MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR
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MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR

HISTOIRE DES JUIFS DU MAROC-CASABLANCA-RABAT-MAZAGAN-MOGADOR-AGADIR-FES-MEKNES-MARRAKECH-LARACHE-ALCAZARQUIVIR-KENITRA-TETOUAN-TANGER-ARCILA-IFRANE-OUARZAZAT-BENI MELLAL-OUEZANE
 
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 LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES

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Soly Anidjar
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MessageSujet: LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES   LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES Icon_minitimeLun 27 Juil 2009 - 18:21

LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES
JE VIENS DE VOIR UN FILM DOCUMENTAIRE SUR LA CHAINE FRANCAISE TV5, C'EST INCROYABLE PERSONNE NOUS A RACONTE CETTE SHOA RUSSE.

Evguénia Sémionovna Guinzbourg, (Moscou, 20 novembre 1904 - Moscou, 25 mai 1977) est une écrivain russe soviétique, principalement connue pour avoir raconté son expérience des prisons du NKVD et du goulag.


Née à Moscou en 1906 dans une famille juive, elle quitte très jeune cette grande ville (qui n'est pas encore la capitale politique du pays) pour s'installer à Kazan, capitale de la province du Tatarstan (appelée aussi Tatarie). Elle obtient un diplôme de l'Université de Kazan, avant de soutenir une thèse de doctorat en histoire à Léningrad.

Elle a donné des cours magistraux à l'Université de Kazan où elle rencontre en 1932 son futur mari Pavel Axionov.

Elle a aussi dirigé de le département culturel du journal « Tatarie Rouge » et a participé à la rédaction de l'ouvrage historique L'Histoire de la Tatarie.

Son mari, Pavel Axionov, était membre du bureau politique du Parti Communiste et elle-même fut membre du secrétariat régional du parti communiste de Tatarie et du comité exécutif central des Soviets.

Ensemble, ils eurent 2 enfants, Aliocha et l'écrivain Vassili Axionov.

Les Grandes Purges staliniennes destinées à éliminer tous ceux qui auraient pu, à court ou à long terme, menacer ou seulement faire de l'ombre à Staline, les rattrapent au milieu des années 1930.

Inquiétée dès 1935, chassée de son poste à l'Université puis exclue du Parti, elle sera arrêtée le 15 février 1937. Après de longs mois d'instruction dans les prisons de Kazan et de Moscou, elle est condamnée en août 1937 à 10 ans de réclusion en cellule d'isolement pour « activité trotskiste contre-révolutionnaire ». Elle effectue les deux premières années de sa peine dans la prison politique de Iaroslavl ; en 1939 sa condamnation sera commuée en dix ans de travaux forcés à la Kolyma, au camp d'Elguen. Envoyée au goulag, elle sera libérée en 1947. Elle devra cependant attendre jusqu'en 1955 pour être réhabilitée, à la faveur du relatif « dégel » suivant la mort de Staline.

Elle écrit ses mémoires à partir de 1959. Le premier livre, intitulé Le Vertige et sous-titré Chroniques des temps du culte de la personnalité, relate le début de son calvaire jusqu'à son arrivée à la Kolyma. La suite est racontée dans le second livre, Le Ciel de la Kolyma. C'est grâce au samizdat que ses écrits ont été diffusés clandestinement en URSS, avant d'être publiés en Occident à la fin des années 1960.

Le premier tome de son autobiographie retrace sa vie depuis 1935 à 1940, à travers les différentes étapes de son arrestation.

Diplômée d'histoire à l'Université de Kazan, elle participe à la création du journal Tatarie Rouge et à l'écriture de L'Histoire de la Tatarie. En 1935, après l'arrestation d'un de ses collègues, le professeur Elvov, elle est accusée de ne pas avoir signalé une de ses erreurs dans ces textes. Cet homme étant rapidement considéré comme un "contrebandier trotskyste", Evguénia est bientôt vue comme sa complice au sein de l'Université et se voit alors gratifiée d'un blâme. De Charybde en Scylla, elle est démise de ses fonctions, avec interdiction d'enseigner, même après être allée plaider sa cause à Moscou, sûre de sa fidélité au parti. Emelian Iaroslavski l'accuse de connivence avec les ennemis du peuple et "activité contre-révolutionnaire" et l'exclut du parti communiste.

