MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR
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MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR

HISTOIRE DES JUIFS DU MAROC-CASABLANCA-RABAT-MAZAGAN-MOGADOR-AGADIR-FES-MEKNES-MARRAKECH-LARACHE-ALCAZARQUIVIR-KENITRA-TETOUAN-TANGER-ARCILA-IFRANE-OUARZAZAT-BENI MELLAL-OUEZANE
 
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 JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT

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MessageSujet: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 16 Mai 2007 - 22:14

JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT A TOUS

D'après le récit biblique, Chavouot commémore le souvenir du don de la Torah et des Dix Commandements aux Israélites arrivés au Mont Sinaï, sept semaines après avoir quitté l'esclavage en Égypte.
Avec Souccot et Pessa'h, Chavouot est l'une des Trois Fêtes de pèlerinage marquant l'année juive. Chavouot est également le terme d'un jubilé, à la fin du décompte des 49 jours du Omer à partir du second soir de Pessa'h.

Le nom de la fête de Chavouot vient de l'hébreu qui signifie semaines, car elle a lieu sept semaines après Pessa'h. Elle est ainsi souvent connue sous le nom de "fête des semaines" ou encore de « pentecôte » juive. En effet, le terme de racine grecque, "pentecôte", correspond aux 50 jours de Pessa'h à Chavouot.

Les trois fêtes de Pessa'h, Chavouot et Souccot sont appelées Atseret (assemblée solennelle) car elles étaient historiquement les trois occasions annuelles de pèlerinages au Temple de Jérusalem à l'époque de son existence. Pessa'h étant symboliquement la "fête des semences", Chavouot est appelée "fête des prémices", car les premiers fruits de la récolte étaient alors offerts au Temple à cette date.

Ces dénominations sont issues du texte de la Bible hébraïque :

le nom de Hag ha-Katsir (fête de la récolte) le nom de Hag Chavouot (fête des semaines) La principale signification de la fête reste la célébration du don de la Torah au peuple d'Israël, choisi parmi les peuples pour la recevoir, selon la tradition.

Dans l'Ancien Israël, la récolte du nouveau grain durait sept semaines et était une période joyeuse (Jer. 5:24; Deut. 16:9; Is. 9:3). Elle commençait avec la récolte de l'orge au cours de la Pâque et terminait avec celle du froment à Chavouot. Cette fête avait donc le statut d'un festival de fermeture de la récolte du grain, tout comme le huitième jour de Souccot (Fête des Cabanes) clôt celle des fruits.
Selon Ex. 34:18-26, Chavouot est le second des trois festivals à célébrer au sanctuaire. Les Israélites sont tenus d'y apporter les prémices de la récolte du froment, les "prémices de ton labeur que tu as cultivé dans ton champ"." Il ne s'agit pas d'offrandes prescrites pour la communauté, "mais avec un tribut d'une offrande de ta main en toute liberté... tu réjouiras le Seigneur ton Dieu, toi et ton fils, et ta fille,[...] le Lévite qui réside dans tes portes, l'étranger, l'orphelin et la veuve" (d'après Deut. 16:9-12).
Dans Lev. 23:15-22, il est également fait mention d'une offrande des premiers fruits que toute la communauté doit apporter. Divers sacrifices animaux sont réalisés, ainsi que l'offrande de deux miches de pain provenant de la nouvelle récolte. Le travail est interdit.
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 16 Mai 2007 - 22:17



ON LIS LA MEGUILAT RUTH POUR LA FETE DE SHAVOUOT

QUI EST RUTH? LISEZ:

REFLEXIONS SUR LE LIVRE DE RUTH
par Manuel WEILL



1. L'histoire de Ruth
Le soleil brille, implacable, les champs jaunissent, la terre est dure et fendue ; cela fait longtemps qu'aucune goutte de pluie n'est tombée. Une caravane lourdement chargée s'éloigne de Bethléem : c'est Elimélech, un des riches habitants de la ville, qui quitte le pays, accompagné de sa femme Noémie et de ses deux fils,en direction de Moab, sur l'autre rive du Jourdain.

Elimélech meurt, ses fils épousent des filles du pays, appelées Orpa et Ruth. Dix ans plus tard les deux fils meurent aussi, et Noémie reste seule, sans mari et sans enfants. Apprenant que la famine est terminée à Bethléem, elle décide de retourner chez elle. L'heure du départ est venue, Noémie veut se séparer de ses brus : "restez chez vous et que D. vous bénisse". Orpa et Ruth refusent de la quitter : "Nous retournerons avec toi, chez ton peuple". Noémie essaie de les en dissuader : "attendez-vous de moi des fils pour vous marier ? Soyez raisonnables et restez chez vous". Elles se trouvent toutes trois au bord du chemin et pleurent; que de douleur renfermée dans ces larmes : les deuils successifs, la solitude, le sentiment d'abandon... peut-on supporter maintenant une nouvelle rupture ? Mais Orpa prend la décision de rester. Quant à Ruth, elle choisit de continuer la route avec sa belle-mère : "N'insiste pas près de moi pour que je te quitte et m'éloigne de toi ; car partout où tu iras, j'irai ; où tu demeureras, je veux demander ; ton peuple sera mon peuple et ton Dieu sera mon Dieu" lui dit-elle.

Les deux femmes cheminent en silence sur la voie du retour. Lorsqu'elles arrivent à Bethléem, tous sont frappés de stupeur : est-ce vraiment Noémie, cette femme, Noémie qu'autrefois tout le monde enviait ?

