MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR
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MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR

HISTOIRE DES JUIFS DU MAROC-CASABLANCA-RABAT-MAZAGAN-MOGADOR-AGADIR-FES-MEKNES-MARRAKECH-LARACHE-ALCAZARQUIVIR-KENITRA-TETOUAN-TANGER-ARCILA-IFRANE-OUARZAZAT-BENI MELLAL-OUEZANE
 
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 LES MARRANES

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Soly Anidjar
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MessageSujet: LES MARRANES    LES MARRANES  Icon_minitimeMar 18 Fév 2014 - 10:16


Le marranisme est un terme utilisé à partir du XVe siècle en référence aux Juifs de la péninsule Ibérique (Portugal, Espagne) convertis au catholicisme, souvent de force, et qui continuaient à pratiquer le judaïsme en secret. Au Portugal, ils ont été traditionnellement désignés sous le nom de cristãos novos (nouveaux chrétiens), appellation aujourd’hui souvent remplacée par celle de crypto-juifs. Pareillement, ces Juifs convertis étaient considérés comme des êtres hybrides, en partie juifs, en partie chrétiens, et de fait ni juifs, ni véritablement chrétiens.


L'origine de l'appellation marranes ou Marranos est incertaine, marrane voudrait dire cochon, porc, sale,  dérivé de l’arabe  (muḥarram) signifiant  rituellement interdit se référant à la prohibition de la viande de cochon des religions juives et musulmanes.  Peut -etre de l’hébreu mumar (apostat), les mots arabes marana (pliant, flexible) ou barrani (étranger) ou encore il proviendrait de l’araméen maranatha. les habitants de Majorque utilisaient le terme de Xuetes (Xua, un mot catalan faisant référence à la préparation à base de porc, que les Xuetes consommaient afin de prouver la sincérité de leur catholicisme.  En hebreu nommés anousim (terme hébreu générique pour les Juifs convertis par la force ).
Au Portugal, on les désigna sous le nom de cristãos novos. Certains spécialités culinaires du nord-est du Portugal auraient, selon la légende, une origine crypto-juive. Ainsi, les alheiras et farinheiras, saucisses à base de viande de volaille ou de gibier additionnée de farine ou de mie de pain, semblent élaborées comme les saucisses de viande de porc. Elles ont permis de conserver des coutumes Casher tout en feignant de suivre les usages chrétiens de confection et de consommation de charcuterie.

Au Portugal, c’est l’expression cristãos novos (nouveaux chrétiens) qui a prévalu sur celle de conversos ou marranos. La plupart des nouveaux chrétiens portugais sont d’origine castillane : on estime qu’environ 100 000 Juifs de Castille se réfugièrent au Portugal après le décret d’expulsion de 1492, venant ainsi rejoindre les Juifs déjà présents dans le pays. La proportion de Juifs dans la population s’avéra alors particulièrement importante (au moins 10 %) puisque le royaume de Portugal ne comptait alors guère plus d’un million d’habitants.

Dès 1496-1497, la politique royale du Portugal dut s’aligner sur celle de l’Espagne. Le roi donna aux Juifs le choix entre le baptême ou l’exil mais la plupart furent contraints au baptême. Le nombre de nouveaux convertis crût alors massivement au Portugal. Beaucoup se convertirent en apparence mais continuèrent à pratiquer le judaïsme en secret.

De nombreux Juifs hispano-portugais fuirent vers la France (Bordeaux et Bayonne), l’Italie, l’Empire ottoman ou les villes du nord-ouest de l’Europe avec lequel les relations commerciales portugaises étaient actives. C’est dans ces villes – Anvers, Amsterdam, Hambourg, Londres – que se constituèrent au XVIe siècle et au XVIIe siècle les grandes communautés séfarades. On retrouve également des implantations marranes aux Antilles (Jamaïque, Curaçao, etc.), au Suriname et dans les colonies d’Amérique du Nord (New York, Newport, Savannah, Charleston).

