, célèbre enseignant de l’Actors Studio."Adieu Mères " l’histoire relate les liens solides de deux familles, l’une juive, l’autre musulmane que le destin a cruellement séparées, laissant une noble mission à l’une d’entre elles. Les liens amoureux mouvementés de deux jeunes de confession différente se voient brisés par des parents trop traditionalistes, un homme prêt à liquider ses affaires pour rejoindre les siens, un rabbin qui refuse d’être déraciné, enfin une nostalgie déchirante et époustouflante de familles embarquées dans une aventure aléatoire. Le tout est empreint et dominé par l’incertitude du lendemain, seule la bravoure des cœurs généreux saura atténuer cette psychose.
Avec la réalisation de Mohamed Ismaïl, Version : arabe - français
Scénario : Mohamed Ismaïl et Reine Danan
Lieu de tournage : Tétouan et Casablanca
Production : Maya Films
Directrice de Production : Maria Sqalli
les acteurs:
Henry : Marc Samuel
Brahim : Rachid El Ouali
Ruth : Souad Amidou
Fatima : Hafida Kassoui
Benchetrit : Christian Drillaud
Eliane : Rachel Huet
Chochana : Nouzha Regragui
Ouaknine : Ahmed Alaoui
Mme Attar : Amina Rachid
Mama Hanna : Fatima Regragui
Benchekroun : Salah Dizane
Mehdi : Tarik Mounim
Rebbi Braham : Omar Chenboud
Mohamed Ismaïl est un réalisateur et scénariste marocain né le 1er septembre 1951 à Tétouan.
Tarik Mounim rêve d’une carrière exemplaire, faite de choix pertinents (exit les projets commerciaux sans intérêt artistique) et voit grand : porter le cinéma marocain au plus haut, internationalement, avec - pourquoi pas ? - un oscar ou un autre grand prix. Pas pour un prestige personnel, explique-t-il, mais pour encourager et inspirer une jeunesse marocaine en manque de modèles. Le cinéma est une histoire d’amour qui se partage, avant tout, avec le public. Son ambition, il l’affiche et l’assume car «il faut rêver pour être grand». Et pourquoi pas ?
C’est à coup sûr l’un des films les plus forts de l’histoire du cinéma national. Un sujet puissant sur le départ des juifs marocains dans les années 60 vers Israël, une histoire d’amitié entre les arabes et les juifs, dans un Maroc communautaire où les différences religieuses n’ont jamais présidé aux relations humaines.
Demandé à être visionné par Milos Forman, le président du Jury du FIFM,
ce film marocain pourra faire l’événement dans de nombreux festivals de par le monde, les bruits courent que le film fera le tour de grandes places cinématographiques grâce à une vision de l’histoire tout en nuance, orchestrée par un beau message d’amour et de fraternité entre les peuples.
C'est l'histoire de deux familles, une musulmane et une juive, à travers laquelle nous voulons mettre en valeur la cohabitation paisible entre communautes au Maroc, mais c'est aussi l'histoire de 300.000 juifs qui ont quitte, clandestinement pour la plupart d'entre eux, le territoire national a la poursuite de promesses sans lendemain... Pour moi, c'est un message de paix qui montre que la cohabitation entre communautes, est possible, independamment des tribulations politiques qui n'ont fait qu'envenimer les rapports humains... A mon avis, la paix peut regner avec des effort mutuels de comprehension de l'autre... »
Ce film en Israel va faire pleurer plus d'un ou d'une. Le départ des communautés juives a été une grande perte pour le Maroc, nous en avons la preuve tous les jours sur les forum d'amitiés Judéo -Marocains.
felicitations a Tarik Mounim et a Mohammed Ismaïl.

Il a un visage angélique et un regard envoûtant. Tarik Mounim est acteur et président fondateur de l’Association «Sauvons les salles de cinéma au Maroc». il joue dans le film de Mohamed Ismaïl «Adieu Mères» où il interprète le rôle de Mehdi, un jeune musulman rebelle qui tombe amoureux d’une juive. Pour Tarik, être acteur, c’est aussi agir. A travers son association «Sauvons les salles de cinéma au Maroc», Tarik et les membres de l’association mènent un rude combat pour sauver les salles de l’oubli et de la destruction et d’en faire une nouvelle fois, des vecteurs régionaux de culture. hers amis Tarik Mounim reste l’un des rares acteurs qui se mobilisent corps et âme pour la protection des salles de cinéma au Maroc. Soutenons cette noble cause.
Samedi soir 23/01/10 à 20 heures soiree d'Ouverture de l'exposition et de la Grande Première du Film Marocain
"Adieu Mères " a Ashdod au Matnas Edmond Safra.
Cet événement se tiendra en présence de 3 grands marocains Mr Le maire de la ville d'Ashdod le Dr yehiel Lasry, de Mr Arieh Azoulay ex-maire d'Ashdod et de Mr Shaul Bensimhon president mondial des juifs d'Afrique du nord et autres Personnalités.
Participation: 30 shequels.
Sous-titrage : anglais
Version : arabe - français
Nous vous prions de bien vouloir réserver vos places.
Un règlement est souhaité avant le 10 janvier environ étant donné le nombre limité de places.


Matnass Edmond Safra
Rue av 4
quartier Youd beth
Ashdod
moyen de transport:
autobus 11 et 11 alef
taxi shirout 11 et 11 alef
Pnina Bendavid- Coordinatrice pour la francophonie
0544666768- 0544867023
Si vous voulez laisser un mot pour notre acteur ecrivez je ferais suivre
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