L'été est arrivé et la moisson est bonne, mais il n'y a rien à manger dans la maison de Noémie. Aussi elle envoie Ruth récolter les gerbes de blé laissées intentionnellement pour les pauvres. Par hasard, elle-ci va glaner dans le champ de Boaz, un parent de Noémie, qui est l'homme le plus influent de la ville. quand celui-ci apprend de qui elle est la bru, il lui permet de récolter du blé pour subvenir à ses besoins. Ruth rentre chez elle et raconte l'incident à sa belle-mère qui décide que le temps est venu pour la jeune femme de se marier. Elle lui dit d'aller se coucher aux pieds de Boaz quand il dormira dans sa grange. Ainsi fait-elle, et vers minuit, l'homme se réveille et trouve Ruth à ses pieds. Celle-ci lui explique qu'il doit racheter les terres qui appartenaientà Elimélech, et aussi la prendre pour femme (selon la coutume). Boaz accepte et Ruth se faufile aux aurores pour rapporter la nouvelle à Noemie qui attend impatiemment.

Le matin venu, Boaz propose à un parent plus proche de Noémie de racheter les terres d'Elimélech ; celui-ci accepte, mais quand il apprend qu'il doit aussi épouser Ruth, il refuse et cède ses droits à Boaz qui, devant les habitants de la ville, rachète les champs et l'épouse lui-même. Celle-ci donne naissance à Obed, qui sera le grand-père du roi David.
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 16 Mai 2007 - 22:18

je profite de vous souhaiter une trés bonne fete a tous
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 16 Mai 2007 - 22:19

2. L'histoire de Noémie comme schéma de la rédemption.

Ruth par Gustave Doré
Le texte ci-dessus est un résumé du livre de Ruth et non pas une traduction. Il faudrait lire ce récit en hébreu pour comprendre que Noémie signifie "agréable", Orpa (la bru qui n'a pas suivi Noémie) "la nuque", Kilion (le premier mari de Ruth) "destruction", etc...

Le premier chapitre du livre contient 12 fois le mot "lashouv" ("revenir") ; le deuxième chapitre contient 12 fois le mot "leketh" ("récolte") et 10 fois le verbe "liktsor" ("faucher"), tandis que le troisième et le quatrième chapitre du livre contiennent 23 fois le mot "gueoula" ("délivrance, rachat, rédemption").

On voit donc qu'il s'agit d'un retour, que ce n'est pas simple puisqu'il faut récolter et cueillir des éléments disparates afin d'aboutir à quelque chose. Cela nous apprend qu'il ne faut pas s'arrêter en route, mais mener le cheminement à son terme, qui est infini. Il est certes difficile de revenir vers ce que l'on aquitté, on a eu de bonnes raisons de le quitter, et connaît-on seulement ce vers quoi on revient ? Le mot "lashouv", qui signifie "revenir" en hébreu, possède ici le sens de "teshouva", "réponse" (issu de la même racine hébraïque). Il s'agit bien sûr de la réponse que l'on doit à l'autre, mais surtout de la réponse que l'homme se doit à lui-même, réponse à une question soulevée par l'existence du monde, de la société, du moi. A-t-on l'énergie de tout remettre en question ? Si oui, aura-t-on la force de persévérer, et de rechercher le sens des actes, des intentions bonnes et mauvaises ? Pourra-t-on l'assumer ? Il faut achever l'effort jusqu'au bout pour en récolter les fruits, comme nous le montre l'image de la moisson qui constitue le centre du livre de Ruth.

D'après le Midrash, ce n'est pas par crainte de la famine que la famille d'Elimélech quitte Bethléem : c'est en effet la famille la plus riche de la ville, et c'est pour éviter de devoir partager ses biens avec les victimes du fléau qu'elle choisit de s'expatrier. Et voici que Noémie, ruinée, veuve, sans enfants, revient à son lieu de départ. C'est dans ce mouvement de retour à soi-même, amorcé au moment où ses épreuves passées l'ont emplie d'amertume, qu'elle pourra se réconcilier avec la vie. La rédemption ("gueoula") est donc présentée dans le livre de Ruth comme l'acte libre et autonome de l'individu.. C'est une expression de sa volonté qui s'accomplit sans intervention extérieure, en fonction de ce que l'on pourrait appeler la foi. Il s'agit d'une image de la rédemption ultime, puisque Ruth, la Moabite, est l'ancêtre du "Messie de la lignée de David", qui viendra délivrer le monde.
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 16 Mai 2007 - 22:20

3. Ruth ou le refus de la fatalité
(cf. André Neher : Introduction à l'étude du Livre de Ruth Cahiers Yeshouroun, Lyon, mai 1946.)
Quand Boaz et Ruth se marient, l'assemblée bénit l'épousée en ces termes : "Que ta maison soit comme la maison de Peretz que Tamar enfanta à Juda" (Ruth 4:12). On peut se demander pourquoi c'est cette bénédiction qui est dite ici. Il est vrai que Peretz est l'ancêtre de Boaz, mais la relation est plus fondamentale. L'histoire de Tamar et de Juda se trouve au chapitre 38 de la Genèse : Tamar épouse le fils de Juda, Er, qui meurt peu après : Selon la loi du lévirat, elle s'unit alors à son frère Onân qui meurt lui aussi. Tamar attend donc que le troisième fils de Juda grandisse pour pouvoir se marier avec lui, mais il a peur de lui céder son dernier enfant : "Demeure veuve dans la maison de ton père jusqu'à ce que mon fils Chêla soit plus grand". Car il craignait qu'il ne mourut, lui aussi, comme ses frères" (Genèse 38:11). Tamar, voyant par la suite que Chêla a grandi mais que Juda n'a pas l'intention de les marier, se déguise en prostituée et a des relations conjugales avec Juda, sans que celui-ci devine son identité. De cette union naissent Zérah et Peretz, Peretz qui sera l'ancêtre de Boaz et donc de David.

Le problème que doit affronter Juda est celui de la fatalité : Tamar est pour lui l'incarnation d'un destin maléfique, elle a "tué" ses deux fils, le sort s'acharne contre elle. Mais celle-ci veut lui prouver que c'est faux, qu'en fait Er et Onân sont morts du fait de leur inconduite et que la fatalité aveugle n'existe pas, mais qu'il faut considérer la vie et l'histoire dans l'optique de l'intentionalité, même si nous ne savons pas laquelle. Elle s'unit à lui justement pour prouver qu'elle n'est pas une femme maudite, que non seulement elle ne tue pas ses maris, mais qu'elle peut avoir des enfants, qu'elle ne constitue pas un arrêt de mort, mais qu'elle est la continuation de la vie. Et effectivement elle donne naissance à deux fils dont l'un est Peretz, ancêtre de David, et par cela même du Messie à venir.

