MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR
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MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR

HISTOIRE DES JUIFS DU MAROC-CASABLANCA-RABAT-MAZAGAN-MOGADOR-AGADIR-FES-MEKNES-MARRAKECH-LARACHE-ALCAZARQUIVIR-KENITRA-TETOUAN-TANGER-ARCILA-IFRANE-OUARZAZAT-BENI MELLAL-OUEZANE
 
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 VALLEES AU MAROC

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Soly Anidjar
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MessageSujet: VALLEES AU MAROC   VALLEES AU MAROC Icon_minitimeDim 13 Aoû 2006 - 11:04

Vallée de Dadés :
La vallée du Dades, route des mille kasbas.De Ouarzazate à Boulmane du Dadès, vous allez découvrir sur 170 km, un des plus étonnants paysages du Maroc. Coincé entre le jbel Sarho et le massif du Haut-Atlas, l'oued Dadès serpente dans un paysage aride et désertique pour réussir à alimenter une série d'oasis Tout au long du circuit, adossées à des falaises de couleurs ocres, terres brulées, et rouges, les kasbas, grandes batisses fortifiées, témoignent de l'insécurité qui reignait autrefois dans ces régions. Souvent abandonnées au profit d'un habitat plus moderne, elles sont aujourd'hui menacées, el Kabbaba, Dar Aïchil, Dar Aït Souss,Amerhidi.
La palmeraie de Skoura fondée au XIIème siècle par Yacoub el Mansour, vous invite comme un îlot de verdure à la parcourir. L'oued Skoura et Amerhidil irriguent de nombreuses cultures de datiers, figuiers, amandiers, ici sont produit les meilleurs dattes du Maroc C'est aussi le refuge en hiver de nombreux oiseaux migrateurs. Parmis les nombreuses kasbas de l'oasis,celles de Ben Moro et d' Amerhidil méritent le détour. Ensuite, la route conduit jusqu'à la plus belle des roseraies de la vallée. Dès Boulmane, la vallée se resserre, la végétation devient plus rare, vous entrez dans les gorges du Dadès.
Deux falaises à pic de 300 mètres de hauteur séparées par un étroit couloir d'une vingtaine de mètres. Un spectacle inoubliable.


Vallée de Draa :
Oasis, mot magique. Havre de paix, de douce abondance après les turpitudes du désert. La vallée marocaine du Draa est, elle, une oasis immense. Elle étire ses méandres d'Agdz à Mhamid, sur près de deux cents kilomètres
Casbah près de Tansikht: les citadelles de terre sont des témoins des affrontements entre tribus berbères.
Pays berbère, né de l'union de la montagne et du désert, de la rencontre de l'eau et du soleil. De l'Atlas et du Sahara. Car la richesse de la vallée, ce sont les dattes. Seize variétés différentes y ont été recensées qui, sur deux millions de palmiers-dattiers, produisent annuellement vingt mille tonnes de dattes.
De Ouarzazate, tandis que la route se tortille jusqu'au col de Tizi n'Tinififft (1660 mètres) à travers les paysages noirs et décharnés du djebel Sarhro, l'oued Draa, invisible, taille son chemin dans la croûte terrestre.

C'est à Agdz qu'on rejoint l'oued. Apparaît d'abord le massif du djebel Kissane qui domine la ville et une houle verte qui s'étire jusqu'au bout de la vue: la palmeraie.
Dans l'Antiquité, le Draa était le plus long fleuve permanent du Maroc. Ses eaux, prenant naissance près de Ouarzazate, se jetaient dans l'océan Atlantique après une course de mille kilomètres. Les vieux textes parlent d'une région prospère et même de crocodiles. Aujourd'hui, régulé par le barrage El Mansour, le Draa abreuve généreusement sa vallée avant de se perdre dans les sables, au-delà de Mhamid.

Malgré tout, on doute que l'Antiquité soit si lointaine; sur les chemins de terre, ânes et mulets vont d'un trot sec, les bastes pleines de légumes et de dattes, et partout, c'est un peuple voué aux traditions qui vaque à ses besognes séculaires: jeunes femmes transportant du bois de feu sur leur dos, gamins tirant l'outre du puits ou courant, pieds nus, derrière un cerceau de fer, mule traversière qui transbahute des piétons en djellabah d'une rive à l'autre, une lessive étalée sur la roche d'une colline.
Lauriers-roses, joncs, acacias, tamaris. Les heures extrêmes enluminent d'or rouge la surface de l'oued. C'est aussi l'heure où les hérons font le pied de grue, où les djebels s'allument comme des couronnes impériales, où les ombres s'allongent ou se raccourcissent. On voudrait boire la lumière. On voudrait que jamais le jour ne s'allume ou ne s'éteigne tout à fait.
Ouriz. Amrâd. Timiderte. Tamsikht. Villages de pisé (mélange de terre, de paille et d'eau), posés sur des terres infertiles qui dominent la palmeraie. Minarets roses, ou verts ou blancs. Des hommes en djellabah palabrent avec le détachement de ceux pour qui le paradis d'Allah sera encore plus beau que leur vallée.
Dans le sud marocain, on vit au rythme du jour et de la nuit, des saisons et de son cœur. Et du thé vert à la menthe qu'on sirote infatigablement à la terrasse des cafés. Versé de très haut dans les verres, la pluie de thé symbolise l'union du ciel et de la terre. Mais ici, on ne compte pas sur la pluie pour cultiver. La palmeraie occupe la surface de la nappe phréatique, les jardins sont irrigués.