Au Portugal, entre le XVIe siècle et le XXe siècle, beaucoup de nouveaux chrétiens conservèrent leurs rites juifs dans la clandestinité. Toutefois, sans contact avec le reste de la communauté juive et privés de rabbinat, leurs pratiques religieuses ont mêlé éléments juifs et catholiques et leur calendrie s’est christianisé. Ce fut le cas des communautés du nord-est du pays, particulièrement nombreuses dans les bourgades des régions de Castel Branco (Belmonte, Covilhã, Fundão, Idanha, Penamacor) ou de Bragance (Miranda do Douro, Vimioso, ). Localement connues sous le nom de judeus (juifs), elles ont subsisté jusqu’à la fin du XXe siècle. Elles ont aujourd’hui quasiment disparu à la suite de l’émigration et de l’exode rural massifs qui ont dépeuplé ces régions.
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MessageSujet: Re: LES MARRANES    LES MARRANES  Icon_minitimeMar 18 Fév 2014 - 10:26

Christophe Colomb serait également d'origine marrane, ainsi que le General Franco.
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MessageSujet: Re: LES MARRANES    LES MARRANES  Icon_minitimeMar 18 Fév 2014 - 15:02

Le marranisme est un terme utilisé à partir du XVe siècle en référence aux Juifs de la péninsule Ibérique (Portugal, Espagne) convertis au catholicisme, souvent de force, et qui continuaient à pratiquer le judaïsme en secret. Au Portugal, ils ont été traditionnellement désignés sous le nom de cristãos novos (nouveaux chrétiens), appellation aujourd’hui souvent remplacée par celle de crypto-juifs. Pareillement, ces Juifs convertis étaient considérés comme des êtres hybrides, en partie juifs, en partie chrétiens, et de fait ni juifs, ni véritablement chrétiens.


L'origine de l'appellation marranes ou Marranos est incertaine, marrane voudrait dire cochon, porc, sale,  dérivé de l’arabe  (muḥarram) signifiant  rituellement interdit se référant à la prohibition de la viande de cochon des religions juives et musulmanes.  Peut -etre de l’hébreu mumar (apostat), les mots arabes marana (pliant, flexible) ou barrani (étranger) ou encore il proviendrait de l’araméen maranatha. les habitants de Majorque utilisaient le terme de Xuetes (Xua, un mot catalan faisant référence à la préparation à base de porc, que les Xuetes consommaient afin de prouver la sincérité de leur catholicisme.  En hebreu nommés anousim (terme hébreu générique pour les Juifs convertis par la force ).
Au Portugal, on les désigna sous le nom de cristãos novos. Certains spécialités culinaires du nord-est du Portugal auraient, selon la légende, une origine crypto-juive. Ainsi, les alheiras et farinheiras, saucisses à base de viande de volaille ou de gibier additionnée de farine ou de mie de pain, semblent élaborées comme les saucisses de viande de porc. Elles ont permis de conserver des coutumes Casher tout en feignant de suivre les usages chrétiens de confection et de consommation de charcuterie.

Au Portugal, c’est l’expression cristãos novos (nouveaux chrétiens) qui a prévalu sur celle de conversos ou marranos. La plupart des nouveaux chrétiens portugais sont d’origine castillane : on estime qu’environ 100 000 Juifs de Castille se réfugièrent au Portugal après le décret d’expulsion de 1492, venant ainsi rejoindre les Juifs déjà présents dans le pays. La proportion de Juifs dans la population s’avéra alors particulièrement importante (au moins 10 %) puisque le royaume de Portugal ne comptait alors guère plus d’un million d’habitants.

Dès 1496-1497, la politique royale du Portugal dut s’aligner sur celle de l’Espagne. Le roi donna aux Juifs le choix entre le baptême ou l’exil mais la plupart furent contraints au baptême. Le nombre de nouveaux convertis crût alors massivement au Portugal. Beaucoup se convertirent en apparence mais continuèrent à pratiquer le judaïsme en secret.

De nombreux Juifs hispano-portugais fuirent vers la France (Bordeaux et Bayonne), l’Italie, l’Empire ottoman ou les villes du nord-ouest de l’Europe avec lequel les relations commerciales portugaises étaient actives. C’est dans ces villes – Anvers, Amsterdam, Hambourg, Londres – que se constituèrent au XVIe siècle et au XVIIe siècle les grandes communautés séfarades. On retrouve également des implantations marranes aux Antilles (Jamaïque, Curaçao, etc.), au Suriname et dans les colonies d’Amérique du Nord (New York, Newport, Savannah, Charleston).

Au Portugal, entre le XVIe siècle et le XXe siècle, beaucoup de nouveaux chrétiens conservèrent leurs rites juifs dans la clandestinité. Toutefois, sans contact avec le reste de la communauté juive et privés de rabbinat, leurs pratiques religieuses ont mêlé éléments juifs et catholiques et leur calendrie s’est christianisé. Ce fut le cas des communautés du nord-est du pays, particulièrement nombreuses dans les bourgades des régions de Castel Branco (Belmonte, Covilhã, Fundão, Idanha, Penamacor) ou de Bragance (Miranda do Douro, Vimioso, ). Localement connues sous le nom de judeus (juifs), elles ont subsisté jusqu’à la fin du XXe siècle. Elles ont aujourd’hui quasiment disparu à la suite de l’émigration et de l’exode rural massifs qui ont dépeuplé ces régions.
Christophe Colomb serait également d'origine marrane, ainsi que le General Franco.