Il en est de même pour Ruth : Noémie perd l'un après l'autre son mari et ses deux fils ; elle n'a plus d'espoir "Je suis trop âgée pour être à un époux" (Ruth 1:12), dit-elle. En plus de quoi, il faut remarquer que le mot "mar" ("amer") revient souvent dans ses propos : "Non mes filles, car j'en aurai beaucoup d'amertume pour vous" (Ruth 1:13). Le sentiment de la fatalité, de l'acharnement du destin, la prend à la gorge. Mais Ruth se soulève contre cette interprétation fataliste de l'histoire à l'échelle individuelle ou générale, et elle ajoute : "là où tu mourras, je veux mourir aussi et y être enterrée. Que l'Eternel m'en fasse autant et plus si jamais je me sépare de toi autrement que par la mort !" (Ruth 1:17 - souligné par nous). Il ne s'agit pas simplement du moment où la mort nous sépare, mais plus profondément, c'est l'idée de mort qui nous sépare : sans rien enlever au tragique de la mort, Ruth la conçoit comme un achèvement, et non pas comme une force aveugle et maléfique.

Noémie est sceptique, elle veut changer de nom : "Ne m'appelez plus Noémie (l'agréable), appelez-moi Mara (l'amère) car Shadaï (un des noms de Dieu) m'a abreuvée d'amertume" (Ruth 1:20). L'amertume règne, mais déjà ici l'évocation du nom Shadaï, pose une certaine limite au désespoir. Or on a remarqué que Shadaï peut se lire "She-daïï", "c'est assez" c'est assez d'amertume, ce qui annoncerait le retournement de la situation.

L'idée mûrit et se développe en Noémie, et quand Ruth lui dit que Boaz lui permet de glaner dans ses champs, elle répond : "Béni soit-il par l'Eternel, puisqu'il n'a cessé d'être bon pour les vivants et pour les morts !" (Ruth 2:20 - souligné par nous)

Le nom de D. est ici celui de la miséricorde, qui ne délaisse ni les vivants ni les morts, ceux qu'elle croyait morts pour rien, aveuglément, deviennent des morts que D. ne délaisse. Quand Ruth donne finalement naissance à Obed, elle en est bien la mère biologique, mais cet enfant est doté en premier lieu d'une importance pour Noémie : "Et les voisines désignèrent l'enfant en disant : "Un fils est né à Noémie !" (Ruth 4:17). Comme dans le cas de Tamar, la fatalité de la mort est dépassée par la vie qui se transmet par l'enfant. A la joie de la naissance s'ajoute donc la joie de la signification de la naissance.
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bidaouia




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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeLun 2 Juin 2008 - 8:13

Bonne fete de shavouot a tous les juifs du monde.
bisous de votre bidaouia
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Michelle Anidjar
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 4 Juin 2008 - 17:13

Bonne fete de Shavouot a tous les juifs, bisous Michelle
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Tangerin
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 4 Juin 2008 - 17:58

La Festividad de Shavuot constituye el segundo de los Tres Festivales de Peregrinación (los otros dos son Pesaj y Sucot) en los que, de acuerdo al mandato bíblico, cada judío debe presentarse en el Gran Templo de Jerusalem.
En general, esta Festividad es conocida con los siguientes nombres:
1. Zman matan torateinu - Epoca de la Entrega de nuestra Torá
En el sexto día del mes de Siván (era un día Shabat), del año 2448 luego de la Creación, (1312 antes de la E. Común) Di-s nos dio la Torá en el Monte Sinaí. La Fiesta de las Semanas (Shavuot), el 6 y 7 de Siván, conmemora este gran evento.
2. Jag Hashavuot - Fiesta de las Semanas
Este festival recibe tal nombre pues se celebra al finalizar las siete semanas de Sefirat Haomer, cuya cuenta diaria se había emprendido en la segunda noche de Pesaj.

3. Jag Hakatzir - Festival de la cosecha
En la Tierra de Israel, ésta era la época de la cosecha, especialmente aquella de trigo. Las primeras ofrendas de la nueva cosecha se hacían bajo la forma de dos panes de trigo -Shtei Halejem-.

4. Iom Habikurim - Día de las primicias
El Festival de Shavuot marcaba, además, el principio de la época para ofrendar los "primeros frutos" -Bikurim- cuando el Santo Templo existía en Jerusalem. También lleva este nombre debido a la ofrenda de los "Dos panes" - que recibían el nombre de "primeros frutos" de la cosecha de trigo.
Símbolos y Costumbres

