MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR
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MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR

HISTOIRE DES JUIFS DU MAROC-CASABLANCA-RABAT-MAZAGAN-MOGADOR-AGADIR-FES-MEKNES-MARRAKECH-LARACHE-ALCAZARQUIVIR-KENITRA-TETOUAN-TANGER-ARCILA-IFRANE-OUARZAZAT-BENI MELLAL-OUEZANE
 
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 LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF

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Soly Anidjar
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Soly Anidjar


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MessageSujet: LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF   LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Icon_minitimeJeu 19 Juin 2008 - 5:20

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Soly Anidjar
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Soly Anidjar


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MessageSujet: Re: LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF   LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Icon_minitimeJeu 19 Juin 2008 - 5:28

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Béli
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MessageSujet: Retrouver anciens du Maarif   LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Icon_minitimeDim 3 Aoû 2008 - 18:34

Je suis l'arrière petite fille de Madame Josefa

Sevila Sanchez dit " La Pepa"
,qui habitait dans

le quartier du Maarif, à la rue du Canigou.

Elle a eu sept garçons et une fille Laurette

qui était ma grand-mère. Josefa avait une soeur qui

s'appelait Thérèse, surnommée " Sica".La maison

familiale se situait à une des extrémités de la rue

du Canigou, près du panneau indiquant un sens

interdit. Dans cette maison sont nés notamment ma

mère Marie- Laure et son frère Frédérik, qui avaient

pour habitude de jouer dans une cour, située

derrière la maison.

Ma grand-mère Laurette et son mari Jules avaient

comme amis les propriétaires de la librairie,

papèterie " Le Sphinx" : Monsieur et Madame

Urrea Raymond et Huguette. La maison

familiale est aujourd'hui une sorte d'épicerie,

droguerie. J'aimerais retrouver des personnes qui

ont connu ma famille, afin de pouvoir dialoguer...

Au plaisir de vous lire

Béli
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Michelle Anidjar
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Michelle Anidjar


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MessageSujet: Re: LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF   LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Icon_minitimeSam 18 Oct 2008 - 18:16

Ces «pieds-noirs» du quartier Maârif…



Les migrations humaines ont comme partout ailleurs marqué la terre marocaine et façonnée son histoire. Avec l’infiltration impérialiste au XIXe siècle, la présence des Européens prit peu à peu l’ampleur que l’on sait, représentée dans un premier temps par les diplomates, les commerçants et les aventuriers.
Suite au recensement des villes effectué en janvier 1917, le Bulletin Officiel du Maroc a publié des résultats où il ressort que la population citadine totale du pays, indigène et européenne, avoisinait les 525.000 personnes, soit 388.500 musulmans, 74.900 Israélites et 62.030 Européens.
Concernant la population européenne, elle se décomposait elle-même en 35.780 Français, 13.450 Espagnols, 8.955 Italiens, 1.005 Anglais et 2.840 de nationalités diverses, en majorité des Portugais et des Grecs.
Considérée comme un Eldorado et un Far West de toutes les aventures, Casablanca reste en tête avec 37.500 Européens dont 21.000 Français.
Recevant au début du XXe siècle, entre autres catégories de populations, des hommes d’affaires à l’affût d’une terre encore plus libérale et des pionniers de tout bord venant quêter l’aventure, la Ville Blanche accueillit avec la Deuxième Guerre mondiale, des Européens fuyant les horreurs de la guerre et des réfugiés espagnols chassés par la dictature franquiste et par la guerre civile. Ils seront répartis en fonction de leur statut social ou de leur origine, dans les quartiers huppés de l’ouest ou du centre-ville ou dans les quelconques nouveaux quartiers périphériques pour ouvriers spécialisés ou pour petits commerçants démunis de l’Europe de l’Est et du Sud.
Parmi ces quartiers, l’un des plus cosmopolites est indéniablement le quartier Maârif. Acheté d’une somme modique en 1911 par les négociants juifs anglais, Murdoch et Buttler, à une fraction de la tribu Oulad Maâroufi, il est situé à environ deux kilomètres et demi du centre-ville.
Ce quartier marécageux ne tarda pas à recevoir dès lors, des familles immigrées européennes, logées dans des baraquements en bois.
Loti à partir de 1915, il continua à attirer les petites bourses, incapables de s’aligner sur les prix pratiqués au centre-ville, chasse gardée de l’élite coloniale et fierté du plan urbanistique de l’architecte Henri Prost, non exempt de ségrégation spatiale, étroitement lié qu’il est, à une société à castes, que refusent encore de reconnaître certains adorateurs béats des œuvres «philanthropiques» des bâtisseurs.
Qui dit petites bourses, dits principalement des immigrés originaires d’Europe du Sud, souvent arrivés via l’Algérie «française».
Trois langues étaient initialement pratiquées au Maârif: le français, l’espagnol, l’italien, tandis que l’arabe, étranger sur sa propre terre était cantonné dans le quartier voisin de Derb Ghallef.
Majoritairement catholique en effet, la population ne tarde pas à être dotée en 1917 de sa fameuse église bâtie par le père Bonaventure Cordonnier de la Mission franciscaine, avant de connaître un grand essor, principalement à partir de 1927.
Le quartier Maârif, dit «La Petite Sicile», reste ainsi le fief de ceux que l’on nomme les «pieds-noirs», soit selon le pied-noir de son état, Paul Robert, dans son fameux dictionnaire, «Les Européens fixés en Afrique du Nord», par distinction des français de France, surnommés Patos (en espagnol, canards) ou Francaoui.
L’appellation «pied-noir», honnie par certains, devenue pratiquement synonyme de «rapatrié» avec l’Indépendance de l’Algérie, est emprunte d’une marque péjorative envers ces populations, soit françaises d’origine, nées au Maghreb; soit européennes naturalisées françaises de manière automatique depuis la loi de 1889, étant nées sur un sol décrété «français»; soit juives indigènes auxquelles la citoyenneté française fut accordée avec le Décret Crémieux de 1870. Cette origine métissée ne tarda pas, en tous les cas, à provoquer les éternelles angoisses ethnicistes de certains politiques qui ont évoqué à ce titre, le «péril étranger».
Quant à l’origine de l’expression, «pied-noir», loin de faire l’unanimité, «le Maroc pourrait (en) revendiquer la paternité, selon le professeur d’histoire contemporaine, Guy Pervillé, «puisque, Emmanuel Roblès se souvient qu’en 1937, à Casablanca, dans le quartier du Maârif, on appelait «pieds-noirs» les nouveaux immigrants originaires du Portugal, du sud de l’Espagne et aussi de l’Oranie, qui arrivaient les pieds noirs de poussière».
Les anciens reconnaitront la rue de la mosquée