S'égarer dans la palmeraie fait partie du voyage. D'ailleurs, on ne s'y perd pas trop; le Draa, ou un djebel, ou le soleil, suffit à s'orienter. Où alors, c'est un fellah sur son âne, qui vous demande où vous allez. La casbah de Tamnougalt? Impossible de la manquer: elle est plantée sur sa colline comme pour un décor de film d'aventure. Des casbahs, il y en a cinquante ou soixante dans la vallée, dressant leurs tours de guet de loin en loin.
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MessageSujet: Re: VALLEES AU MAROC   VALLEES AU MAROC Icon_minitimeMar 8 Mai 2007 - 13:13

Bonjour les amis permette moi de vous présenter une vallée !!! elle n’est pas connu mais elle mérite votre intention ; !!
L'Oasis du Todgha


VALLEES AU MAROC Normal_pays_04
L'Oasis du Todgha est une ceinture verte tout au long de la riviére du "Assif n'tmazirt" qui s'étend sur plus de trente cinq km .

Cette vallée du Maroc est parmi les anciennes vallées où nos ancêtres ont habités et d'ailleurs les archéoloques expliquent les raisons de concentration de la population par les gravures rupestres et les tumulus trouvés dans les environs de cette région du Maroc.

Todgha a connu une civilisation considérable depuis le 2éme et le 3éme Siécle en raison de sa situation stratégique entre les caravanes du commerce provenant du Soudan vers le Maroc.

Cette région du Maroc disposait aussi d'une mine d'argent qui était gerée par les étrangers . C'est entre 275 hégire et 200 hégire , la dynastie Idrisside a émise sa monnaie de dirhams à Todgha , c'est grâce à ces atouts que cette région a connu un epanouissement économique considérable .

Selon Abou El Kacem Zayatti dans son livre : "Grande Traduction" : entre Iderkhassan et Fazaza derriére la montagne , il y avait trois régions : Toudgha , Ferkalla et Ghriss .

D'aprés ces écrits historiques , Todgha était parmi les centres civilisationnels au Sud Est du Maroc.





La région, située sur un axe de communication trans-saharien, a connu un développement intégré aux échanges. Entre le 8e siècle et le 16e siècle, Tinghir se situe sur les axes caravaniers qui relient Tombouctou à Marrakech et Fès au Maroc. Sijilmassa dans le Tafilalet, à 160 kilomètres de là, était le grand "port" du désert, la tête de pont du trafic caravanier et c'est aussi la région d'origine des Alaouites qui dominent le Maroc depuis le 17e siècle.

L'eau sourd des gorges du Todgha mais la naissance de ce paysage ne peut s'expliquer que par des travaux importants (terrassement, construction de puits, de galeries, de canaux, etc) poursuivis de générations en générations. Cette construction a nécessité de lourds investissements en hommes, en techniques et en argent qui ne peuvent se concevoir que dans le cadre d'une économie lucrative et de structures étatiques stables.

Les bénéfices retirés du commerce de l'or et de l'argent permettent de faire venir et de renouveler la main-d'œuvre d'esclaves du sud amenée de la région des savanes pour creuser les puits et les galeries et travailler à l'entretien des canalisations. A l'agriculture qui assure la subsistance des travailleurs s'ajoutent souvent des productions de haute valeur faciles à transporter: Dattes, plantes médicinales dont la vente permet de couvrir les dépenses qu'entraîne l'extraction de l'eau. Le déclin du trafic des routes de l'or au 16eme siècle entraîne une lente mutation de cet espace que l'intégration du Maroc à l'économie mondiale vient accélérer.

Tinghir est situé à 160 kilomètres à l'est de Ouarzazate et à une distance comparable des étendues désertiques (ergs et regs) de la région d'Erfoud plus à l'Est.
Les précipitations très faibles (inférieures à 150 mm) et surtout très irrégulières, l'ensoleillement supérieur à 3200 heures par an et l'évaporation donnent un bilan hydrique très faible.