• En la Mishná y en el Talmud, el festival de Shavuot se llama generalmente "Atzeret", es decir "asamblea solemne", o "festival del cierre" (no debe ser confundido con Sheminí Atzeret, el octavo día de Sucot). La razón es que se considera a este festival como concluyendo el festival de Pesaj, con el cual está conectado de muchas maneras (tal como Sheminí Atzeret es la "extensión" de la Fiesta de Tabernáculos Sucot).
• Shavuot quiere decir no sólo "semanas" (Shavúa) sino también "juramentos" (Shevuá). El nombre indica los dos juramentos que Di-s e Israel intercambiaron el día de la Entrega de la Torá, de permanecer fieles el uno al otro, por siempre.
• Los Dos Panes de Trigo que eran traídos como señal de gracias en la época del Bet Hamikdash (Sagrado templo de Jerusalem), simbolizaban la naturaleza dual de nuestra Torá: la Torá Escrita (Torá Shebijtav) y la Torá Oral (Torá Shebealpé) que se dieron simultáneamente en el Monte Sinaí.
• En muchas comunidades se acostumbra decorar la sinagoga con Yuyos, flores y plantitas para el festival de Shavuot. La razón es doble:
a) Shavuot es el Día del Juicio para los árboles frutales.
b) En recuerdo al Monte Sinaí que estaba rodeado de verdes pastos, evidenciado por el hecho de que se ordenó que el ganado y las ovejas no pastaran al pie de la Montaña de Di-s.
• Se acostumbra a pasar toda la noche estudiando Torá, Tikún leil shavuot, debido a que el pueblo de Israel se quedó dormido el día de la entrega de la Torá en el monte Sinaí.
• Algunos judíos observan la costumbre de comer en Shavuot pasteles de crema o miel porque la Torá se asemeja a la leche y la miel.
• Se acostumbra a leer el Libro de Ruth en el segundo día de Shavuot debido a que:
a) Shavuot es el cumpleaños y también aniversario del fallecimiento del Rey David, y el Libro de Ruth da la información sobre sus antepasados. Boaz y Ruth fueron los bisabuelos de David.
b) Las escenas de la cosecha son apropiadas para el Festival de la Cosecha.
c) Ruth fue una conversa sincera, que abrazó el judaísmo con todo su corazón. Similarmente, en Shavuot, todos los judíos eran prosélitos, habiendo aceptado la Torá y todos sus preceptos.
Basado en el libro "Shavuot" por Rabino Dr. Nissan Mindel
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Anita Anidjar Ponte
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 4 Juin 2008 - 18:18

Joyeuses fetes de Shavouot.
bisous Anita
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marie barcessat




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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeDim 8 Juin 2008 - 14:49

Joyeuses fetes de Shavouot a tous les juifs de la planete et un bisou de tout mon coeur pour les non juifs.
Que la paix reigne enfin sur le monde amen.
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marie elkobi[tapiero]




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MessageSujet: joyeuze fetes de shavouot   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeDim 8 Juin 2008 - 15:52

joyeuze fetes.de shavuot a tous nos freres du monde entiers .et a tous les menbres du maroc amitie
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estherbens
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeDim 8 Juin 2008 - 16:23

Salut les amis
je vous souhaite une joyeuse fete de Shavouot
ainsi qu'a tous nos freres juifs dans le monde
entier.

amitie mazaltov majorette
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Soledad
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MessageSujet: felices pascuas de chabuhot soly   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeDim 8 Juin 2008 - 18:39

: majorette jak sameah para ti soly .y para todos los judios de maroc amitie y de todo el mundo lo decea la familia anidjar ,soledad mazaltov
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Soly Anidjar
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeDim 24 Mai 2009 - 10:04

Joyeuses fetes de Shavouot a tous les juifs du monde et un bisou de tout mon coeur a tous les non juifs.
Que la paix reigne enfin sur le monde amen.
Le nom de la fête de Chavouot vient de l'hébreu שבועות qui signifie semaines, car elle a lieu sept semaines après Pessa'h. Elle est ainsi souvent connue sous le nom de « pentecôte » juive. En effet, le terme de racine grecque, "pentecôte", correspond aux 50 jours de Pessa'h à Chavouot.

Les trois fêtes de Pessa'h, Chavouot et Souccot sont appelées Atseret (assemblée solennelle) car elles étaient historiquement les trois occasions annuelles de pèlerinages au Temple de Jérusalem à l'époque de son existence. Pessa'h étant symboliquement la "fête des semences", Chavouot est appelée "fête des prémices", car les premiers fruits de la récolte étaient alors offerts au Temple à cette date.Dans l'Ancien Israël, la récolte du nouveau grain durait sept semaines et était une période joyeuse.Elle commençait premièrement avec la récolte de l'orge au cours de la Pâque et terminait avec celle du froment à Chavouot. Cette fête avait donc le statut d'un festival de fermeture de la récolte du grain, tout comme le huitième jour de Souccot (Fête des Cabanes) clôt celle des fruits.
Chavouot est le second des trois festivals à célébrer au sanctuaire. Les Israélites sont tenus d'y apporter les prémices de la récolte du froment, les "prémices de ton labeur que tu as cultivé dans ton champ"." Il ne s'agit pas d'offrandes prescrites pour la communauté, "mais avec un tribut d'une offrande de ta main en toute liberté... tu te réjouiras devant le Seigneur ton Dieu, toi et ton fils, et ta fille, le Lévite qui réside dans tes portes, l'étranger, l'orphelin et la veuve"
Le festival est connu dans la Mishna Talmud comme Atseret, terme désignant habituellement une "assemblée solennelle", désignant la congrégation lors des festivals de pèlerinage.
Chavouot tombe le 6 Sivan, et jamais un mardi, un jeudi ou un samedi. En Diaspora, il est fêté deux jours.

bisous a tous et bonne fete
Solita
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MessageSujet: felices pascuas de chabuhot soly   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeLun 25 Mai 2009 - 0:05

: amitie felices pascuas de chabuhot alos amigos de maroc amitie un abrazo sol soledad :bonne fetes:
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Simi
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MessageSujet: joyeuses fetes de chavouot   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeLun 25 Mai 2009 - 20:12

Felices pascuas de Chavouot .
La fiesta de chavouot en Larache, se pasaba con mucha alegria.
Os quiero contar de un hombre llamado Yaacob que en paz descanse.
Todos los de Larache le llamaban Yaacoobito el latero.
Este hombre para chavouot salia a la calle,y gritaba que le echen agua.
Asin que todos salian de sus casas , para echarle agua.
Buenos queridos amigos que lo paseis bien con mucha salud y vida larga
y mejorado el ano que biene ,amen y amen.
Felices pascuas para todos
Simi:bonne fetes:
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marie.el
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MessageSujet: yoyeuzes fetes de shavuot   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMar 26 Mai 2009 - 13:45

felises pascuas de shavuot a todos los miembros de maroc amitie.y que dios agua un milagro para que podamos vivir tranquilos .y en paz amen
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Rebecca
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MessageSujet: Feliz Shavuot   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMar 26 Mai 2009 - 16:45

