Croissants faciles, rapides et délicieux.
La pâte à croissants est la meme que la pâte a brioche et remonterait au Moyen-âge, où l’on y fabriquait des pâtisseries semblables. Comme de nombreuses autres pâtisseries, l’origine du terme « brioche » est soumise à une forte controverse, mais après tout peu importe son origine tant qu’elle est moelleuse et bien dorée ! La brioche est une viennoiserie à pâte levée et aérée. À base de farine, de sel, d’œufs, de sucre et de levure de boulanger, la brioche impressionne toujours par sa forme et sa texture si moelleuse. La pâte lève plus ou moins longtemps selon la texture que l’on désire obtenir. Certains y ajoutent des raisins, des carrés de chocolat ou encore des noix. La brioche est une viennoiserie, tressée, à couronne, ronde, ovale...que nos mamans et grand-meres faisaient Maroc, se sont les francais qui l'ont ont apportes la recette des croissants en s'installant au Maroc, les marocains preparent des croissants pour le petit dejeuner, dans tous les hotels ou j'ai logé, le matin on nous servait des croissants avec notre café.
Pour le petit déjeurner ou au goûter, Pour les enfants pour les adultes pour les fetes, je vous propose une pâte à brioche à tomber tant sur le plan gustatif que visuelle.
Une délicieuse brioche que je vous conseille de tester, vous ne serez pas déçus ! une partie je l'ai je l'ai cette fois fourrée avec de la pâte a tartiner au chocolat, et roulé en forme de croissants.
La légende du croissant, veut qu'il s'agisse d'une pâtisserie inventée à Vienne pour célébrer la fin du second siège de Vienne par les troupes ottomanes qui faisaient le siège de la ville (1683), d'où le terme de viennoiserie utilisé pour qualifier ce type de préparation. Alors que l'ennemi décidait d'attaquer la nuit afin de ne pas se faire remarquer, les boulangers viennois, levés avant l'aube donnèrent l'alerte. C'est pour immortaliser cette victoire qu'il leur fut permis de confectionner le « Hörnchen » (petite corne en allemand) avec sa forme qui rappelle le symbole du drapeau ottoman. Cette même légende est parfois (et sans doute plus justement) située à Budapest, alors partie du royaume austro-hongrois.
Une autre version existe et attribue l'invention du croissant, toujours en 1683 à un cafetier de Vienne, nommé "Kolschitsky", lequel ayant récupéré des sacs de café laissés par les Turcs lors de leur départ précipité, aurait eu l'idée de servir ce café accompagné d'une pâtisserie en forme de croissant en souvenir du départ de l'occupant.
Ce serait Marie-Antoinette d'Autriche, originaire de Vienne, qui a officiellement introduit et popularisé le croissant en France à partir de 1770. Cependant des gâteaux en forme de croissant semblent avoir déjà existé en France bien avant, puisque dans l'inventaire du patrimoine culinaire français réalisé par le Centre national des arts culinaires on découvre la mention de « quarante gâteaux en croissant » servis à l'occasion d'un banquet offert par la reine de France en 1549 à Paris. Il se peut que l'intention ait été alors de commémorer l'alliance quelques décennies auparavant de François Ier avec le Grand Turc.