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Michelle Anidjar
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MessageSujet: Re: LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF   LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Icon_minitimeSam 18 Oct 2008 - 18:18

LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Maarif

Les anciens reconnaitront la rue de la mosquée
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kenza
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kenza


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MessageSujet: Re: LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF   LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Icon_minitimeDim 19 Oct 2008 - 12:48

salamalikoum
Bonjour les amis ,
Bonjour Michelle,
C'est le début du quartier
Avant à la place de la mosquée , y avait le marché (en barraques) et à l'angle de la rue Ballon d'Alsace (1ére rue d'ailleur) la Boule Mâarifienne (la pétanque )
à la même place un peu à gauche y avait un terrain vague on jouait au foot et pendant les vacances d'été y avait le cirque espagnol "Martin Circus"
Parole de Kenza
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vasco de gama




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MessageSujet: Re: LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF   LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Icon_minitimeDim 19 Oct 2008 - 17:32



Voici pour les Maarifiens:

À l’origine, le quartier du Maârif était situé loin du centre ville. Ce qu’on appelle un quartier périphérique. Zone pauvre, il était surtout peuplé d’Italiens et d’Espagnols. Ce n’est qu’en 1917 qu’un prêtre franciscain se risquât à découvrir ce quartier, il s’agit du Père Bonaventure. En 1929, la paroisse Saint Antoine comprenait le Maârif, le Nid d’Iris, le Palmier, le Derb Ghalef et Maârif Extension. Ce qui en fait aujourd’hui l’un des centres urbains les plus en vue de la ville de Casablanca.
La Gazette publie une série d’articles sur plusieurs numéros pour retracer l’histoire d’une véritable aventure urbaine.

L’histoire du Maroc nous apprend que le terme «Maârif» désigne une fraction de la tribu des Mzab, originaires de la région de Ben Ahmed. Une zone rurale jadis connue pour la bravoure, le courage et l’abnégation de ses Kiads. Les Maârifs, qui ont réussi au long des décennies une belle expansion terrienne, sont arrivés dans la région qui sera plus tard connue comme Casablanca et ils y achetèrent des parcelles de terre. Le nom du quartier découle donc du fait que ces personnes possédaient des terres dans ce quartier.
Les historiens de la ville de Casablanca voudraient que l’origine moderne du quartier prenne naissance dans une ferme. C’était une ferme tenue par un riche agriculteur qui avait sa maison dans la rue du Ballon d’Alsace, angle Boulevard Camille Desmoulins Il y avait là plusieurs bâtiments, dont la Villa «Chez Deschamps» transformée plus tard en «Maison Portugaise» qui avait accès également par la Place des Halles; cette place fut toujours un terrain vague avec des chardons où les enfants allaient jouer au foot juste derrière le marché. Il existe également une villa de Maître rue de l’Atlas au numéro 11 qui date de cette époque avant le Protectorat. Ces terrains étaient traversés à l’Est le long du Bd. Jean Courtin (Ex Rte de Mazagan) par l’Oued Bouskoura. D’anciens témoignages attestent d’une vie presque de villégiature sur les bords d’un fleuve qui avait entamé sa phase phréatique. Au bord de cet oued se trouvait un four à pain primitif, unique dans son genre ainsi que le Hammam qui jouait son rôle de lieu de rassemblement des populations. L’ensemble avait des murs d’enceinte en terre battue, que l’on pouvait voir en partie, rue du Bourbonnais.