Al igual que tod@s mis amig@s de Maroc Amitie , os deseo pasen un feliz Shavuot con salud y alegria en compania de sus seres queridos.
Os lo desea de todo corazon Rebecca que os quiere.
Rebecca



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rigallor
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 27 Mai 2009 - 10:49

Joyeuses fetes de Shavouot !! :bonne fetes:
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MessageSujet: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 27 Mai 2009 - 17:28

JAG SHABUOT SAMEAH
OR BE BRIUT LE KLALL ISRAEL
VE LA OLAM KULO
AMEN

ABRAZOS

MERCEDES

JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Shavuot3

Savu'ot Esta fiesta de Savu'ot o Pentecostés, originariamente de índole agropecuaria -celebrando (en elmes de mayo o de junio) las cosechas de los campos- es llamada también Matán Torá porque en ellase festeja la entrega de las tablas de la Ley a Moisés, en el Monte Sinaí. En el repertorio de las coplassefardíes hay varias sobre el tema de la entrega de la Ley, que se entonan este día. Frecuentemente estas coplas contienen numerosas expresiones en hebreo. El primer ejemplo decoplas de Shavuot, de Turquía, está estructurado en tercetos monorrimos con estribillo, y el segundo,de Marruecos, en cuartetas con verso de vuelta que rima en todas las estrofas. A pesar de que se tratade un tema bíblico, las coplas se basan generalmente en fuentes talmúdicas, es decir, en loscomentarios, leyendas y explicaciones de los sabios del Talmud sobre los pasajes del Pentateuco,como es el caso de las coplas que se presentan a continuación.
Allá en el midbar vide relumbrar


con voz de adobe y un buen cantar,


las tablas de la ley vide abajar.


Mira qué señor rey es Mose rabenu,


que subió y abajó a los altos cielos.






Malajim del cielo le queren quemar,


-Nacido de mujer, ¿ qué busca en santedad?


Bendicho, el abastado lo quere escapar.


Mira qué señor...






-Detente de mi silla, yo te escaparé,


a ojos de todo el mundo yo te honraré,


las tablas de la ley a tí te entregaré.


Mira qué señor .....






Trato que es yerrado mira, no trates,


a tu compañero no lo maltrates,


en muestra ley escribe: «Lo ihie aher»


Mira qué señor...


(partitura n° 46)





Nuestro Señor Elohenu


mandó por Mose rabenu


para darnos Toratenu


que empieza con Anojí






Mose subió a los samayim


sin ajilá y sin mayim;


nos trajo lujot senayim


que principian con Anojí.






En har Sinaí hizo alumbrar


con fuegos y voz de sofar,


todo Israel hizo temblar


cuando Dios dijo Anojí.






Nos dió 'aseret diberot


con sus dinim y sus sodot


allí estaban las nesamot


cuando Dios dijo: Anojí.






Razón es que le sirvamos


y sus misvot hagamos,


porque la cuenta daremos


a el que dijo: Anojí.






Muestra ley es estimada,


de las umot apartada,


de Israel es querida


y del que dijo: Anojí.






Hicimos un grande yerró,


más duro que el fierró,


servimos a un mal becerró,


contra el que dijo: Anojí.






Ana Adonay, hosi'a na,


nuestros pecados selah na


a Eliyahu selah na


con el que dijo: Anojí.






Vamos ahora a acostar,


por la mañana, a madrugar,


para servir, para loar


a el que dijo: Anojí.






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ould-kabla
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeMer 27 Mai 2009 - 19:03

[
Joyeuses Fêtes de Shavouot




JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Emilio10

emilio
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davidgo




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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeJeu 28 Mai 2009 - 8:52



Joyeuses fetes de chavouot
Hag Matan Thora ...

:bonne fetes:

David cohen elbedaoui...
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeJeu 28 Mai 2009 - 14:55

Un des temps forts de la fête est la lecture des dix Commandements à la Synagogue, qui aura lieu cette année ce Vendredi 29 Mai 2009 matin.
Tous, hommes femmes et enfants depuis le berceau, se doivent d'y assister, avec la même intensité que lors du Don initial. La tradition rapporte que toutes les âmes juives de toutes les générations, y compris celles des convertis étaient présentes au pied du Mont Sinaï, et que ce don est renouvelé chaque année le jour de Chavouot.
On s'y prépare par une veillée d'études, durant laquelle certains ont l'habitude de lire le "Tikoun", textes extraits de chacune des sections du Houmach (Pentateuque), des Prophètes et des Ecrits, puis des passages de la Michnah, du Zohar, et le décompte des Mitsvot. D'autres étudient des textes de leur choix.
Il est d'usage de consommer des mets lactés le jour de Chavouot.
Certaines communautés ont l'habitude de lire le livre de Ruth. Certains ont également l'habitude de disposer dans la synagogue et dans les maisons des plantes, fleurs et arbustes, en souvenir que toute la création a frémi comme des plantes lorsque la Torah fut énoncée sur le Mont Sinaï.
La fête commence par l'allumage des bougies le Jeudi 28 Mai 2009 soir avant le coucher du soleil, avec la bénédiction des Bougies de Yom Tov et la bénédiction "chéhéhyanou". Vendredi 29 Mai 2009 soir, veille de Chabbat, on allumera également les bougies de Chabbat et du second soir de la fête avant 21h23 dans tout le reste du monde sauf en Israel ou nous n'avons qu'un seul soir de fete.
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeJeu 28 Mai 2009 - 15:00