Expulsion des Juifs d'Espagne par  Rois catholiques Ferdinand II d’Aragon et Isabelle Ire de Castille et du Portugal

Marque la fin d’une présence millénaire et d’une culture riche et épanouie sur le sol ibérique et sur le sol portuguais, suite aux persécutions desquels nombre de Juifs s’exilent ou se réfugient dans les terres chrétiennes du nord. Cette époque, dite de la Convivencia, les mesures de pression s’affirment sur les Juifs en terre chrétienne. Diverses mesures sont entreprises pour convertir les Juifs au christianisme, au terme de disputations telles la dispute de Barcelone et celle de Tortosa, de campagnes de prédication intensives de Vincent Ferrier ou de campagnes de conversion forcée culminant avec les baptêmes sanglants de 1391.
Outre les nombreuses victimes de ces persécutions et les vagues d’émigration qu’elles entrainent (principalement vers l'Empire ottoman, le Maghreb et les Pays-Bas), ces mesures créent un phénomène nouveau, le marranisme, où des Juifs, souvent contraints à la conversion, demeurent secrètement attachés au judaïsme. Certains, dont l’aïeul d’Isaac Abravanel, parviennent à fuir vers le Portugal afin de pouvoir revenir librement au judaïsme mais la plupart des Marranes sont contraints de demeurer en Espagne, incapables de trouver leur place parmi les Juifs ainsi que parmi les chrétiens qui se méfient de ces nouveaux convertis ou jalousent leur position sociale.
C’est officiellement afin d’extirper toute tendance à la judaïsation parmi ces Marranes que l’Inquisition espagnole reçoit pleins pouvoirs pour s’acharner sur ces conversos avec, parfois, le soutien des Juifs, persécutés par certains de leurs anciens frères soucieux de prouver leur allégeance. 


 le 29 avril 1492, le décret ordonne l’expulsion définitive avant le 31 juillet des Juifs refusant le baptême, tous âges et catégories sociales confondus et ne leur permet d’emporter qu’une infime partie de leur patrimoine. Bien que ses plans  des rois catholiques Ferdinand II d’Aragon et Isabelle Ire de Castille soient partiellement couronnés de succès avec la conversion d’un grand nombre de Juifs.  la majorité des Juifs choisissent l’exil.
Les estimations chiffrées concernant l'ampleur de l'expulsion et des conversions en Espagne et au Portugal nous ne le saurons jamais,   du fait qu'un certain nombre de familles ayant dans un premier temps fait le choix de l'exil se soient plus tard résignées à la conversion et au retour dans leur zone d'origine face aux difficultés et au drame personnel que constituait l'expulsion.
2 janvier 1492 : entrée des Rois catholiques dans Grenade, qui marque la fin des Guerres de Grenade, dernier épisode de la Reconquista. Le roi Nasride Boabdil (Abou abd Allah) remet les clés de la ville aux souverains espagnols, qui garantissent à la population le droit de pratiquer librement leur religion (capitulations de Grenade, 25 novembre 1491). Cette promesse ne sera pas tenue bien sur.
31 mars 1492 : décret de l'Alhambra, portant sur l'expulsion des Juifs d'Espagne par les Rois Catholiques, Isabelle de Castille  et Ferdinand II d'Aragon, qui leur laissent jusqu'au 31 juillet pour se convertir au christianisme ou quitter le pays des centaines de milliers choisissent la conversion, des centaines de milliers choisissent l’exil en Navarre, au Portugal, en Italie, en Afrique du Nord ou en Méditerranée orientale.
18 juin 1492 : décret d'expulsion des Juifs de Sicile. Ils ont jusqu'au 18 septembre pour quitter l'île. Le délai est prolongé jusqu'au 18 décembre, puis au 12 janvier 1493.
décret d'expulsion des Juifs de Malte et Gozo, les deux îles constituant l'archipel maltais, ont été envahies par l'Orient et l'Occident. Phéniciens, Romains, Turcs et Anglais ont tous marqué les îles de leur empreinte, sans oublier les Croisés en route pour Jérusalem. Et tous ou presque amenaient des juifs dans leur sillage. Confrontés aux vicissitudes des temps, beaucoup se sont convertis. Pourtant, les traces subsistent. Isolés au milieu des flots bleus enchanteurs du "berceau de notre civilisation", les juifs de Malte résistent à l'assimilation : ils s'adaptent mais ne cèdent pas. Les Juifs de Malte , les premiers juifs installés dans l'archipel étaient contemporains des marchands phéniciens qui mirent en place le premier réseau commercial en Méditerranée il y a quelque trois mille ans. Les témoignages matériels sur l'existence d'une communauté juive à Malte datent de l'époque romaine : une pierre tombale non identifiable trouvée à Rabat, a Malte près de l'ancienne capitale Mdina, au centre de l'île, et plusieurs catacombes à l'entrée desquelles sont gravées des menorahs (chandeliers à sept branches) comme pour identifier cet ensemble de sépultures souterraines perdues au milieu des catacombes chrétiennes. Mdina l'ancienne capitale Malte semble avoir abrité une communauté juive importante expulsees de Malte et de Gozo jusqu'à l'Inquisition. Lorsque les Normands s'emparèrent de l'archipel, en 1061, celui-ci comptait une population composite de chrétiens, de musulmans et de juifs. Malte, qui fut intégrée à la Sicile, passa ensuite aux mains des Espagnols  en(1282).
un vieux manuscrit hébraïque du XVe siècle conservé dans la bibliothèque de Mdina a Malte. À cette époque, les juifs constituaient le tiers de la population de la cité où ils étaient considérés comme citoyens, occupant une position confortable, possédant des terres et des propriétés dans les campagnes. À Malte, ils vivaient en bons notables à l'intérieur des murs de Mdina ou de Birgu, le port. À Gozo, ils habitaient plutôt dans les faubourgs de Rabat, la petite capitale de cette île essentiellement rurale et plus pauvre que sa grande soeur. Mais nulle part, ils ne vivaient en quartiers séparés, comme ce sera le cas plus tard, et leurs maisons jouxtaient celles des chrétiens. Cette situation changea dans la seconde partie du XVe siècle quand les autorités religieuses, d'origine espagnole, s'inquiétèrent de la mitoyenneté de certaines maisons habitées par des juifs avec les églises, et cette réaction s'amplifia avec la montée sur le trône d'Espagne de Ferdinand d'Aragon (1479).