Arrêtée le 15 février 1937, elle est enfermée au sous-sol de la Direction Régionale du NKVD, rue du Lac Noir, où elle restera durant 3 mois. Sa compagne de cellule, Lydia Chepel dite "Liama", est une kavejedinka de la Chine orientale. En avril 1937, elle est transportée à la Boutyrka de Moscou, puis la prison Lefortovo en attente de son procès. Celui-ci a lieu en août 1937, et la condamne à 10 ans de détention en cellule d'isolement, avec retrait des droits civiques pendant cinq ans. Son isolation durera en fait deux ans à Iaroslav, où l'y rejoindra quelques mois plus tard son amie Ioulia Karepova (l'efficacité des Grandes Purges staliniennes instaurées par Nicolaï Iejov oblige les prisons à admettre deux prisonniers dans chaque cellule d'isolement). En mai 1939, sa peine est convertie en dix ans de travaux forcés. Elle voyagera pendant un mois dans un wagon à bestiaux avec 77 autres détenues pour arriver le 7 juillet 1939 au camp de transit de Souzdal à Vladivostok, en attente du goulag de la Kolyma.

Evguénia embarque dans le "Djourma" pour la Sibérie en 1939. L'hiver 1939-40 étant particulièrement rude, elle effectue des travaux de bonification à une température de - 40°C. En 1940, la "réparatrice" Véra, pour la récompenser d'un don, lui donne un peu de répit : on lui confie un travail à l'hôtel Magadan pendant un mois. Ensuite, elle est envoyée comme plongeuse au réfectoire masculin, au service du chef Achmet. Evguénia fait la rencontre d'un sourd allemand, Helmut.

En compagnie des autres personnes de la même accusation, elle est envoyée dans le sovkose d'Elguen, dans la taïga, dont le nom signifie "mort" en iakoute. Les prisonnières arrivent le 4 avril 1940. Avec une certaine Galia, elle abat des arbres à longueur de journée.

A la fin du livre, le médecin chirurgien Vassili Ionovich Pétouchov de Léningrad lui apprend qu'il a vu son fils Aliocha deux années auparavant. Elle est ensuite assignée comme infirmière à la maison d'enfance, donc sauvée dans un premier temps.
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MessageSujet: Re: LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES   LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES Icon_minitimeLun 27 Juil 2009 - 18:28

Le Goulag (acronyme venant du russe
Direction principale des camps de travail ») était l’organisme gérant les camps de travail forcé en Union soviétique.

Souvent, on peut entendre parler de goulag en tant que camp. Il s'agit d'un abus de langage, l'appellation d'un tel camp étant « camp du Goulag ».

Considérés comme caractéristiques de l’exercice du pouvoir par le régime soviétique, les camps de travail du Goulag ont reçu quantité de victimes du système social, le communisme réel,et de criminels, des dissidents ou des opposants de toutes sortes — jusqu’en 1953 (voir infra)[2]. Un grand nombre de camps se trouvaient dans les régions arctiques et subarctiques, comme les camps célèbres de l’Oural septentrional : Vorkouta et le réseau du bassin de la Petchora, les îles Solovetski en mer Blanche, et un grand nombre en Sibérie (notamment ceux de la Kolyma).

Au total, probablement 10 à 18 millions de personnes passèrent par les camps du Goulag[3],[4] et plusieurs autres millions furent exilées ou déportées dans d'autres régions de l'Union soviétique.
Accès à la documentation
La recherche historique a été pendant longtemps entravée par le régime soviétique : effacement des preuves des crimes, propagande intérieure et à destination de l’Occident, censure et terreur ont rendu problématique le traitement des documents historiques. Il fallut attendre la Glasnost pour que les informations sur les goulags se multiplient en Union soviétique. Avec l’ouverture de la Russie, les archives ne sont plus secrètes et les universitaires peuvent travailler plus librement sur les comptes et les rapports du Goulag.