Les noms de la fête de Chavouot
Fête de la promulgation de la Torah: Zman Matan Torah
Le sixième jour du mois de Sivan (c'était un jour de Sabbat), en 2448 après la Création du Monde, Dieu nous donna la Torah sur le mont Sinaï. La fête de Chavouot, les 6 et 7 Sivan, commémore ce grand événement.
Fête des Semaines: Hag Hachavouot.
La fête est ainsi appelée parce qu'elle est célébrée à la fin des sept semaines de la période de l'Omer, qui commence la deuxième soirée de Pessa'h.
Mais Chavouot est aussi le pluriel de "chevoua", serment. Chavouot rappelle ici le serment de D.ieu, de ne pas échanger Israël contre une autre Nation, et celui que chaque juif prononça, de s'attacher à D.ieu et à Ses Commandements. Ces deux serments se renouvellent chaque année pendant la fête de Chavouot.
Fête de la moisson: 'Hag hakatsir.
Dans le pays d'Israël, c'était la saison de la moisson, et notamment de la moisson du froment. La première offrande de cette récolte nouvelle était faite sous forme de deux pains de froment.
Fête des Prémices: 'Hag habikourim.
La fête des Semaines marquait le commencement de la saison lors de laquelle on offrait des prémices à Dieu, lorsque le Saint Temple existait à Jérusalem.
La fête doit encore ce nom au fait que les "deux pains" offerts avec les sacrifices animaux ce jour là étaient également appelés les prémices de la moisson de blé.

Chavouot est également le jour de la mort du Roi David, d'où l'usage d'abonder dans la lecture des Psaumes qu'il a composés, et de Rabbi Israël Baal Chem Tov.
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeJeu 28 Mai 2009 - 16:00