1911, année charnière
Le quartier a été fondé en 1911 par trois négociants Anglais juifs. Les terrains étaient 50 fois moins chers que ceux du centre ville. Dans la photo aérienne de 1922 nous y voyons au centre l’Eglise qui a donné corps à tout ce quartier. C’est en 1918 que se construit l’Eglise Franciscaine au style «Colonial Espagnol» comme en Californie. Le Père Bonaventure Cordonnier (mort en 1946) y a dit sa première messe le 15 Septembre 1918 (Les Franciscains ont été remplacés par les Salésiens en 1929) devant et derrière l’Eglise, entre la rue du Jura et la rue des Alpes, il n’y avait encore rien : pas de cinémas Monte Carlo, ni Mondial encore moins Familia, pas d’école en bois, non plus. Ce terrain devait être un boulevard avec des jardins au centre, et une belle perspective depuis la route de Mazagan. Mais, la spéculation a empêché la réalisation de ce projet et bien d’autres. Il y avait là quelque cent familles qui s’étaient risquées à abandonner la vieille médina de Casablanca (Ex Comptoir Portuguais repris par les Espagnols au 18ème siècle, qui obtinrent du Sultan le privilège du commerce). Cette ville naissante, qui sera plus tard, l’ancienne médina était une réelle forteresse conçue dans le pur style des cités protégées, où l’on fermait les portes au coucher du soleil... Dans la journée, les maraîchers vendaient leurs marchandises, hors murs le long de l’oued.
La ville était circonscrite dans l’enceinte de l’ancienne médina, seul le cimetière de Sidi Belyout se trouvait en dehors, et le port n’existait pas encore. L’oued Bouskoura longeait les murs d’enceinte et son embouchure à la mer. La plage de Sidi Belyout se prolongeait jusqu’aux roches noires. Les premiers habitants du Maârif longeaient eux aussi l’oued et arrivaient sur les bords de plage du côté des Roches Noires.Au début du siècle, les historiens affirment que le quartier du Maârif était situé en zone dite d’insécurité (l’histoire retient cette date du 30 juillet 1907, jour du massacre des Européens à Casablanca).
Les quelques Européens qui y habitaient ne possédaient qu’un lopin de terre pour planter les légumes et une baraque en bois. Aucun aspect de la vie moderne. C’étaient les prémices d’une bourgade rurale à la lisière d’une ville naissante.

L’histoire d’une naissance
Dans «le Maroc pour tous» de Luis Cros (Librairie Universelle Paris. 1914) nous trouvons un véritable trésor de statistiques économiques et autres du début du siècle, jusque fin 1913, pour inciter les Français à se rendre au Maroc, dont voici un extrait: «la population musulmane autochtone non assimilable (le vrai musulman ne s’embarrasse pas de nationalité, il est musulman avant tout) et son sol, sujet à l’indivision....
«Je n’impose rien, je ne propose rien, j’expose». Le Maréchal Lyautey avec le concours de grands urbanistes comme Prost et d’autres, a ordonné de tracer le plan de la ville, selon le dahir du 16 Avril 1914 (12 Joumada 11/1332) relatif aux alignements, au plan d’aménagement et d’extension des villes, qui a mis de l’ordre dans les implantations incontrôlées.
Après plusieurs arrêtés municipaux et viziriels comme celui du 25 Juillet 1922 ou celui fixant le périmètre de la ville, le ler Octobre 1925, un plan général de voirie a été décidé. Et enfin l’arrêté municipal permanent de voirie et construction du 2 Janvier 1952 signé par le Pacha Si Hadj Hammad El Mokri et A. Grillet, sous Directeur Chef des Services Municipaux de Casablanca a été un des principaux déclencheurs de ce que sera la ville plus tard.

http://www.lagazettedumaroc.com/articles.php?
id_artl=12598&n=511&r=7&sr=971
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vasco de gama




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MessageSujet: Re: LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF   LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Icon_minitimeDim 19 Oct 2008 - 17:34

LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Casablancaeglisemaarif
L'église Saint Antoine de Padoue, dans le quartier du Maârif. L'édifice a depuis été converti, si l'on ose dire, en centre culturel.
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Soly Anidjar
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MessageSujet: Re: LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF   LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Icon_minitimeJeu 8 Jan 2009 - 13:57

Mariage en 1950 photo Morido

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MessageSujet: Re: LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF   LES ANCIENS DU QUARTIER MAARIF Icon_minitimeJeu 19 Fév 2009 - 5:26

L'église Saint Antoine de Padoue, dans le quartier du Maârif.photo Khadija Chakir.

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