A 1310 mètres d'altitude, sa situation au pied du versant sud du Haut Atlas dont les sommets les plus proches culminent à plus de 2500 mètres lui permet de bénéficier des eaux de la fonte de la neige ou des pluies drainées par les vallées qui convergent vers l'oued Todgha. L'oued Todgha rejoint enfin l'Oued Rhéris dont les eaux sont captées, par des aménagement récents, pour abonder dans l'Oued Ziz et redonner vie à la palmeraie d'Erfoud ou se perdre dans les étendues sahariennes en cas d'excès.

La vallée du Todgha, longue d'une trentaine de kilomètres, s'ouvre avec une orientation sud-est sur la dépression qui sépare le Haut Atlas et l'extrémité Est de l'Anti Atlas et de sa dernière grande montagne, le Djebel Sarhro. L'encaissement de la vallée du Todgha limite l'action desséchante des vents dominants : le Chergui (vent du Nord-Est) et le Sahéli (vent du Sud-Ouest). A la limite du roc et des alluvions de la plaine naissent quelques sources pérennes et saines.

peace ... !!DRAPEAU
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MessageSujet: Re: VALLEES AU MAROC   VALLEES AU MAROC Icon_minitimeLun 24 Sep 2007 - 16:25

Le Drâa est formé des eaux mêlées des oueds Ouarzazate et Dadès, qui descendent du Haut Atlas. Il a creusé son lit à travers l'Anti-Atlas. Ce serait un bien long fleuve si ses eaux capricieuses atteignaient vraiment l'océan; mais cela n'arrive pratiquement jamais de nos jours.
Cette semaine est dediee a cette magnifique vallee qui a vu naitre des centaines de milliers de juifs les Derhy-Dery-Edery-Dray-Ederhy.

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MessageSujet: Re: VALLEES AU MAROC   VALLEES AU MAROC Icon_minitimeJeu 29 Nov 2007 - 14:55

La vallee des Roses:

Entre Kelaa des M’Gouna (dont le nom veut dire « la forteresse des M’Gouna) et Boulmane du Dadès s’étend la vallée des Roses, étroite et à flanc de montagne. L’entrée en est marquée, à Imassine, par de gigantesques rochers ronds, qui semblent posés en équilibre sur le sol.
C’est une longue suite de petits villages et de maisons traditionelles en terre, dont la richesse se cache dans des jardins invisibles de la route, les rosiers dont l’odeur se propage partout au mois de mai, quelques jours avant la récolte.


Au Maroc, les paysages se suivent mais ne se ressemblent pas:
sable brûlant et crêtes enneigées, canyons vertigineux s'ouvrant
sur des vallées où émerge une végétation inattendue.
Au Sud de Marrakech, Ouarzazate ouvre la porte du désert mais
aussi celle des verdoyantes vallées du Dadès et des Roses, une
des régions parmi les plus pittoresques et les plus inattendues du
Maroc.Ici, l'eau dévale en torrent, toujours alimentés par les versants
des hautes montagnes du M'goun (4068m). Ces fonds de vallées
fertiles ont permis l'installation de l'Homme dans de pittoresques
villages en pisé et une multitude de cultures (céréales, arbres fruitiers)
dont celle des roses.
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MessageSujet: Re: VALLEES AU MAROC   VALLEES AU MAROC Icon_minitimeJeu 29 Nov 2007 - 21:28

La vallée d’Ourika

Située à environ trente kilomètres de la ville de Marrakech, la vallée d’Ourika se niche entre les premiers piliers d’une grande montagne marocaine. Et bien qu’étant situé à proximité de la capitale du pays, la magnifique vallée de verdure d’Ourika compte parmi les endroits qui ont préservé leur beauté naturelle. La visite de ce merveilleux site permet de faire d’intéressantes découvertes notamment celles d’une nature extraordinaire et de l’authenticité d’un mode de vie en montagne d’un peuple qui a gardé ses anciennes coutumes.

L’oued OurikaC’est dans le haut Atlas que cet oued prend ses sources. En longeant la rivière, l’on traverse plusieurs zones qui surplombent fièrement la vallée à des hauteurs de plus de mille mètres. L’accès aux cascades est alors à la portée de tous ceux qui atteignent les hauteurs.