Histoire de Ruth
Le Livre de Ruth fut donné par le prophète Samuel. Il convient de lire ce livre de Ruth à Chavouoth. Pour deux raisons: tout d'abord, ce livre brosse un tableau de la récolte et montre comment les pauvres étaient entourés de sympathie et d'amour pendant la saison de la moisson. (Car Chavouoth était une fête de la moisson). Deuxièmement, parce que Chavouoth est l'anniversaire de la mort du roi David, et que le Livre de Ruth nous raconte l'origine de la dynastie de David.
Le roi David était, en effet, l'arrière-petit-fils de Ruth et de Boaz.
Mais peut-être la raison principale pour laquelle nous lisons ce Livre le jour de cette fête, réside-t-elle dans le fait que le récit de Ruth nous donne une description en termes vivants du Guer Tzedek, c'est-à-dire du prosélyte. Chavouoth est le Jour de la Promulgation de Notre Loi et, lorsque nous l'avons reçue, nous nous sommes engagés, tout comme le prosélyte, à suivre ses six cent treize commandements.
Un vrai Juif est à tout moment fier d'accepter sans hésitation la Torah et son merveilleux enseignement. Malgré toutes les difficultés, restrictions et responsabilités qu'entraîne, pour un Juif adulte, l'acceptation de la Torah, il sera toujours conscient du privilège d'appartenir au "peuple élu" de Dieu.
Les Juifs ne cherchent à convertir les autres hommes. Lorsqu'un Guer (non-juif), vient et dit qu'il veut devenir Juif, notre Torah nous dit, que nous devons attirer son attention sur toutes les difficultés et le poids des responsabilités qui pèsent sur tout Juif dans l'accomplissement de la Torah. Nous devons lui montrer qu'il choisit là une voie difficile et une vie qui n'est pas vue favorablement des autres peuples. Si, malgré toutes ces considérations et avertissements, le non-juif persiste dans sa volonté de se convertir, nous pouvons être fiers d'accepter un tel homme parmi nous, car il sera certainement un Juif dévoué et sincère.
Onkelos, l'auteur bien connu du Targoum (traduction araméenne de la Bible), était un Guer Tzedek, de même que Ruth.
Ruth était une princesse Moabite, pénétrée d'idéaux élevés. Elle était mécontente de l'idolâtrie de son peuple et lorsque l'occasion s'en présenta, elle abandonna avec joie les titres royaux qu'elle possédait dans son pays, pour mener une vie de pauvreté, parmi des gens qu'elle admirait.
Et voilà comment cela se passa :
Ce fut à l'époque où les juges régnaient sur Israël. Les enfants d'Israël n'observaient plus strictement les commandements de la Torah, ce qui leur avait valu la punition de Dieu. Une grande famine sévissait dans le pays.
A cette époque vivait un homme nommé Elimélekh. C'était un riche commerçant qui n'était pas habitué à la faim et à la pauvreté et il projetait d'échapper à cette misère en allant ailleurs. Il se rendit donc à Moab avec sa femme, Noémie, et ses deux fils. Ruth devint l'amie de cette famille juive et commença à comparer leur mode de vie au sien. Elle se mit à admirer les lois et coutumes juives, si bien que le mécontentement qu'elle avait toujours ressenti devant l'idolâtrie insensée de son peuple finit par se changer en répugnance. Aussi, lorsqu'un des fils de Noémie exprima le désir de l'épouser, Ruth en fut à la fois heureuse et fière. Elle n'avait aucun regret à la pensée de ce qu'elle abandonnait; c'est-à-dire une vie de luxe au palais, ses titres royaux, ainsi que la richesse et l'honneur dans un avenir plus ou moins proche. Elle ne voyait que l'égoïsme et la cruauté de son peuple, comparés aux qualités des Juifs auxquels elle s'était attachée maintenant.
Mais, quelque temps après, Elimélekh et ses deux fils moururent. Noémie, devenue veuve, ne savait où aller ni que faire. Un beau jour, elle dit à Ruth et à son autre belle-fille Orpa, Moabite également :
"Mes filles, il faut que je m'en aille. J'ai décidé de retourner dans ma ville natale, Bethléhem. La vie ne doit pas être agréable là-bas et il n'y a donc aucune raison que vous souffriez aussi. Acceptez le Conseil que je vous donne et retournez à la maison de vos parents. Vos maris sont morts, Peut-être, dans votre pays, pourriez-vous vous remarier. Moi, j'ai perdu à tout jamais mes fils, mais vous qui êtes jeunes, vous pouvez trouver un autre mari."
Orpa avait l'air triste. Finalement, elle embrassa sa belle-mère et lui dit au revoir. Mais Ruth, les larmes aux yeux, s'accrocha à Noémie en lui demandant de lui permettre d'aller avec elle. Elle la supplia en ces termes :
"Ne me presse pas de te quitter pour m'éloigner de toi; car où tu iras, j'irai; où tu demeureras, je demeurerai. Ton peuple sera mon peuple, ton Dieu sera mon Dieu; où tu mourras, je veux mourir et être ensevelie. Que l'Eternel me traite avec la rigueur la plus extrême, si rien autre que la mort me sépare de toi."
Ruth savait très bien ce qu'elle faisait, car Noémie avait attiré son attention sur les difficultés que les Juifs rencontraient continuellement. Cependant, Ruth resta ferme dans sa résolution de suivre sa belle-mère et de rester fidèle à la religion qu'elle chérissait tant.
Plus tard, Ruth fut récompensée à juste titre de sa grandeur d'âme, mais, même au temps de sa pauvreté, elle ne regretta jamais.
Lorsque Ruth et Noémie arrivèrent dans le pays de Juda, la moisson battait son plein. Les deux femmes étaient fourbues de fatigue après leur long voyage. Ruth réussit à persuader Noémie de rester chez elle, tandis qu'elle se rendrait aux champs de Bethléem, afin de trouver quelque nourriture pour sa belle-mère et pour elle-même.
Ruth s'approcha d'un champ dans lequel de nombreux hommes étaient occupés à faucher le blé, tandis que d'autres le liaient en gerbes, l'entassaient sur les chars et le transportaient ailleurs.
D'une allure un peu hésitante, mais poussée par la faim et par la pensée qu'elle devait apporter coûte que coûte quelque chose à manger à sa chère belle-mère, Ruth entra dans le champ, s'assit et attendit sa chance.
Soudain, une voix agréable la fit sursauter: "Sois la bienvenue, étrangère".
Ruth répondit à cet aimable bonjour. Elle était reconnaissante d'entendre la voix de cette sympathique personne qui continua à lui parler :
" Viens plus loin dans le champ. N'ai pas peur Tu pourras glaner quelques épis et manger à ta faim. )
L'homme qui lui parlait était Boaz, le propriétaire du champ. Boaz était Juge d'Israël à cette époque.
Ruth le remercia et glana quelques épis. Elle allait repartir, lorsque la même voix aimable la pria instamment de rester un petit peu et de ramasser ce que les moissonneurs avaient laissé dans les coins du champ comme "Péah".
"Qu'est-ce que la Péah?", demanda Ruth.
Et Boaz lui donna l'explication suivante
"Dans notre Torah, il est indiqué que lorsque le propriétaire d'un champ fait la moisson, il doit laisser un coin du champ pour les pauvres, les nécessiteux et les étrangers, pour qu'ils viennent récolter eux-mêmes et en profitent".
Ruth ne cacha pas sa joie. Elle resta, coupa le blé dans un coin du champ et se prépara ensuite à aller chez elle. C'est alors que Boaz insista à nouveau en lui disant : "n ne faut pas que tu partes déjà. Pourquoi ne resterais-tu pas pour profiter du Leketh"?
"Leketh, qu'est-ce que cela?", demanda Ruth à son interlocuteur.
"Suivant notre Torah, lorsqu'un moissonneur a manqué de couper le blé avec sa faux, il lui est interdit de recommencer, mais il est obligé de laisser le blé qu'il n'a pas fauché ou qu'il a fait tomber, pour que les pauvres et les étrangers puissent venir et le ramasser."
Ruth ne dit rien mais ne vit aucune raison de ne pas profiter des lois de la Torah, qu'elle avait acceptées avec tant de plaisir.
Après avoir rempli tout un panier, elle se dirigea vers Boaz pour le remercier de sa gentillesse avant de partir. Mais Boaz, d'un ton enjôleur, lui dit qu'elle ne devrait pas encore partir, car il restait encore la "Chi'hkha" à prendre.
"Les largesses de la Torah pour les moins fortunés sont illimitées", s'écria Ruth. "Mais veuillez avoir l'amabilité de m'expliquer le sens du mot "Chi'hkha".
"Lorsque le propriétaire d'un champ fait transporter le blé pour qu'il soit entreposé dans les greniers, il se peut que les ouvriers oublient quelques gerbes qui restent dans le champ. La Torah interdit aux ouvriers ou au propriétaires de retourner pour les ramasser. Ces gerbes doivent rester pour les pauvres, le veuves, les orphelins et les étrangers."
Ruth fut heureuse de la bonne chance qu'elle avait eue. Elle avait ramassé presque plus qu'elle ne pouvait porter. Noémie et elle avaient donc suffisamment de provisions pour vivre quelque temps. Elle remercia Boaz encore une fois et lui promit de revenir.
Ruth, toute émue, se hâta de rejoindre sa belle-mère. Une fois rentrée à la maison, elle lui raconta tout ce qui lui était arrivé dans les champs de Boaz. Noémie était heureuse du succès de Ruth et se réjouissait que sa belle-fille eut plu à Boaz, grand propriétaire et de noble famille. Elle dit à Ruth que Boaz était un parent d'Elimélekh.
Entre temps Boaz avait pris des renseignements sur cette étrangère, et il découvrit qu'elle était veuve et que son mari, qui était mort, était le fils de Noémie. Lorsque Boaz demanda à Ruth de l'épouser, Noémie lui conseilla fortement ce mariage.
C'est ainsi que Ruth fut récompensée d'une manière inattendue et devint riche et heureuse.
Ruth et Boaz eurent un fils, nommé Obed, qui fut le père de Jessé. Le fils cadet de Jessé était David - qui devint le roi bien-aimé du peuple juif et qui fut consacré par Dieu.
Extrait de "Les Fêtes juives"
Editions Conversation avec les Jeunes.
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeJeu 28 Mai 2009 - 16:15

La Meguilat Ruth

Ce petit livre biblique est lu pour la fête de Shavouot, la pentecôte juive.