Devant le manque relatif de documents les historiens font appel aux témoignages des survivants pour reconstituer la vie dans les Goulags.Je viens de voir quelques juifs francais qui ont parles a la tele dans ce film documentaire leur seul crime d'etre d'origine francaise.
Même si le terme « goulag » est peu employé avant 1973 et la parution de L’Archipel du Goulag, des témoignages et études sur les camps de travail forcé en URSS apparaissent dès la fin des années 1920[8], puis au cours des années 1930 et 1940. Ce travail est souvent le fait de militants occidentaux peu nombreux, de gauche ou d’extrême gauche, résolument anti-staliniens, étant parfois en lien avec des dissidents russes.

Mais jusque dans les années 1960, en Occident, les témoignages sur les exactions du régime soviétique ne sont souvent pas crus, alors qu'ils étaient fondés, et surtout ces témoignages ne touchent pas réellement le grand public.

En 1967, paraît le témoignage d’Evguénia Guinzbourg. Mais, c’est dans les années 1970 avec Alexandre Soljenitsyne que le sujet atteint vraiment le grand public, et avec la glasnost dans les années 1980 que l’étude se systématise.

Si la littérature soviétique n'a pu approcher que clandestinement le sujet jusqu'à la perestroïka, hors d'URSS la littérature a peu abordé le sujet (citons par exemple le roman de Martin Amis, Koba the Dread (2002). En URSS, circulant sous le manteau, sous la forme de samizdat par exemple, les textes les plus importants sont souvent à la frontière entre le témoignage et la reconstruction fictionnelle d'événements réels et de vies détruites. Ce sont ainsi le roman d’Alexandre Soljenitsyne Une journée d’Ivan Denissovitch, publié en 1962 par la revue Novy Mir ou les textes de Varlam Chalamov évoquant les camps de la Kolyma ou de l'Oural : Récits de la Kolyma, Vichera.
La comparaison entre les camps nazis et soviétiques a donné lieu à controverse. Pour certains historiens (Stéphane Courtois[réf. nécessaire]), les points communs ne manquent pas : notamment, le goulag est contemporain des camps de concentration allemands. Hitler faisait enfermer et déporter des hommes pour ce qu’ils étaient (« asociaux », Juifs, homosexuels, opposants) et ce qu'ils faisaient (résistants, saboteurs pendant la Seconde Guerre mondiale) ; le régime soviétique a déporté des minorités ethniques, comme les nationalistes Ukrainiens, des Pays Baltes et de Biélorussie dans les années 1930-40 (puisque susceptibles de s'allier à l'Allemagne contre la Russie), puis les Juifs du Comité juif antifasciste[13] en 1946; des « ennemis du peuple », catégorie vague qui englobait les anciens aristocrates, les bourgeois, les koulaks, dissidents, opposants et renégats.




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MessageSujet: Re: LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES   LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES Icon_minitimeLun 27 Juil 2009 - 18:33

D'après les études d'Alexandre Zinoviev sur la société communiste, le phénomène communaliste pourrait également jouer, en dehors de la politique et des phénomènes extraordinaires, un grand rôle dans cette concentration importantes de prisonniers. En effet de nombreuses personnes ont été emprisonnées au camp de Goulag pour des faits que l'on pourrait qualifier d'anecdotiques, absurdes et sans intérêts. Cette concentration n'est pas issu d'un programme d'extermination comme ce fût le cas pour les camps nazis, mais de causes sociologiques du communisme réel sous sa forme stalinienne avec des conséquences sociologiques dans ces cellules de population de ce type.

Les deux systèmes ont cherché à déshumaniser les victimes dans le langage utilisé aussi bien que dans les méthodes visant à l’humiliation. Cependant, le Goulag se démarquait des camps nazis sur plusieurs points : d’abord, le système concentrationnaire soviétique a duré beaucoup plus longtemps que le système allemand. Ensuite, tous les prisonniers soviétiques n’étaient pas maltraités et beaucoup ont même été libérés par les autorités.

Dans un appendice à Si c’est un homme , en 1976, l'écrivain rescapé des camps nazis Primo Levi apporte d'autres éléments : le fait d'être condamné à une peine prédéfinie pour le Goulag (ce qui n'était pas le cas dans les Camps de rééducation chinois), ou encore le taux de mortalité largement supérieur dans les camps nazis que dans ceux d'Union Soviétique. Levi indique à ce sujet : "En Union Soviétique, il semble que dans les pires moments la mortalité ait atteint environ 30% du total des entrants, et c'est déjà un chiffre intolérablement élevé ; mais dans les Lager allemands, la mortalité était de 90 à 98%". Pour Levi, "il n'était pas prévu d'autre issue que la mort" dans les camps nazis, alors qu'au Goulag la mort n'était pas "un but déclaré" : c'était "un accident assez fréquent, accepté avec une indifférence brutale, mais qui n'était pas une conséquence expressément voulue".
Par ailleurs, des témoignages de prisonniers de guerre allemands ou italiens en URSS (par exemple, Eugenio Corti dans Le Cheval Rouge), décrivent des conditions de vie n'ayant rien à envier à ceux des prisonniers russes en Allemagne.