Le décret d'expulsion fut signé à Palerme le 18 juin 1492. Il donnait trois mois aux juifs de Sicile et de Malte pour quitter le pays. Comme en Espagne, ils étaient considérés avec suspicion.
Pour la communauté juive avant tout commerçante, le fait d'avoir des correspondants à Alexandrie, Tripoli ou Tunis suffisait à la rendre suspecte aux yeux des Espagnols. À Palerme, le gouvernement local envoya une protestation aux souverains espagnold faisant valoir que si on expulsait les juifs du royaume, où il étaient nombreux et actifs, notamment à Malte et à Gozo, l'économie s'en ressentirait et les îles en seraient dépeuplées.


Un nombre assez important de juifs siciliens acceptèrent le marché proposé par la royauté espagnole et se convertirent.
dans les années qui suivirent l'application du décret d'expulsion, Malte compta plusieurs dizaines de conversos dont les noms ont été retrouvés dans les archives. Les Maltais se disent d'ailleurs d'ascendance juive et quelquefois, certains s'intéressent à cet aspect de leurs origines. Les noms de familles de l'archipel portent la trace de cet héritage ; ainsi, Ellul, Salamone, Mamo (nom du premier président de Malte indépendant) seraient des noms d'origine juive. Il paraîtrait qu'Azzopardi, un nom très répandu à Malte, signifierait Séphardi qui veut dire en hebreu espagnol.
L'Inquisition espagnole ou Tribunal du Saint-Office de l'Inquisition  en Espagne commenca en 1478, avant la fin de la Reconquista.
 L'Inquisition espagnole devait combattre contre le blasphème (veut dire diffamation  concept juridique désignant le fait de tenir des propos portant atteinte à l'honneur) ,la fornication (le mot fornication désigne un rapport sexuel entre deux individus non mariés entre eux, pratique condamnée par certaines religions et on l'appelle péché de la chair), la bigamie (La polygamie désigne la situation dans laquelle une personne dispose au même moment de plusieurs conjoints, Le terme est formé à partir de deux mots grecs, « polus » qui signifie « plusieurs » et « gamos », signifiant « mariage »., la pédérastie (l'homosexualité,) et la persistance de pratiques judaïsantes, ils ont tous été exterminés par les Espagnols.
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