Le livre de Ruth est une des cinq meguilot (rouleaux) lues pour chaque fête juive.

Son lien avec Shavouot provient d’une part de l’ambiance de moisson qui en ressort et qui fait écho à la dimension agricole de Shavouot, fête des moissons de l’orge ; d’autre part, car ce livre nous raconte l’histoire de Ruth, femme non juive du peuple de Moab qui se converti au judaïsme et fut même l’ancêtre du roi David puisque Shavouot est également la commémoration du don de la Tora au Sinaï.

Le message est clair : le Judaïsme accepte les conversions, même venues d’un peuple ennemi comme Moab.

Ce qui est curieux c’est que ce livre prône un judaïsme d’ouverture à l’encontre d’autres textes bibliques qui s’opposent à de telles unions. C’est le cas de la Tora elle-même réticente à l’entrée de quelqu’un de Moab dans le peuple juif (les rabbins expliquent la contradiction en disant que l’interdit ne valait que pour les hommes et non les femmes…). C’est le cas également du livre d’Ezra fustigeant de telles unions. Pour les chercheurs, s’opposent ainsi deux conceptions du judaïsme, l’une fermée et ethnocentriste et l’autre ouverte sur les conversions.

Ces conceptions s’opposeront tout au long de l’histoire juive et s’opposent encore. Ce petit livre est donc d’un fort enseignement et pose Ruth, la femme étrangère venue de Moab, juste et généreuse, en exemple à suivre pour tout le peuple juif dont il ouvre clairement les frontières.
Du temps des juges, il y eut une famine dans le pays. Un homme de Bethléhem de Juda partit, avec sa femme et ses deux fils, pour faire un séjour dans le pays de Moab.

Le nom de cet homme était Élimélekh, celui de sa femme Naomi, et ses deux fils s’appelaient Makhlon et Kilion ; ils étaient Éphratiens, de Bethléhem de Juda. Arrivés au pays de Moab, ils y fixèrent leur demeure.

Élimélekh, mari de Naomi, mourut, et elle resta avec ses deux fils.

Ils prirent des femmes Moabites, dont l’une se nommait Orpa, et l’autre Ruth, et ils habitèrent là environ dix ans.

Makhlon et Kilion moururent aussi tous les deux, et Naomi resta privée de ses deux fils et de son mari.
Puis elle se leva, elle et ses belles-filles, afin de quitter le pays de Moab, car elle apprit au pays de Moab que l’Éternel avait visité son peuple (Israel)et lui avait donné du pain.

Elle sortit du lieu qu’elle habitait, accompagnée de ses deux belles-filles, et elle se mit en route pour retourner dans le pays de Juda (Israel).

Naomi dit alors à ses deux belles-filles : Allez, retournez chacune à la maison de sa mère ! Que l’Éternel use de bonté envers vous, comme vous l’avez fait envers ceux qui sont morts et envers moi !
Que l’Éternel vous fasse trouver à chacune du repos dans la maison d’un mari ! Et elle les embrassa. Elles élevèrent la voix, et pleurèrent ; et elles lui dirent : Non, nous irons avec toi vers ton peuple.

Naomi, dit : Retournez, mes filles ! Pourquoi viendriez-vous avec moi ? Ai-je encore dans mon sein des fils qui puissent devenir vos maris ?
Retournez, mes filles, allez ! Je suis trop vieille pour me remarier. Et quand je dirais : J’ai de l’espérance ; quand cette nuit même je serais avec un mari, et que j’enfanterais des fils, attendriez-vous pour cela qu’ils eussent grandi, refuseriez-vous pour cela de vous marier ? Non, mes filles ! car à cause de vous je suis dans une grande affliction de ce que la main de l’Éternel s’est étendue contre moi.

Et elles élevèrent la voix, et pleurèrent encore. Orpa embrassa sa belle-mère, mais Ruth s’attacha à elle.

Naomi dit à Ruth : Voici, ta belle-soeur est retournée vers son peuple et vers ses dieux ; retourne, comme ta belle-soeur.

Ruth répondit : Ne me presse pas de te laisser, de retourner loin de toi ! Où tu iras j’irai, où tu demeureras je demeurerai ; ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu ; où tu mourras je mourrai, et j’y serai enterrée. Que l’Éternel me traite dans toute sa rigueur, si autre chose que la mort vient à me séparer de toi !
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeJeu 28 Mai 2009 - 16:17

Naomi, la voyant décidée à aller avec elle, cessa ses instances.

Elles firent ensemble le voyage jusqu’à leur arrivée à Bethléhem. Et lorsqu’elles entrèrent dans Bethléhem, toute la ville fut émue à cause d’elles, et les femmes disaient : Est-ce là Naomi ?

Elle leur dit : Ne m’appelez pas Naomi ; appelez-moi Mara, car le Tout Puissant m’a remplie d’amertume.

J’étais dans l’abondance à mon départ, et l’Éternel me ramène les mains vides. Pourquoi m’appelleriez-vous Naomi, après que l’Éternel s’est prononcé contre moi, et que le Tout Puissant m’a affligée ?

Ainsi revinrent du pays de Moab Naomi et sa belle-fille, Ruth la Moabite. Elles arrivèrent à Bethléhem au commencement de la moisson des orges.

Naomi avait un parent de son mari. C’était un homme puissant et riche, de la famille d’Élimélec, et qui se nommait Boaz.

Ruth la Moabite dit à Naomi : Laisse-moi, je te prie, aller glaner des épis dans le champ de celui aux yeux duquel je trouverai grâce. Elle lui répondit : Va, ma fille.
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeJeu 28 Mai 2009 - 17:08

[/b]t3aydou bessaha wal 3afia ou t3awdou inchaallah.Bonne fete.
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MessageSujet: Re: JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT   JOYEUSES FETES DE SHAVOUOT Icon_minitimeJeu 28 Mai 2009 - 17:35

samira el yousfi merci beaucoup ma cherie et prions que la paix reigne sur tous les peuples amen.
bisous Soly
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