Ou, par exemple, l'écrivain russe Evguénia Guinzbourg, raconte avoir rencontré en prison des communistes allemands ayant échappé aux nazis et espérant trouver refuge en URSS qui constataient la similitude des méthodes entre celles de la Gestapo et celles du NKVD.

L’autre débat historiographique concerne le nombre des victimes du Goulag. L’historien et dissident Roy Medvedev affirmait que, durant les Grandes purges de 1937-1938, le nombre de détenus au Goulag avait augmenté de plusieurs millions, et que cinq à sept millions de personnes avaient été victimes de la répression.

Grâce à l’ouverture des archives soviétiques, des données fiables existent pour la période du 1er janvier 1934 au 31 décembre 1947 : elles montrent que, dans l’ensemble des camps du Goulag, 963 866 prisonniers sont morts. Ce chiffre, qui concerne l’ensemble des détenus, est loin des sept millions avancés par Medvedev.

Soljenitsyne évaluait à 10 millions le nombre de personnes étant passées dans les camps soviétiques ; aujourd’hui, les historiens parlent de 15 à 18 millions de détenus au total.
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MessageSujet: Re: LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES   LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES Icon_minitimeLun 27 Juil 2009 - 18:36

Mais il faudrait aussi tenir compte des gens morts pendant le transport et des exilés spéciaux. De son côté, le chercheur Nicolas Werth indique que la grande majorité des personnes déportées dans les années 1930 étaient des condamnés de droit commun, c'est-à-dire des innocents pris pour compléter les quotas de déportation, qui purgeaient, sauf exception, des peines n’excédant pas cinq ans.

Il s’agissait d’une abondante main d’œuvre gratuite pour les énormes travaux entrepris sous Staline. L’important renouvellement de la population des camps a conduit à des confusions entre le nombre total de personnes déportées pendant la période stalinienne avec le nombre moyen de personnes détenues par an, ce qui a produit des estimations très exagérées du nombre de victimes, même chez des auteurs dont le sérieux est indiscutable, mais qui ont travaillé avant 1991, comme Rudolph Joseph Rummel Rudolph Joseph Rummel (né le 21 octobre 1932) est un professeur émérite en sciences politiques à l'université d'Hawaii. Il inventa le concept de démocide pour caractériser des meurtres de masse exécutés par un gouvernement.

En mai 1944, le vice-président américain Henry Wallace se rend dans la région de la Kolyma. Les autorités soviétiques lui font visiter la ville de Magadan en prenant soin de cacher les prisonniers. Des membres des jeunesses communistes se déguisent en mineurs et répondent à ses questions. Il repart admiratif, mais trompé, et les États-Unis continuent à envoyer de la nourriture et du matériel à son allié soviétique pour terminer la guerre. Avec la guerre froide, les choses changent : en 1949, la bibliothèque du Congrès et l’AFL présentent un rapport à l’ONU dénonçant les goulags.
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MessageSujet: Re: LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES   LE GOULAG LA SHOAH DES RUSSES Icon_minitimeLun 27 Juil 2009 - 18:38

En France, une partie de la gauche a longtemps refusé de reconnaître les crimes soviétiques : en 1945, Staline apparaît comme le libérateur de l’Europe de l’Est. Par aveuglement idéologique, cette gauche refuse de voir la réalité des camps de travail forcé et refuse de croire les survivants des goulags. En 1946, Victor Kravtchenko, haut fonctionnaire soviétique, publie J’ai choisi la liberté aux États-Unis où il est réfugié. Il y décrit la terreur stalinienne et les goulags. En France, l’éditeur reçoit des menaces et les Lettres françaises traitent l’auteur de menteur et l’attaquent en justice.
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