La pente qui mènera à la destination finale est particulièrement raide. Avis aux non sportifs, il faudra s’armer de courage et de patience. Presque une demi journée sera nécessaire pour venir à bout du trajet. Attention, afin d’être certain de ne pas être confrontés à des mauvaises surprise, le mieux est de se faire accompagné par un guide des plus expérimentés qui saura bien guider les pas de tout un chacun. Il est également nécessaire de se pourvoir avec les équipements nécessaires pour que la randonnée puisse se passer sous les meilleurs auspices. Il s’agit tout simplement des vêtements que l’on porte. Ces derniers doivent être bien confortable et ne doivent surtout pas être trop serrés. Puis il y a les chaussures qui doivent être assez solides pour qu’elles puissent supporter le trajet. L’on ne doit surtout pas oublier de porter une coiffe qui est indispensable pour se protéger des affres du soleil.

Lorsque l’on arrive enfin sur place, les plus téméraires pourront même s’adonner aux joies de la baignade en notant que la température fera certainement reculer plus d’un. Enfin, l’on doit également prévoir des breuvages frais qui permettront de se désaltérer et de prendre des forces tout au long du trajet.

Partir à la découverte d’une vallée exceptionnelleUne fois que l’on a traversé la plaine fertile de l’Haouz avec ses innombrables plantations. L’on peut admirer un fleuve ainsi qu’une majestueuse montagne.

Le camp de Tnine-de-l’Ourika se trouve non loin de là. Il s’agit d’une adorable bourgade qui constitue un véritable centre dynamique de la région du fait de son marché qui se tient toutes les semaines et où se vendent divers produits dont la plupart sont indispensables au quotidien.

Le marché est réputé pour cette atmosphère bien particulière où l’on entend les cris des vendeurs qui n’hésitent pas à brader certains de leurs produits, le tout sous l’œil vigilant de certains animaux que l’on rencontre souvent dans les foires.

Lorsque l’on poursuit sa route et en restant toujours dans le sillon de la vallée de l’Ourika, l’on peut s’attendre à être surpris par un kaléidoscope de couleurs qui est constitué par les végétations qui poussent dans la région.

Et au milieu de cette explosion de couleurs, l’on ne peut que remarquer les rives de l’Oued : les prairies qui longent cette dernière sont agréablement bordées par des arbres dont certains sont très inhabituels dans la région.

Lorsque l’on a pénétré profondément dans la vallée, l’Oukaïmeden est une étape inattendue qui comble les visiteurs de joie. Il est à noter que les habitants de Marrakech sont les premiers à profiter du village voisin, en effet les habitants de la capitale n’hésitent pas à venir en masse dans cette zone au climat clément lorsque le climat se fait embrasant dans leur ville. Quant aux plus gourmands seront particulièrement comblés par les nombreux établissements de restauration que l’on trouve dans le coin.

D’autres attractions envisageablesMise à part la beauté sauvage de la superbe vallée d’Ourika, l’on peut également y profiter des quelques attractions qualifiables de touristiques qui ont tendance à se multiplier dans la vallée. Les fins gourmets pourront faire la découverte des épices à la Safranière de l’Ourika. Quant aux passionnés des effluves exquises, ils seront plus que comblés par les riches senteurs du jardin bio-aromatique.

Il est également possible de faire la visite de l’incomparable jardin de Timalizene dont l’architecture revient à Rémi Aubrée.

La safranière de l’Ourika est un endroit que l’on peut tout à fait visiter. Comme son nom le laisse fortement suggérer cette plantation est spécialisée dans l’exploitation du safran. Et c’est dans la deuxième moitié de l’année ou plus précisément pendant l’automne que l’on visitera cette extraordinaire ferme au safran. Pendant cette période de l’année, l’on peut faire connaissance avec les secrets de la récolte d’une savoureuse épice dont les vertus sont connues par delà les océans et les continents. L’on ne doit surtout pas rater le Setti-Fatma. Il s’agit du dernier camp qui est accessible par le biais d’une route goudronnée. Cette petite bourgade est le point de départ de plusieurs randonnées dans les montagnes environnantes. L’excursion qui est la plus appréciée et qui est aussi le plus facile à pratiquer est une ascension le long d’un torrent de montagne dans le dessein d’admirer les cascades. La ville est également le siège d’un jardin biologique également focalisée sur les végétaux riches en arômes ou qui possèdent des vertus thérapeutiques dont certaines espèces n’existent que dans la région.

Enfin il y a le Tnine-de-l’Ourika : il s’agit d’un petit campement où se tient tous les lundi un souk qui est un marché que l’on trouve habituellement dans les pays maghrébins. Le jardin de montagne de Timalizene est un superbe endroit. Différentes senteurs qui sont caractéristiques de la région peuvent y être découvertes. Et comme l’on peut s’y attendre, cette sensationnelle plantation est spécialisé dans les parfums qui sont aussi capiteux les uns que les autres. Amalgamant le romantisme et le plaisir des yeux, les amateurs de la nature se retrouvent en totale harmonie avec leurs si chers environnements.
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